Alger, 10/12/2010 (SPS) L'Algérie réaffirme la nécessité du "respect" de la légalité internationale concernant la question du Sahara occidental, tout en réitérant qu'"elle n'est pas partie au conflit", a indiqué jeudi à Alger, le directeur général des Affaires politiques et de la sécurité internationales au ministère des Affaires étrangères algérien, M. Dani Benchaâ.
"Nous avons demandé pour que la légalité internationale soit respectée, concernant le conflit au Sahara occidental", a précisé M. Benchaâ lors d'une conférence-débat sur la politique extérieure de l'Algérie animée dans le cadre de la visite officielle des auditeurs de la 117e session du cours principal du collège de Défense de l'Otan à Rome, selon APS.
"C'est pour cette raison que nous continuons à soutenir l'action des Nations unies et celle de M. Christopher Ross, l'envoyé personnel du SG de l'Onu", a-t-il dit, devant les membres de la délégation de l'Otan.
Il a indiqué que "l'action de l'Algérie se limite à une action diplomatique comme d'ailleurs le fait toute la communauté internationale", ajoutant que "l'Algérie n'est pas du tout une partie au conflit".
"C'est seulement notre appui à un principe cardinal pour qu'il y ait un ordre international et qu'on respecte la légalité internationale", a-t-il souligné.
Le même responsable a affirmé que la base essentielle qui anime la politique étrangère de l'Algérie est la légalité internationale qui condamne l'usage de la force militaire pour occuper un territoire. "C'est un principe cardinal de la politique algérienne depuis son indépendance", a-t-il rappelé. (SPS)
010/090/700 101744 DEC 2010 SPS
"Nous avons demandé pour que la légalité internationale soit respectée, concernant le conflit au Sahara occidental", a précisé M. Benchaâ lors d'une conférence-débat sur la politique extérieure de l'Algérie animée dans le cadre de la visite officielle des auditeurs de la 117e session du cours principal du collège de Défense de l'Otan à Rome, selon APS.
"C'est pour cette raison que nous continuons à soutenir l'action des Nations unies et celle de M. Christopher Ross, l'envoyé personnel du SG de l'Onu", a-t-il dit, devant les membres de la délégation de l'Otan.
Il a indiqué que "l'action de l'Algérie se limite à une action diplomatique comme d'ailleurs le fait toute la communauté internationale", ajoutant que "l'Algérie n'est pas du tout une partie au conflit".
"C'est seulement notre appui à un principe cardinal pour qu'il y ait un ordre international et qu'on respecte la légalité internationale", a-t-il souligné.
Le même responsable a affirmé que la base essentielle qui anime la politique étrangère de l'Algérie est la légalité internationale qui condamne l'usage de la force militaire pour occuper un territoire. "C'est un principe cardinal de la politique algérienne depuis son indépendance", a-t-il rappelé. (SPS)
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