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15 et 16 décembre 2010 à Annaba les premières journées d’étude sur le blé dur

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  • 15 et 16 décembre 2010 à Annaba les premières journées d’étude sur le blé dur

    Le groupe organise le 15 et 16 décembre 2010 à Annaba les premières journées d’étude sur le blé dur : Benamor propose la reconduction de l’expérience réussie dans la tomate, aux céréales


    Le Groupe Benamor organisera le 15 et 16 décembre 2010 à Annaba, sous le haut patronage du ministre de l’Agriculture et du Développement rural, les premières journées d’étude sur le blé dur. Cette rencontre, qui regroupera la majorité des producteurs du secteur, sera animée par de grands experts algériens et verra la participation des partenaires français et américains.
    Récemment, dans un communiqué, Laïd Benamor, président-directeur général du Groupe Benamor, a relevé la participation réussie du groupe au Salon International de l’agroalimentaire (SIAL) qui s’est déroulé du 21 au 25 octobre dernier à Paris (France), mettant en évidence «la position de la qualité des produits Amor Benamor au niveau des plus grandes marques internationales». «En effet, au-delà des valeurs technologiques, organoleptiques et nutritionnelles qui les plaçaient déjà parmi les meilleurs produits, les appréciations recueillies au cours des dégustations par des participants du SIAL, d’origines très diversifiées, ont conforté la haute qualité de nos produits», a souligné M. Laïd Benamor. En outre, le P-DG du Groupe Benamor a noté au cours de ce Salon, l’engouement encore présent autour des produits «made in Algeria» qui gardent toujours une très bonne image de notoriété et de tradition. «À présent, notre prochain défi consistera en la reconduction de l’expérience réussie au niveau de la tomate, aux céréales», a indiqué M. Benamor. Dans cette optique, une opération de sensibilisation et d’appui technique des producteurs de céréales sera lancée dès la fin de l’année, afin de les accompagner à améliorer la qualité et les rendements de leur production et ce, à travers la mise en œuvre de nouvelles technologies, une assistance technique ciblée et un renforcement de la coopération producteurs transformateurs.
    L’objectif étant d’intégrer totalement le processus que l’on appelle «de la fourche à la fourchette» et de relever le défi pour l’élaboration d’un produit 100% algérien, qualitativement excellent.
    Le Groupe Benamor a déjà démontré, par le passé dans la tomate indisutrielle, son sens du défi et sa capacité de fédérer le monde des producteurs autour d’un objectif de performance commun. Cet acquis servira de base pour la reconduction de l’expérience. Dans un secteur – la tomate industrielle – sinistré, avec la fermeture de plusieurs conserveries, la famille Benamor a réussi à inverser la tendance. Le secret de la réussite du groupe Benamor, se trouve dans «la vision stratégique et une démarche scientifique, tenant compte de la réalité du terrain» mise en place par le groupe, associant dans sa démarche l’agriculteur, le maillon le plus faible de la chaîne.
    Le travail pédagogique effectué envers les agriculteurs, l’assistance des agriculteurs aux nouvelles techniques de culture de la tomate, entre autres, ont fait tripler le rendement entre 2004 et 2010. La Conserverie Amor Benamor a commencé en 2005 par la création d’une cellule agronomique composée de cinq ingénieurs, chargés de l’assistance, la vulgarisation, la formation et l’information de l’ensemble des agriculteurs cocontractants de la CAB. Par ailleurs, après le constat des faiblesses de rendement découlant de la mauvaise application de l’itinéraire technique, une station expérimentale de 5 ha a été créée pour démontrer l’intérêt de produire le plant en motte. Entre 2008 et 2009, la CAB a construit une multichapelle de 7 000 mètres carrés pour la production de 10 millions de plants, entre tomates et piments, équivalent à la plantation de 500 ha. Le résultat ne s’est pas fait attendre : les rendements ont augmenté à 80 tonnes par hectare. Le groupe Benamor a su faire évoluer le secteur sinistré de la tomate industrielle, un secteur qui, au fil des ans, s’est délité. Le groupe Benamor est venu révolutionner le système. Il a compris que sans l’apport d’une expertise, on ne peut pas aller bien loin. L’expérience de la Conserverie du groupe Amor Benamor, en termes de partenariat gagnant-gagnant avec le monde agricole, est édifiante et devrait être généralisée. Le groupe Benamor, détenteur de moulins et principal artisan du projet de « promotion de la qualité des blés durs dans les hautes plaines de l’est », veut s’appuyer sur une première expérience réussie de « valorisation de la filière » ; qui montre que lorsque « les industriels se penchent sur leur environnement, notamment sur ce qui se fait sur leur amont, ils peuvent ensemble avec les producteurs améliorer toute la chaine de valeur au profit de tous ».

    le financier
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