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Inauguration de la 11eme édition du SITEV : Pour une véritable industrie du tourisme

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  • Inauguration de la 11eme édition du SITEV : Pour une véritable industrie du tourisme

    Le 11eme salon international du tourisme et des voyages d’Alger s’est ouvert hier, au Palais des expositions des Pins Maritimes d’Alger sous la houlette du ministre du Tourisme M.Smail Mimoun.
    Par ABS

    Le 11eme salon international du tourisme et des voyages d’Alger s’est ouvert hier, au Palais des expositions des Pins Maritimes d’Alger sous la houlette du ministre du Tourisme M.Smail Mimoun. Quelques 167 participants ont répondu à l’appel des organisateurs, entre agences de voyages, tour-operator et autres établissements hôteliers.
    L’édition 2010 sera marquée pour sa part par la forte présence des écoles d’hôtellerie ou de restauration. Ces derniers temps, ces établissements de formations pullulent un peu partout dans le pays, au grand bonheur des professionnels du domaine. Pour le ministre, qui s’exprimait en marge du 11ème SITEV, cette manifestation est une occasion idéale pour les protagonistes du domaine afin de concrétiser les opportunités de partenariat et de coopération. Selon lui, la présence en grand nombre de tours operators et d’agences spécialisées s’y prête. Lors de sa visite inaugurale, le ministre du Tourisme a, par ailleurs, insisté sur les défis à relever dorénavant dans son secteur, et en premier lieu le saut qualitatif dont le secteur à tant besoin et qui malheureusement tarde à se manifester. Le ministre a réinvité à ce titre les algériens à investir dans le secteur pour lui donner les capacités nécessaires tant en terme de qualité que de quantité et afin de promouvoir la destination Algérie. Cela, nonobstant le volet de la formation qui a été abordé par le premier responsable du secteur, segment lié directement a la notion de saut qualitatif, tant louée. Chez les exposants, même son de cloche, à quelques exceptions près. Si tout le monde est d’accord sur les principes de la formation, de la ressource humaine qualifiée et de la qualité du service, dans les détails, chacun y va de sa recommandation. En cause, les entraves administratives, le manque de visibilité à long terme, le manque de coordinations entre institutions du secteur et, enfin l’épineux problème du foncier. Les avis diffèrent et les maux dont souffre le tourisme algérien encore plus. Reste qu’un dernier leitmotiv fait l’unanimité chez tous les acteurs du tourisme en Algérie, présents au SITEV : « Il faut changer les mentalités », nous a-t-on dit un peu partout. Des mentalités qui freinent inlassablement le développement du tourisme, chez nous. Enfin, le salon dans sa 11ème version, a semble-t-il souhaité mettre l’accent sur les régions. Quasiment toutes les wilayas sont représentées et de fort belle manière. A la vue des expositions, il est clair que le professionnalisme gagne du terrain même dans l’Algérie profonde. Le sérieux, la rigueur et l’organisation, ne sont plus l’apanage d’institutions publiques et de grands groupes. Pourvu que ça dure. Les établissements étrangers se sont pour leur part fait rares, à l’exception de valeurs sures telle que la Tunisie, ou de petits challengers à l’image de l’Autriche. Le groupe EDEN attire l’attention du ministre. Lors de sa visite inaugurale, le ministre du Tourisme M.Smail Mimoun, s’est relativement attardé au niveau du stand du groupe EDEN, une chaine hôtelière ayant pignon sur rue à l’Ouest du pays. Si certaines des enseignes du groupe ne sont plus à présenter, d’autres établissements appartenant au groupe sont en phase de réalisation, dont un hôtel EDEN à Sidi Belabes. Ce « 4 étoiles » sera fin prêt vers le mois d’Avril prochain. Le ministre a promis de se déplacer personnellement pour l’inaugurer. Rendez vous est pris.

    le financier

  • #2
    Tourisme et artisanat : Oran, ville sans art et «sans histoire»

    En visite avec le ministre du Tourisme et de l’artisanat, le wali d’Oran a eu cette réflexion «je me suis retenu, mais je vais le dire : où est l’artisanat spécifique d’Oran?». Une franchise qui fait plaisir, un petit «clin d’œil» à Albert Camus qui nous avait bien dit qu’ « Oran est une ville sans histoire » est une vraie question pour universitaires en panne de thèmes de recherches.
    Bien sûr qu’Oran a une Histoire, avec un grand H, mais les Oranais n’ont jamais su la mettre en valeur. Comment valoriser l’histoire d’un terroir, si ce n’est pas à travers son savoir-faire et donc son artisanat ? Le wali, qui nous vient d’une ville au demeurant alourdie par des us et coutumes, avait constaté que finalement les artisans d’art oranais, qu’il venait de visiter avec le ministre de tutelle, pratiquaient des arts largement empruntés à d’autres régions du pays. Les métiers d’art de la capitale de l’Ouest sont les métiers pratiqués dans le pays de l’époque. Parmi les plus communs, il y avait certainement la poterie, le tissage, et peut être l’ébénisterie. Car, après tout, la région fut à un moment de son histoire un grand arsenal où le bois était la seule matière première disponible. Oran semble n’avoir jamais excellée dans aucun de ces arts, ou bien l’histoire ne s’en souvient pas. Quel était donc « cette chose » par laquelle a brillé la contrée et que l’histoire a retenue ? Aussi loin que remonte la mémoire, Oran est décrite comme étant d’abord une ville jardinière. L’art du jardinage était d’ailleurs à cette époque au summum de son prestige, pratiqué par de grands érudits aux services des couronnes successives. Il reste à Oran, bien entendu, quelques vestiges de cet art même s’il a subi de profondes modifications. La colonisation n’a pas eu le besoin d’aménager les terrasses des jardins de Ras El Aïn. L’histoire en parlait déjà et depuis le dixième siècle. Boyer, « le cruel », comme le surnommèrent les Espagnols, détruisit 14 jardins mais seulement sous les forteresses et uniquement sur la rive droite de la rivière. Ainsi donc, Oran qui se veut une vocation touristique n’a ni les moyens ni, encore moins, l’ambition de reconquérir son art et ses territoires. Aussi, elle se contente aujourd’hui simplement, de plagier quelques arts et métiers. Comme on peut voir que la potière qui expose dans la galerie de la chambre de l’artisanat est originaire de Kabylie, mariée à Oran, elle a décidé d’apporter son savoir-faire comme dot à sa ville d’adoption. Malheureusement, elle doit aussi ramener l’argile de sa Kabylie natale, il n’est pas question de la gaspiller dans l’apprentissage, même si l’argile de Kabylie serait le même que celui d’Oran. Et l’argile, ce n’est vraiment pas ce qui manque dans la wilaya d’Oran eu égard au nombre de briqueteries et autres fabriques de faïences qui explosé ces dernières années. Ce qui nous emmène à nous interroger s’il existe, quelque part à Oran, une carrière où les artisans potiers puissent s’approvisionner en matière première certainement pas gratuitement, mais à un prix adapté à leur marché. En fait, un seul métier semble vraiment autochtone : la fabrication d’ustensiles en alfa. Malheureusement, ces ustensiles ne sont plus adaptées à la cuisine moderne - à l’exception peut être du couscoussier et uniquement chez les puristes - ne trouvent pas d’autres utilisations dans la maison. A moins qu’ils ne soient utilisés comme éléments de décoration de la cuisine. Pour être viable, l’artisanat se doit d’être perfectionniste et surtout innovateur.
    Dans sa tournée le ministre, ira sur le chantier du musée de l’artisanat, une grande bâtisse sur deux étages avec un porche de tribunal et des sculptures arabo-mauresques à l’intérieur. En principe, un musée de l’artisanat, c’est-à-dire réservé aux arts populaires, est sensé abriter des pièces anciennes, des pièces rares ou des arts typiques du terroir. A quoi donc peut bien servir un musée dans une ville où sa seule tradition artisanale est sous t’étouffoir ? Il faudra, donc, que le conservateur se débrouille pour trouver l’argent lui permettant d’acquérir des objets « artisanaux » dans quelques régions du pays et les exposer dans son musée.
    Dans le débat qui suivra cette visite, il ne sera d’ailleurs plus question du musée mais seulement des critères pour bénéficier d’un local dans la maison de l’artisan, le chantier mitoyen que le ministre ne visitera pas. Le grand terrain mitoyen, qui appartient au département du tourisme et de l’artisanat, fait déjà l’objet de convoitises. Un responsable du tourisme se propose d’ores et déjà d’introduire auprès de sa tutelle une demande pour y construire un centre d’information et d’orientation. Se qui peut sembler d’ailleurs un peu dommage.

    le financier

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    • #3
      L’artisanat à Oran, un secteur en panne

      La situation de l’artisanat ne semble pas bien reluisante dans la wilaya d’Oran. Sur les 3.000 artisans recensés au niveau de la Chambre de l’artisanat, seulement 192 sont qualifiés. Où sont donc passés les centaines de jeunes et de moins jeunes qui sortent chaque année des centres de la formation professionnelle ? La question mérite d’être posée pour trouver une réponse au regard du taux important du chômage local. « Il n’est pas facile de s’installer à son compte lorsque l’on vient juste de sortir d’un centre de formation. Il faut d’abord acquérir de l’expérience professionnelle et managériale aussi.» Nous dira un formateur. Aucun des jeunes rencontrés ne veut courir le risque de se lancer dans le métier qu’il a appris. Le manque d’expérience, d’assurance et de moyens ne sont les seuls obstacles. Créer sa propre boite fait peur « c’est aller au devant des tracasseries administratives sans fin. » C’est là l’argument que la plupart avanceront en premier. La bureaucratie fait peur à ces jeunes. « Les cols blancs sont des ogres qui se nourrissent de petits artisans » nous dira un plombier chauffagiste qui préfère poser sa caisse à outils sur le bord du trottoir dans le marché du coin et attendre le client. « Je connais un ami qui a tenté l’expérience, il a loué un magasin, réglé sa situation administrative, sa carte fiscale, cotisé à la caisse sociale, acheté de l’équipement et jusqu’à une petite voiture d’occasion. Il n’a put obtenir un seul marché public, faute d’expérience et surtout de « mahrifa ».Par contre, les avis des impôts et les mises en demeure de la caisse sociale arrivaient sans cesse.» Ajoutera t’il. Lors de sa visite dans le secteur urbain de Sidi Houari, le wali a rencontré une cinquantaine d’adhérents de l’association Santé Sidi Houari, formés par la coopération espagnole comme tailleurs de pierre. Ces artisans d’art sont au chômage, dans le plus grand chantier de rénovation du bâti du pays. Le wali d’Oran s’est proposé donc de leur offrir du travail dans cet immense chantier qu’est le vieux Oran. Mais ils devront intégrer le secteur de production locale (SPL) qui veut que ces artisans soient organisés en coopérative. Au dire du ministre le système aurait très bien marché à Sétif. Selon les membres d’une coopérative « le système marche très bien partout, sauf à Oran où les artisans sont marginalisés. » L’initiative locale organisée par la chambre de l’artisanat, qui est d’ailleurs une pâle copie des fameuses « pages jaune »et qui consiste à appeler la chambre de l’artisanat pour obtenir les coordonnées d’un artisan. N’a pas été du goût du wali qui a demandé que l’on fasse plus simple.

      le financier

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      • #4
        Oran : Une soixantaine d’hôtels pourrait perdre leurs étoiles

        Une soixantaine d’établissements hôteliers de la wilaya d’Oran (58 pour être plus précis) pourrait perdre leurs étoiles, suite à la décision de la direction du Tourisme de relancer l’opération de reclassification des hôtels, a-t-on appris auprès de cette direction. Les enquêtes dans les établissements hôteliers concernés, sur la qualité des prestations de services, ont été confiées à une commission spéciale. Ces hôtels, connus sur la place d’Oran, pourraient perdre une ou deux étoiles. Sur un parc hôtelier composé de 140 établissements, avec une capacité de 13.000 lits, seulement 37 d’entre eux sont officiellement classés par la direction du Tourisme, signale-t-on. Les contrôles des établissements touristiques ont été renforcés ces derniers mois pour en finir avec les hôtels insalubres. La dernière opération d’inspection s’est soldée par l’établissement d’une dizaine de mises en demeure pour non respect de la réglementation en matière d’hygiène, de sécurité et d’accueil. Sur les 58 hôtels ciblés, une dizaine d’établissements ont été épinglés pour «non respect des normes et critères» régissant les établissements hôteliers prévus par la réglementation en vigueur. Les propriétaires de ces hôtels ont été sommés de procéder immédiatement à des travaux de réparation, faute de quoi ils encourent des avertissements suivis de proposition de fermeture. Les opérations d’inspection passent par deux étapes, la première consiste en une visite d’inspection effectuée par une commission relevant de la direction du tourisme, tandis que la seconde étape prévoit une visite d’une commission mixte composée de représentants des directions du tourisme, du commerce et de la santé. La direction du Tourisme a déjà fermé, en juillet dernier, 13 établissements hôteliers qui activaient dans la clandestinité et en particulier sur la corniche oranaise. Parmi ces 13 hôtels «clandestins» certains étaient classés trois étoiles. Ils exerçaient étonnement depuis plusieurs années. Les propriétaires de ces hôtels «clandestins» ont été destinataires depuis début 2009 de mises en demeure à répétition et d’interpellation, même par voie de presse, pour régulariser leur situation, mais sans en vain. On signale, par ailleurs, que l’année dernière, la direction du Tourisme avait recensé une soixantaine d’hôtels activant de manière illégale à Oran

        le financier

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        • #5
          M. Karim Chérif, D-G des Hôtels «Eden» : «La promotion du tourisme, une absolue nécessité

          A l’occasion du 11ème salon international du tourisme et des voyages (SITEV 2010) qui s’ouvrira aujourd’hui et qui s’étalera jusqu’au 11 décembre du 08 au Palais des expositions (SAFEX) à Alger, notre quotidien s’est rapproché de l’un des plus importants acteurs économiques activant dans le secteur du tourisme dans notre pays.
          A l’occasion du 11ème salon international du tourisme et des voyages (SITEV 2010) qui s’ouvrira aujourd’hui et qui s’étalera jusqu’au 11 décembre du 08 au Palais des expositions (SAFEX) à Alger, notre quotidien s’est rapproché de l’un des plus importants acteurs économiques activant dans le secteur du tourisme dans notre pays.
          M. Karim Chérif, directeur général des hôtels Eden a, volontiers, répondu à nos questions :

          Le Financier : Mr Karim Chérif, votre chaîne les Hôtels Eden participe régulièrement au SITEV, qu’attendez-vous de ce type manifestation ?

          M. Karim Chérif : je tiens tout d’abord, si vous le permettez avant de répondre à votre question, vous donner un bref aperçu sur ce que sont les Hôtels Eden et comment, à un moment où très peu de monde se risquait à investir dans ce secteur, nous avions dès la fin années 80 parié sur le développement d’une activité qui nous semblait, au vu des richesses et des potentialités que recèle notre pays, une véritable alternative de développement en terme de dynamique économique, de plus value, de création de richesse et d’emploi. L’envergure de ce salon cette année nous renseigne, d’ailleurs, sur la dimension stratégique de ce secteur dans le développement économique de notre pays. Pour vous donner un exemple de l’importance du secteur, 1 emploi sur 11 se crée maintenant dans le monde autour du tourisme. Ce sont, là, des statistiques récentes du Bureau International du Travail (BIT). L’industrie du tourisme contribue à relever le plus grands des défis mondiaux, à savoir la lutte contre le chômage et la création d’emplois.
          Pour en revenir à la chaîne des hôtels Eden, celle-ci compte actuellement 5 établissements qui ont des positionnements aussi bien balnéaires qu’urbain principalement situés dans la région oranaise. Nous tirons un orgueil légitime du fait de compter à l’heure actuelle plus 600 lits et plus de 700 employés. Le nouvel environnement national, l’accompagnement et le soutien des pouvoirs publics, l’aide des institutions financières, l’appui des autorités locales à la promotion de l’investissement, nous confortent encore davantage dans notre souhait de continuer notre développement en cherchant dorénavant à nous installer dans d’autres régions. L’ouverture prochaine d’un autre établissement hôtelier quatre étoiles de 147 chambres à Sidi Bel-Abbès, dénommé l’Eden Bel-Abbès, démontre notre volonté d’installer, dans le paysage touristique de notre pays, notre modeste chaîne hôtelière sous le label Eden.

          Le Financier : Vous parlez du SITEV, que pensez-vous que ce type de salon puisse apporter au développement du tourisme dans notre pays ?

          M. Karim Chérif : Le SITEV c’est, depuis quelque années, inscrit comme un événement incontournable pour tous ceux qui, de près ou de loin, ont un intérêt avec le secteur du tourisme en général et de l’hôtellerie en particulier. Ce salon offre aussi bien pour les professionnels que pour les particuliers, un moment privilégié d’échanges, de rencontres et d’informations. Notre présence à ce salon depuis de nombreuses années, prouve d’abord notre volonté de nous impliquer aux cotés de tous qui font le tourisme en Algérie. Avec en toile de fond deux objectifs. Le premier est de montrer qu’avec beaucoup de persévérance, de foi et de ténacité, des compétences algériennes peuvent, elles aussi, entreprendre et réaliser des établissements hôteliers de qualité, au même titre et à moindre dimension que, peut-être, de grand groupes internationaux qui eux disposent d’immenses moyens. Le deuxième objectif étant pour nous de participer à la promotion de la seule destination qui mérite de l’être : celle de notre pays. Au-delà de ces objectifs fondamentaux, ce salon génère aussi pour nous des effets de promotion de marketing et de communication pour nos hôtels. La présence au SITEV de l’ensemble des professionnels du voyage, tour-opérateurs, agences, voyagistes, compagnie aérienne, est une chance pour tous ceux qui aspirent à prendre part au développement du tourisme en Algérie.

          Le Financier : Au de la de votre présence au SITEV, l’opinion algérienne pointe du doigt un niveau de prestation dans les services hôtelier loin des normes internationale avec des niveaux de prix particulièrement élevés. Qu’en est-il vraiment ?

          M. Karim Chérif : Votre question, bien que tout à fait légitime, révèle effectivement une vraie problématique : celle de la mise à niveau des structures d’hébergement de notre pays et s’inscrit dans nos axes de développement comme la première des priorités.
          A ce titre, nous sommes à l’heure actuelle en discussion avec la Chambre de commerce et de l’Industrie des Bouches du Rhône qui accueille en son sein le 2ème plus grand établissement hôtelier en Europe, le Greta de Marseille, ainsi qu’avec le l’un des plus grands instituts hôtelier tunisien pour mettre en place des passerelles de collaboration et de coopération dans le cadre de la formation de notre personnel. Nous avons bon espoir de pouvoir à terme réaliser notre propre institut de formation intégrée l’académie Eden. Dans le même ordre d’idée, avec l’aide d’un professionnel étranger spécialisé dans le domaine de formation et de la mise à niveau, nous mettons en place des cycles de formation et de perfectionnement systématique pour l’ensemble du notre personnel. Vous le voyez, notre seul souci est celui de mettre nos établissements aux normes internationales. La fréquentation et la satisfaction de notre clientèle mixte, aussi bien nationale qu’internationale, prouve que nous sommes sur le bon chemin.

          le financier

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          • #6
            Inauguration de la 11eme édition du SITEV : Pour une véritable industrie du tourisme
            tourisme ?
            attention vous allez devenir un maroc bis
            il vaut mieux ;chercher autre chose

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            • #7
              merci du conseil c'est noté
              ne t'inquiète pas , on est pas bêtes

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