J’étais allé en flânant goûter la saveur
Du temps qui passe avec mes
Seules ombres et le soir qui s’évade…
Sur le rocher de mes rêves,
Au crépuscule tout ordinaire,
Au bord de l’étendu de la grande mer,
J’ai admiré le couchant du soleil
Descendre comme une boule de feu,
Lentement, du vaste toit de la vie
Coiffé d’un grand bleu qu’est
Le beau ciel.
Les instants étaient doux et le
Calme était presque inaltérable,
Dans le néant qui dévore
La nature qui semblait bien morte
Mais elle est bien vivante pourtant,
Enveloppant les folies et les bruits
De la terre.
Sur le rocher de mes rêves,
Sous mes pieds, les écumes dansent
Sur une musique bien singulière,
Si légère on dirait de la chaude vapeur
S’échappant de l’air !
L’exquise de ces instants remonte
Jusqu'à mon crâne et le doux soleil
Continue sa descente frottant l’azur
Courbé de la grande mer qui s’apaise.
Les vagues, comme ceux de la tendresse,
S’enlacent et se resserrent le long du
Parcours pour apaiser la fureur qui leur reste
Sur la plage de la vie.
Les sables de la terre, accueillant les mortelles,
S’adoucissent de la sécheresse causée par une
Journée sous les rayons du soleil.
Quelle merveille !
Sur le rocher de mes rêves, je contemple
Le soleil couchant sombrer dans la
Paisible mer tout en douceur.
Samir, Le 01/04/2006 à 13h30 min
Du temps qui passe avec mes
Seules ombres et le soir qui s’évade…
Sur le rocher de mes rêves,
Au crépuscule tout ordinaire,
Au bord de l’étendu de la grande mer,
J’ai admiré le couchant du soleil
Descendre comme une boule de feu,
Lentement, du vaste toit de la vie
Coiffé d’un grand bleu qu’est
Le beau ciel.
Les instants étaient doux et le
Calme était presque inaltérable,
Dans le néant qui dévore
La nature qui semblait bien morte
Mais elle est bien vivante pourtant,
Enveloppant les folies et les bruits
De la terre.
Sur le rocher de mes rêves,
Sous mes pieds, les écumes dansent
Sur une musique bien singulière,
Si légère on dirait de la chaude vapeur
S’échappant de l’air !
L’exquise de ces instants remonte
Jusqu'à mon crâne et le doux soleil
Continue sa descente frottant l’azur
Courbé de la grande mer qui s’apaise.
Les vagues, comme ceux de la tendresse,
S’enlacent et se resserrent le long du
Parcours pour apaiser la fureur qui leur reste
Sur la plage de la vie.
Les sables de la terre, accueillant les mortelles,
S’adoucissent de la sécheresse causée par une
Journée sous les rayons du soleil.
Quelle merveille !
Sur le rocher de mes rêves, je contemple
Le soleil couchant sombrer dans la
Paisible mer tout en douceur.
Samir, Le 01/04/2006 à 13h30 min
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