Le ministre français de l'Industrie, de l'Energie et de l'Economie numérique, Eric Besson a demandé ce vendredi au Conseil général de l'industrie, de l'énergie et des technologies (CGIET), de mettre fin à l'hébergement du site WikiLeaks en France, considéré comme violant le secret diplomatique, apprend-on auprès du ministère.
Le ministre français de l’Industrie, de l’Energie et de l’Economie numérique, Eric Besson a demandé ce vendredi au Conseil général de l'industrie, de l'énergie et des technologies (CGIET), de mettre fin à l’hébergement du site WikiLeaks en France, considéré comme violant le secret diplomatique, apprend-on auprès du ministère.
WikiLeaks est hébergé dans le nord de la France par le serveur OVH depuis jeudi 2 décembre après avoir été hébergé par le serveur américain Amazon, selon la lettre adressée par le ministre au conseil général de l’Industrie, de l’Energie et des Technologies.
Sollicité par l’AFP, le ministère a indiqué avoir demandé au CGIET (compétent dans les domaines des technologies de l’information, communications électroniques et informatique) d’indiquer au plus vite les moyens de mettre un terme à l’hébergement de WikiLeaks en France.
«Cette situation n’est pas acceptable. La France ne peut héberger des sites internet qui violent ainsi le secret des relations diplomatiques et mettent en danger des personnes protégées par le secret diplomatique», selon les termes de la lettre adressée par le ministre au vice-président du CGIET. «On ne peut héberger des sites internet qualifiés de criminels et rejetés par d’autres Etats en raison d’atteintes qu’ils portent à leurs droits fondamentaux», écrit Eric Besson.
Victime de nouvelles cyber-attaques, WikiLeaks, qui publie depuis dimanche des télégrammes diplomatiques secrets américains, a trouvé vendredi refuge en Suisse alors que Washington cherche à stopper ses activités et celles de son fondateur, Julian Assange.
Le traçage d’adresse IP montrait que WikiLeaks, expulsé mercredi du serveur américain Amazon, restait hébergé vendredi matin en France sur les serveurs de la société OVH, l’un des plus importants hébergeurs en Europe. WikiLeaks est aussi hébergé en Suède, où un mandat d’arrêt international a été lancé contre Julien Assange, soupçonné de viol dans ce pays.
Source : AFP
Le ministre français de l’Industrie, de l’Energie et de l’Economie numérique, Eric Besson a demandé ce vendredi au Conseil général de l'industrie, de l'énergie et des technologies (CGIET), de mettre fin à l’hébergement du site WikiLeaks en France, considéré comme violant le secret diplomatique, apprend-on auprès du ministère.
WikiLeaks est hébergé dans le nord de la France par le serveur OVH depuis jeudi 2 décembre après avoir été hébergé par le serveur américain Amazon, selon la lettre adressée par le ministre au conseil général de l’Industrie, de l’Energie et des Technologies.
Sollicité par l’AFP, le ministère a indiqué avoir demandé au CGIET (compétent dans les domaines des technologies de l’information, communications électroniques et informatique) d’indiquer au plus vite les moyens de mettre un terme à l’hébergement de WikiLeaks en France.
«Cette situation n’est pas acceptable. La France ne peut héberger des sites internet qui violent ainsi le secret des relations diplomatiques et mettent en danger des personnes protégées par le secret diplomatique», selon les termes de la lettre adressée par le ministre au vice-président du CGIET. «On ne peut héberger des sites internet qualifiés de criminels et rejetés par d’autres Etats en raison d’atteintes qu’ils portent à leurs droits fondamentaux», écrit Eric Besson.
Victime de nouvelles cyber-attaques, WikiLeaks, qui publie depuis dimanche des télégrammes diplomatiques secrets américains, a trouvé vendredi refuge en Suisse alors que Washington cherche à stopper ses activités et celles de son fondateur, Julian Assange.
Le traçage d’adresse IP montrait que WikiLeaks, expulsé mercredi du serveur américain Amazon, restait hébergé vendredi matin en France sur les serveurs de la société OVH, l’un des plus importants hébergeurs en Europe. WikiLeaks est aussi hébergé en Suède, où un mandat d’arrêt international a été lancé contre Julien Assange, soupçonné de viol dans ce pays.
Source : AFP
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