Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Saâd Lounès interdit au festival de Marrakech

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Saâd Lounès interdit au festival de Marrakech

    M. Lounès, nous vous retirons votre badge et vous invitons à quitter le palais des Congrès. Vous avez écrit un article très critique sur l’édition 2009. Et nous n’accréditons pas les journalistes qui critiquent notre festival.” C’est en ces termes qu’un attaché de presse de l’agence PR Média a fait part au journaliste algérien Saâd Lounès de la décision de sa directrice Fatima-Zohra Outaghani et son mentor Bruno Barde, véritable gourou du Festival du film de Marrakech depuis 2004, de lui interdire la participation à la manifestation. Selon Saâd Lounès, un an après, les responsables du festival n’ont toujours pas digéré l’un de ses articles, publié par l’hebdomadaire la Vérité sous le titre “À quoi sert le Festival de Marrakech ?”

    Par : Rubrique Radar (Liberté).
    Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

  • #2
    sous le titre “À quoi sert le Festival de Marrakech ?”
    si il ne sert à ien
    pourquoi tient il à y participer ?
    pourquoi lui reserve t il toute une page dans l’hebdomadaire la Vérité ?


    Commentaire


    • #3
      Dommage pour ce monsieur. C'était l'occasion de sa vie de voir de près Keanu Reeves, Francis Ford Coppola, Marion Cotillard et plein d'autres stars. Yekber ou yensa.

      Commentaire


      • #4
        et alors si le maroc est si democratique que ca elle devrais accepter les critiques meme si elle ne sont pas bonnes vous qui vous targuez a longueur de journée que vous avez un esprit libre la preuve que non !

        Commentaire


        • #5
          nous acceptons les critiques quand elles sont fondées

          malheureusement les algériens font beaucoup de jugements de valeur

          alors dégagez

          sinon expliques moi pourquoi 2 journalistes marocains ont été arrêtés à tindouf alor qu'ils voulaient visiter les camps

          qq chose à cacher ???
          La vitesse de la lumière dépassant celle du son, certaines personnes paraissent brillantes avant de l'ouvrir

          Commentaire


          • #6
            Mais il a déjà assisté voyons, son erreur c'était de croire au slogan : "Le pays le plus démocratique des pays Arabes et du Maghreb". lOl

            @Megamax,
            Stp évite moi les HS, si tu as envie de parler de ces 2 journalistes, tu n'as qu'à ouvrir un topic.
            Dernière modification par RoboCop, 06 décembre 2010, 11h37.
            Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

            Commentaire


            • #7
              ben les espagnols aussi assistent souvent à des manifastations au maroc

              ça ne les a pas empêchés de dire n'importe quoi sur des sujets beaucoup plus sensibles sans recouper sans rien

              quand on veut noyer son chien, on l'accuse de la rage
              La vitesse de la lumière dépassant celle du son, certaines personnes paraissent brillantes avant de l'ouvrir

              Commentaire


              • #8
                Apres avoir raconté que les le festival de marrakech a ete volé a alger par les marocains et leur suppots sioniste francs maçon, il vaut mieux eviter d'insulter la profession en donnant des cartes de presses à des gens qui n'ont pas le niveau.

                Ils devraient plutot aller couvrir "we aime el Djazair" (kezako ) pour s'entrainer apres on verra s'il pourront prendre en photo martin scorsese, eva mendes etc...
                "Le patriotisme c'est l'amour des siens. Le nationalisme c'est la haine des autres". Romain Gary

                Commentaire


                • #9
                  "Le pays le plus démocratique des pays Arabes et du Maghreb".
                  voilà ce que dit ton president en cachete :
                  Boutef dit être très complexé des avancées réalisées par le voisin dans tous les domaines

                  c est normal que vous autres soyez
                  complexé

                  Commentaire


                  • #10
                    Mais il a déjà assisté voyons, son erreur c'était de croire au slogan : "Le pays le plus démocratique des pays Arabes et du Maghreb". lOl
                    ____________________________________________

                    Mais c'est toi qui passe a coté de la plaque.
                    Le journaliste était bien au Maroc et a Marakech, et sans probléme, c'est la direction de communication du Festivale qu'il a interdit . Alors une affaire personnel comme partout au monde , il faut avoir une accréditation spéciale par les organisateurs de certains évenements.
                    Alors c'est quoi le rapport avec le Maroc . il circule a ce moment dans le teritoire comme il veut.

                    Commentaire


                    • #11
                      Mais c'est toi qui passe a coté de la plaque.
                      Le journaliste était bien au Maroc et a Marakech, et sans probléme, c'est la direction de communication du Festivale qu'il a interdit . Alors une affaire personnel comme partout au monde , il faut avoir une accréditation spéciale par les organisateurs de certains évenements.
                      Alors c'est quoi le rapport avec le Maroc . il circule a ce moment dans le teritoire comme il veut.
                      Tout compte fait, je doute fort sur votre niveau... Mais tu ne vas pas quand même me faire comprendre un article que j'ai lu, analyser et poster, puisqu'il avait le badge, weche il a eu en Algérie !!!
                      Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

                      Commentaire


                      • #12
                        je ne sais pas qui a décidé cette exclusion mais c'est un guignol.

                        pourtant ce journaliste n a jamais été tendre avec le regime algerien pour preuve son dernier article du mois de novembre!



                        <H1 id=articleTitle>la trahison maghrébine de bouteflika 28/11/2010





                        Par Saâd Lounès

                        Dans un nouveau cycle de crise énégertique, l'Algérie a confirmé son engagement majoritaire dans la réalisation de deux gazoducs destinés à approvisionner l'Europe: MEDGAZ via l'Espagne et GALSI via l'Italie. Ces deux méga-projets ont trois points communs:

                        * Sonatrach investira la plus grosse part (36%) dans chaque gazoduc
                        * les volumes de gaz livrés seront de 8 à 9 milliards de m3/an et par gazoduc
                        * les deux tracés traversent la Méditerranée en évitant les territoires marocain et tunisien.

                        L'anesthésie générale imposée par le pouvoir algérien à la presse, aux élites et à l'opposition politique empêche toute critique locale sur ces projets. Ils relèvent pourtant de graves dérives stratégiques et historiques.
                        ...........
                        * Ces nouveaux gazoducs, qui rallongent le parcours marin plus coûteux, privent les voisins maghrébins de la disponibilité d'une nouvelle ressource gazière de proximité pour leur développement économique, comme si le principe de «sécurité énergétique stratégique» destiné aux Européens ne s'appliquait pas aux Maghrebins.

                        * En évitant les territoires marocains et tunisiens, on les prive de «royalties» payées par le consommateur européen, donc d'un revenu légitime sur les ressources du Sahara.

                        * Le passage des gazoducs par le Maroc et la Tunisie auraient imposé un «troisième» compteur des débits de gaz réellement livrées, donc une relative garantie de transparence du commerce gazier.

                        Le chef de l'Etat Bouteflika, né à Oujda au Maroc, fait partie de l'armée des frontières qui a pris le pouvoir en 1962 après avoir été créée, formée, soutenue et protégée chez les frères marocains et tunisiens engagés avec les algériens comme un seul peuple dans la guerre de libération.
                        Aujourd'hui, il trahit l'idéal maghrébin en évitant le passage des deux gazoducs par la Tunisie et le Maroc, et en perpétuant ... une tradition coloniale de spoliation des richesses.

                        Saâd Lounès

                        </H1>
                        "En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire" (G. Orwell)

                        Commentaire


                        • #13
                          @Carbomoro
                          Laisse moi rire, c'est quoi le rapport avec le Maroc ?
                          Aya je te raffraichis la mémoire, si tu es récupérable.

                          Extrait d'un article de JeuneAfrique :

                          Créé à l’initiative du roi Mohammed VI, qu’on dit fort intéressé par le septième art, sur le conseil de Daniel Toscan du Plantier, et présidé par son frère le prince Moulay Rachid, ce festival s’est voulu, dès sa création fort mouvemen­tée – nous étions alors au lendemain du 11 septembre 2001 –, une manifestation d’ampleur mondiale. Arrivé à ce qu’on considère en général comme l’âge de raison, le Festival de Marrakech a-t-il tenu ses promesses ? Comment se présente son avenir ? Jeune Afrique l’a demandé à son principal animateur, par ailleurs directeur du Centre national du cinéma marocain, Noureddine Saïl.
                          Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

                          Commentaire


                          • #14
                            ils sont vraiments trops nuls les decideurs marocains
                            Le clan d’Oujda a perdu la bataille du Sahara Occidental

                            Par Saâd Lounès

                            Le dernier refoulement d’un avocat et de journalistes marocains à l’aéroport d’Alger est une grave erreur diplomatique. Il ne reste plus à Bouteflika et au clan d’Oujda que des bavures policières pour exprimer leur vision autoritariste sur la question du Sahara Occidental.

                            Ce conflit inutile engagé à la hussarde par Boumediene, après le coup d’Etat manqué et la mort de son ami le général Mohamed Oufkir en août 1972, n’a en fait été qu’un prétexte de déstabilisation de la monarchie alaouite. (1)

                            Face à l’adversité du pouvoir socialiste algérien et ses alliés de l’opposition marocaine, Hassan II avait réussi à consolider son trône. Après 10 ans de règne, Mohamed VI a fait du Maroc un «modèle à suivre pour l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient» selon les termes de la secrétaire d’Etat Hillary Clinton au Forum de l’Avenir à Marrakech devant un parterre de diplomates du monde entier.

                            Le Maroc n’en finit plus d’engranger les bénéfices d’une nouvelle stratégie pragmatique et conquérante initiée depuis le lancement des négociations directes avec le Front Polisario sous l’égide de l’ONU en juin 2007.

                            Paradoxalement, c’est en utilisant les méthodes algériennes que le Maroc a pu avancer de manière spectaculaire dans la résolution du conflit à son avantage par une gestion efficace du renseignement et l’intégration des clientèles sahraouies dans le jeu politique national.

                            La bataille du renseignement

                            En nommant son camarade de classe et ami d’enfance Mohamed Yassine Mansouri à la tête de la DGED, le roi a changé la donne qui présidait jusqu’alors au sein des services secrets marocains. Civil et technocrate, Mansouri suit une feuille de route stratégique d’action en avançant une à une ses pièces sur l’échiquier sahraoui pour mettre en échec la partie algérienne, la seule qui s’oppose à un règlement définitif du conflit.

                            Mansouri agit sur plusieurs cibles pour désosser le Polisario et retourner contre l’Algérie ses principaux atouts qu’étaient le Front et les camps de Tindouf. En participant à toutes les phases de négociation de Manhasset, Mansouri effectue un travail de sape pour retourner les dirigeants sahraouis.

                            Il a également réussi un coup de maître surprenant en envoyant pour la première fois dans les camps de Tindouf une mission d’information et de renseignement sous couverture de presse. Un journaliste et un photographe d’un hebdomadaire marocain ont pénétré dans les camps de Tindouf et publié un reportage en été 2008. (2)

                            Ils y ont aussi recueilli une somme de renseignements et de photos très utiles pour dénoncer auprès des instances onusiennes les conditions de «séquestration» des sahraouis par les autorités algériennes.

                            Conforté par le soutien de tous les pays arabes, parachevé dernièrement par la reconnaissance libyenne de la marocanité du Sahara, Mansouri utilise à fond la carte maîtresse mauritanienne. Outré par le mépris que lui a manifesté Bouteflika, le nouveau président mauritanien Mohamed Ould Abdelaziz se dévoue pour la cause marocaine et œuvre à la reddition des chefs du Polisario en recevant très souvent le patron de la DGED.

                            Sur le plan intérieur, de plus en plus de sahraouis sont intégrés sur la scène politique nationale. Les stratèges marocains ont dernièrement réussi un coup de maître en portant à la présidence de la Chambre des Conseillers, un médecin sahraoui Mohamed Cheikh Biadillah, dont le propre frère est Brahim Ahmed Mahmoud Biadillah, dit «Gregou», responsable de la 2ème région militaire et ancien chef de la sécurité militaire du Polisario, qui figure en bonne place sur une liste de tortionnaires du Polisario. (3)

                            C’est un signal très fort auquel ne sont pas insensibles les notables sahraouis qui y voient un appel à une course à toutes les investitures dans le train du dynamisme politico-économique marocain. Entre la prospérité du destin national de Mohamed Cheikh, et l’éternelle attente l’arme au pied du «Désert des Tartares» de Gregou, le choix est vite fait.

                            D’autant que le projet royal d’Autonomie prévoit une amnistie pour les combattants sahraouis. Une autre façon d’imiter les algériens en laissant indéfiniment ouvertes les portes de la réconciliation.

                            Le désastre diplomatique de Bouteflika


                            Face à cette cascade de succès marocains, on ne peut que s’interroger sur l’anesthésie qui frappe le pouvoir algérien. L’explication est double.

                            Tout d’abord ce conflit n’a jamais reçu d’adhésion populaire, les algériens se contrefichent de cette histoire de Sahara. Hormis un FLN moribond qui ne s’exprime sur ce lourd héritage que du bout des lèvres, les partis politiques ont ouvertement déclaré leur désaccord sur la position algérienne et n’ont aucun contact avec le Polisario. C’est ce qui a encouragé la témérité de l’Association du Sahara Marocain à venir en Algérie même faire du lobbying pour la résolution du conflit.

                            Ensuite, la gestion du Polisario a toujours été une chasse gardée du clan d’Oujda dirigé par le couple Boumediene-Bouteflika et les chefs de la Sécurité Militaire. Après la mort de Boumediene et la mise à l’écart de Bouteflika et Kasdi Merbah, patron de la SM, c’est le général Larbi Belkheir qui s’est accaparé de ce dossier stratégique et lucratif où s’entremêlent diplomatie parallèle, fonds secrets et commerce d’armes.

                            Depuis la disparition mystérieuse de Belkheir, très malade selon sa famille ou décédé selon d’autres sources, on ne sait plus qui est vraiment en charge de ce dossier. Le très efficace chef du contre-espionnage, le général Smaïn Lamari qui gérait le Polisario sous les ordres de Belkheir, est décédé en été 2007 sans qu’on sache vraiment qui l’a remplacé.

                            De plus en plus isolés à l’intérieur comme à l’extérieur du pays, Bouteflika et son clan d’Oujda ont définitivement perdu la bataille du Sahara Occidental. La dernière gifle retentissante qu’a reçu Bouteflika vient de son ami Khaled qui, après avoir exprimé publiquement ses griefs contre l’anti-marocanisme du gouvernement algérien, a entériné la marocanité du Sahara en allant chanter au dernier festival du dromadaire à Laâyoune.

                            Placé en situation d’échec et mat par la maîtrise d’œuvre marocaine et la péremption politique de Bouteflika, il ne reste au pouvoir algérien qu’une porte de sortie dans ce conflit. Abandonner son intransigeance, laisser le Polisario négocier librement, seul et sans aucune contrainte, fermer les camps de Tindouf et ouvrir les frontières avec le Maroc.

                            Saâd Lounès

                            __________________
                            Dernière modification par kaiser, 06 décembre 2010, 12h05.
                            "En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire" (G. Orwell)

                            Commentaire


                            • #15
                              Tout compte fait, je doute fort sur votre niveau... Mais tu ne vas pas quand même me faire comprendre un article que j'ai lu, analyser et poster, puisqu'il avait le badge, weche il a eu en Algérie !!!
                              _____________________________

                              je comprends que tu sais lire, parcontre tu n'as pas compris ce que tu as lu.
                              Ce n'est pas le Maroc qu'il l'a viré. c'est les résponsables du COM du féstivale que eux ne lui ont pas accordé le permis. pour un souci de leur image je suppose, ils sont libres même que je ne suis pas d'accord avec eux. Mais toi tu essayes juste de mêler "le plus beaux pays au monde" dans des histoires qui ne lui concerne pas.

                              et présidé par son frère le prince Moulay Rachid,
                              _______________________________________________

                              il y en a tant des évenements qui sont présidé par le roi ou le prince et princese. ca veut rien dire. ce féstivale a un bureau et une commité qui travail toute l'année, comme les autres fistivales internationnaux. avec un budget et toute une équipe dériére.
                              Dernière modification par CaboMoro, 06 décembre 2010, 12h08.

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X