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Des projets émiratis dans divers domaines sont annoncés
27-11-2010
Par Badiaa Amarni
Le marché algérien intéresse les entreprises étrangères de tous bords. Des opérateurs économiques des quatre coins viennent en Algerie pour une prospection dans le but de lancer des projets, faire des affaires et trouver d’éventuels opérateurs locaux pour des partenariats.Parmi ces entreprises, celles des Emirats arabes unies sont en force en Algérie. Des projets tous azimuts et dans tous les secteurs d’activité sont annoncés. Après un long silence autour de ces projets évoquant même le retrait de ces opérateurs, la situation a évolué rapidement ces derniers mois à la faveur de la venue d’un haut responsable émirati en Algérie. Il s’est entretenu avec les autorités algériennes.Depuis, les projets ont été débloqués à l’exemple de celui du Forum El Djazaïr à Moretti dont les travaux de réalisation ont été entamés il y a environ un mois pour une durée de trois ans. D’une capacité totale de 2 004 lits, ce projet comprendra un hôtel, un centre commercial, une polyclinique, des bureaux et beaucoup d’espaces verts. L’autre projet, qui n’est pas des moindres, est celui de l’émirati EIIC qui prend en charge la réalisation du parc Dounia au niveau des Grands Vents à Chéraga. Des banques algériennes ont été sollicitées pour obtenir un crédit de 84 milliards de dinars, l’équivalent d’environ 840 millions d’euros. EIIC a obtenu une concession pour 33 ans de ce terrain de 800 hectares. Mais, selon les observateurs, «le crédit sera sans doute pris en charge par un consortium de banques, étant donnée qu’aucune banque algérienne n’a la couverture suffisante en fonds propres pour répondre seule à la demande de EIIC». Faut-il rappeler que la réalisation de ce parc a fait couler beaucoup d’encre. Implanté à cet endroit pour préserver ce qui reste des terrains, il devait être un autre grand poumon de la capitale. Finalement, le projet a été modifié puisqu’il est aujourd’hui question d’une promotion immobilière sur une superficie de 130 hectares. Ainsi, 5 hôtels de 500 chambres au total, une zone résidentielle de villas de luxe, un aquaparc et un terrain de golf sont prévus d’ici à 2012. Dans le cahier des charges, le ministère de l’Environnement impose la réalisation d’un parc à thèmes dédié à la diversité botanique et aux énergies propres.D’autres projets sur le littoral algérien sont également prévus ainsi que des investissements dans d’autres secteurs, entre autres, l’agriculture, l’industrie, les services.
27-11-2010
Par Badiaa Amarni
Le marché algérien intéresse les entreprises étrangères de tous bords. Des opérateurs économiques des quatre coins viennent en Algerie pour une prospection dans le but de lancer des projets, faire des affaires et trouver d’éventuels opérateurs locaux pour des partenariats.Parmi ces entreprises, celles des Emirats arabes unies sont en force en Algérie. Des projets tous azimuts et dans tous les secteurs d’activité sont annoncés. Après un long silence autour de ces projets évoquant même le retrait de ces opérateurs, la situation a évolué rapidement ces derniers mois à la faveur de la venue d’un haut responsable émirati en Algérie. Il s’est entretenu avec les autorités algériennes.Depuis, les projets ont été débloqués à l’exemple de celui du Forum El Djazaïr à Moretti dont les travaux de réalisation ont été entamés il y a environ un mois pour une durée de trois ans. D’une capacité totale de 2 004 lits, ce projet comprendra un hôtel, un centre commercial, une polyclinique, des bureaux et beaucoup d’espaces verts. L’autre projet, qui n’est pas des moindres, est celui de l’émirati EIIC qui prend en charge la réalisation du parc Dounia au niveau des Grands Vents à Chéraga. Des banques algériennes ont été sollicitées pour obtenir un crédit de 84 milliards de dinars, l’équivalent d’environ 840 millions d’euros. EIIC a obtenu une concession pour 33 ans de ce terrain de 800 hectares. Mais, selon les observateurs, «le crédit sera sans doute pris en charge par un consortium de banques, étant donnée qu’aucune banque algérienne n’a la couverture suffisante en fonds propres pour répondre seule à la demande de EIIC». Faut-il rappeler que la réalisation de ce parc a fait couler beaucoup d’encre. Implanté à cet endroit pour préserver ce qui reste des terrains, il devait être un autre grand poumon de la capitale. Finalement, le projet a été modifié puisqu’il est aujourd’hui question d’une promotion immobilière sur une superficie de 130 hectares. Ainsi, 5 hôtels de 500 chambres au total, une zone résidentielle de villas de luxe, un aquaparc et un terrain de golf sont prévus d’ici à 2012. Dans le cahier des charges, le ministère de l’Environnement impose la réalisation d’un parc à thèmes dédié à la diversité botanique et aux énergies propres.D’autres projets sur le littoral algérien sont également prévus ainsi que des investissements dans d’autres secteurs, entre autres, l’agriculture, l’industrie, les services.