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Maroc - Mali : alliance pour déstabiliser le Sahel

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  • Maroc - Mali : alliance pour déstabiliser le Sahel

    Maroc - Mali : alliance pour déstabiliser le Sahel

    Le Maroc cultive le cannabis et continue de crier à la lutte contre le trafic de drogue, dans laquelle prétend être un rempart.

    Le Maroc commet des actes terroristes au Maroc et ailleurs (11 Mars 2004, à Madrid, le génocide commis contre le peuple du Sahara Occidental le 8 novembre dernier, les multiples agression contre les enclaves espagnols de Ceuta et Melilla, etc.) et continue de se poser en rempart contre le terrorisme.

    Les câbles de Wikileaks ont été très clairs à ce suiet : "Les USA ont exprimé à l’Algérie leur inquiétude quant à la souplesse des autorités marocaines dans la lutte contre le trafic de drogue et la transformation du royaume en lieu de rencontres pour les trafiquants de drogue Colombiens, et de devenir aussi un passage au nord ouest africain ainsi que le bénéfice de l’organisation d’Al Qaida au Maghreb Islamique de ses revenus."

    Devant les recettes obtenues par Rabat grâce aux centaines de zodiaques parquées dans la région de Nador au vu et au su de toute la communauté internationale, le Mali essaie de profiter de ce trafic pour faire développer des contrées largement oubiées : l'Azaouad.

    Voici un excellent reportage de Sonia Rilley sur comment AQMI est devenu un Etat dans l'Etat malien, avec la complicité des responsables maliens.


    L’entreprise Aqmi Par Sonia Rolley, 10/12/2010

    Prises d’otages, déclarations chocs, légitimation par Oussama ben Laden lui-même, Aqmi prend du galon. Les autorités françaises sont même allées jusqu’à parler en septembre dernier d’un risqué d’attentat en France perpétré par la «branche» sahélienne d’al-Qaida. Et si la vision politique et médiatique d’al-Qaida au Maghreb islamique cachait sa véritable nature, celle d’une entreprise, qui s’est diversifiée, a investi dans de nombreux secteurs de l’économie, légale comme illégale? En filant la méta*phore de l’entreprise, voilà à quoi ressemble Aqmi.

    La naissance: le changement de raison sociale du GSPC

    Al-Qaida au Maghreb Islamique n’existe que depuis le 11 sep*tembre 2006. Comme beaucoup de sociétés le font pour se relancer, le Groupe Salafiste pour la Prédication et le Combat (GSPC) algérien choisit de changer de nom à cette date emblématique et de revendiquer son allégeance à un groupe plus large, plus «bankable» que lui: l’organisation ter*roriste qui à l’époque fait trem*bler le monde entier. Et le GSPC avait bien besoin de ce coup de pub.

    Si dans les années 1990, il comptait encore plusieurs milliers de membres, le nombre de ses employés n’a, depuis, de cesse de diminuer. Il fait face à un pro*blème marketing: son discours né convainc plus en Algérie. Résultat, les martyrs sont de moins en moins nombreux et ses réseaux logistiques se réduisent peu à peu sous la pression des attaques et de la politique de réconciliation du gouvenement algérien. Devant la diminution progressive de ses ressources, le GSPC se devait de réagir. «Le Sahel appartenait à la 9e région du GSPC.

    Dans un premier temps, cette branche de l’organisation devait comme le reste du GSPC combattre les forces algériennes. Mais par la force des choses, l’appui logistique ayant été coupé, le GSPC a été dans l’obligation d’étendre son territoire au-delà de ses bases algériennes et de
    chercher de l’argent ailleurs», explique Louis Caprioli, consultant pour le groupe GEOS et ancien sous-directeur de la lutte contre le terrorisme à la DST.

    Aujourd’hui Aqmi se divise clairement en deux branches, la branche algérienne et celle qui intervient au Sahel.

    Un champ d’action territorial

    Le Sahel, une zone en rébellion de plus de 40 ans, abandonnée par les pouvoirs cen*traux au Niger ou au Mali, était un territoire à prendre, un terri*toire où les populations vivent dans l’extrême pauvreté. Mais le Sahel est aussi le carrefour de tous les trafics (cigarettes, voitures volées, alcool, drogue, immigration clandestine).

    Pour ceux qui dis*posent d’armes, il y a toujours une manière de se faire de l’argent. (Carte: zone d’influence d’Aqmi / Orthuberra via Wikimedia Commons CC license by)


    LES RESSOURCES

    Le tra*fic

    C’est la première source de financement développée historiquement par Aqmi et la spécialité de Mokhtar Benmokhtar, alias Khaled Abou El Abbès, l’un des chefs d’Aqmi. Il touché un peu à tout, aux trafics de cigarettes, de voitures volées et même d’alcool. Mais en haut lieu, les dents commencent à grincer, on lui reproche son attitude peu «islamiste», ce qui lui avait déjà voulu de perdre la direction de la région 9 du GSPC.

    Les taxes

    Une fois par an, le conseil des chefs d’Aqmi se réunit. Comme tout conseil d’administration, il fait le point sur les activités de l’entreprise Aqmi, ses opérations, ses sources de financement. Et en 2008 s’opère un premier changement. «Les membres d’al-Qaida au Maghreb islamique né devaient plus prendre eux-mêmes part aux trafics, mais instaurer des taxes sur des trafics déjà exi*tants. Une sorte de droit de passage», explique Mathieu Gui*dère, auteur d’Al Qaida à la conquête du Maghreb.

    Cela va concerner surtout le trafic de drogue et l’immigration clandestine. Dans un cas comme dans l’autre, tout transite par le Sahel avant d’aller en Europe.


    Pour preuve, cet avion venu de Bogota, qui a atterri en novembre 2009 près de Gao dans le nord du Mali et n’a jamais pu repartir. Les trafiquants de drogue sud-américains utilisent de plus en plus l’Afrique de l’ouest et le Sahel pour faire rentrer la drogue sur le territoire européen, via le Maroc ou la Libye.

    Il suf*fit donc à l’organisation de taxer les responsables de ses filières qui transitent sur son territoire, leur offrant en échange un sauf-conduit et une protection. Selon Mathieu Guidère, ces taxes vont très vite prendre le pas sur les autres trafics moins lucratifs.


    A suivre....
    Dernière modification par Yakouren, 11 décembre 2010, 02h14.

  • #2
    Les prises d’otages

    Nou­veau chan­ge­ment de cap, nou­velle réunion des chefs d’Aqmi, fin décembre 2008, l’un des bras droits de Yahia Djouadi, l’émir du Sahara, pro­pose une nou­velle stra­té­gie plus com­pa­tible, de son point de vue, avec le Jihad. Abde­la­mid Abou Zeïd a lui aussi fait ses classes dans le maquis algé­rien. Mais il est plus radi­cal que l’autre chef de «Katiba», de sec­tion, Mokh­tar Ben­mo­kh­tar. Il pro­pose de déve­lop­per la branche d’activités liées aux «pri­son­niers de guerre», les prises d’otages d’expatriés, si pos­sibles ori­gi­naires de pays «mécréants» impli­qués dans le conflit en Afgha­nis­tan contre la mai­son mère.

    Aqmi n’en est pas à son coût d’essai. Le GSPC non plus d’ailleurs même si les prises d’otage n’étaient qu’une acti­vité mar­gi­nale. Les Fran­çais Pierre Camatte et Michel Ger­ma­neau, le Bri­tan­nique Edwyn Dyer, le Cana­dien Robert Fow­ler, les Espa­gnols Albert Vilalta, Ali­cia Gámez et Roque Pas­cual, la liste s’allonge encore avec en sep­tembre l’enlèvement de 7 per­sonnes à Arlit au nord du Niger, 5 Fran­çais, un Togo­lais et un Mal­gache.

    Au total depuis sa créa­tion, Aqmi aurait tou­ché quelque 70 mil­lions d’euros, à rai­son en moyenne de 2 mil­lions par otage.

    «Les prises d’otage ne vont pas sup­plan­ter les taxes sur les tra­fics, explique tou­te­fois Mathieu Gui­dère. Car ces taxes sont des sources de reve­nus beau­coup plus régu­lières. Le kid­nap­ping n’est une source de reve­nus occa­sion­nelle et ponc­tuelle. Ce n’est donc pas pos­sible de les sub­sti­tuer.» C’est égale­ment l’avis de Louis Caprioli qui estime que ces taxes rap­portent à Aqmi beau­coup plus encore que les ran­çons si médiatisées.


    Mar­ke­ting

    Les prises d’otages servent aussi de cam­pagne de com­mu­ni­ca­tion à l’entreprise. En se mul­ti­pliant, en deve­nant de plus en plus média­tiques, ils font fina­le­ment la renom­mée d’al-Qaida au Magh­reb isla­mique, bien au-delà des opé­ra­tions sans enver­gure de la branche algé­rienne d’Aqmi. Car si les chefs offi­ciels du mou­ve­ment –le numéro 1 Abdel­ma­lek Drouk­del et Yahia Djouadi– sont tou­jours en ter­ri­toire algé­rien, l’attention de la com­mu­nauté inter­na­tio­nale se foca­lise sur le Sahel et sur ses chefs de Katiba. Hon­neur suprême, cette évolu­tion leur vau­dra en octobre 2010 un mot du chef suprême Ous­sama Ben Laden, qui, dans un mes­sage, évoque pour la pre­mière fois les acti­vi­tés de la branche sahé­lienne d’al-Qaida (Drouk­del, lui, fait entrer Ben Laden dans les négo­cia­tions sur les otages fran­çais le 18 novembre 2010). Une label­li­sa­tion qui, aux yeux d’un Abou Zeïd, vaut plus que toutes les récom­penses, armes ou for­ma­teurs. Car il n’y a stric­te­ment aucun lien opé­ra­tion­nel entre l’organisation au Sahel et al-Qaida, assurent les spé­cia­listes du dos­sier. Tout ce que les deux orga­ni­sa­tions par­tagent, c’est un nom et peut-être une idéologie.


    LES PRINCIPAUX POSTES DE DÉPENSES

    Que fait Aqmi de ses mil­lions? L’organisation compte au mieux dans le Sahel quelque 300 membres actifs. Dis­per­sés en petits groupes, ils sont tou­jours en mou­ve­ment pour éviter d’être repé­rés. Et même s’ils sont mieux armés, équi­pés de moyens modernes de com­mu­ni­ca­tion, rien dans leurs équi­pe­ments n’indique un inves­tis­se­ment excep­tion­nel, ni armes lourdes, ni chars de com­bats et encore moins une avia­tion.

    Car si Aqmi est offi­ciel­le­ment en guerre, c’est au nord, contre l’armée algé­rienne. Sa branche sahé­lienne né s’attaque qua­si­ment jamais aux mili­taires de la région. Il n’y a pas là non plus d’attaques de grande ampleur, ni d’opération mas­sive de recru­te­ment.

    En Algé­rie, non plus, l’activité ter­ro­riste n’a pas pris d’ampleur, au contraire. "Si vous regar­dez bien depuis le mois d’août 2008, vous n’avez plus eu de grandes opé­ra­tions mili­taires réa­li­sées par cette orga­ni­sa­tion sur le ter­ri­toire algé­rien", explique Louis Caprioli.

    Ça veut dire qu’elle est en posi­tion de fai­blesse. Elle n’est plus capable de faire de grands atten­tats sui­cides.»

    Aujourd’hui, la branche algé­rienne d’Aqmi né comp­te­rait plus que quelques cen­taines de membres, 600 selon les plus hautes esti­ma­tions.

    La sous-traitance

    Avec 300 per­sonnes à peine, aussi mobiles, la branche sahé­lienne d’Aqmi n’accomplirait rien direc­te­ment. En fait, l’organisation sous­traite à peu près tout: l’achat d’armes, de nour­ri­ture, d’essence ou d’eau. Elle a ses appro­vi­sion­neurs atti­trés. Cela vaut aussi pour les otages. Selon Mathieu Gui­dère, seule la der­nière vague d’enlèvement, celle d’Arlit, a été diri­gée par Abou Zeïd. Les autres ont été cap­tu­rés par des groupes armées locaux qui par la suite les ont revendu à Aqmi. «Ces groupes locaux ont besoin d’argent, mais n’ont pas les capa­ci­tés de main­te­nir des per­sonnes en otage plu­sieurs mois, explique Mathieu Gui­dère. Ce n’est pas comme en Soma­lie ou au Nigé­ria. Ils n’ont ni l’expérience, ni la logis­tique néces­saire, ni même l’idée de mener à bien une telle opé­ra­tion.»

    C’est aussi l’opinion de Louis Caprioli: «Lorsqu’un diplo­mate cana­dien (NDLR: Robert Fow­ler) est enlevé à proxi­mité de Nia­mey, la capi­tale nigé­rienne, cela ne fait aucun doute, il y a des com­plices locaux qui enlèvent des expa­triés pour les vendre ensuite à Aqmi.» Ces groupes locaux sont payés, mais sans aucune mesure avec le mon­tant annoncé des rançons.

    «En cas de prise d’otage, la chaîné d’intermédiaires est ter­ri­ble­ment longue et cha­cun pré­lève sa part.» Il y a deux ou trois négo­cia­teurs qui ont pignon sur rue à Bamako, les chefs locaux voi­sins d’Aqmi et puis des contacts sur le ter­rain qui savent plus ou moins où trou­ver les membres de l’organisation. C’est une pro­tec­tion pour les chefs d’Aqmi qui sont très dif­fi­cile à joindre et cela explique aussi pour­quoi il est par­fois dif­fi­cile de prendre contact avec eux.

    «Mais je né peux pas croire qu’ils se laissent dépouiller par les négo­cia­teurs, car fina­le­ment ce sont eux qui détiennent la clef du pro­blème», affirme pour sa part Louis Caprioli. Une opi­nion par­ta­gée par Adam Thiam, l’éditorialiste du quo­ti­dien malien Le Répu­bli­cain: «Je né peux pas croire que les chefs de tri­bus voi­sins d’Aqmi sont si bien payés, sinon ils vivraient beau­coup mieux qu’aujourd’hui, ils sont loin de rou­ler sur l’or.» Pour­tant, il y a de plus en plus de construc­tions à Tom­bouc­tou, à Gao ou Kidal.

    L’immobilier dans le nord du Mali né connaît pas la crise. Le prix du ciment explose. Or inves­tir dans le bâti­ment, c’est la meilleure manière de blan­chir de l’argent sale. Pour Adam Thiam, on est bien loin de l’explosion dénon­cée par cer­tains élus du nord, mais tout de même, cela montre un cer­tain dyna­misme de la région. Est-ce pour autant Aqmi qui inves­tit? Rien n’est moins sûr. «Pour moi, ce n’est pas direc­te­ment Aqmi qui inves­tit dans les villes, mais ces gros com­mer­çants qui pro­fitent d’Aqmi et du nar­co­tra­fic pour s’enrichir, cela ne concerne que quelques per­sonnes.»

    A Suivre.....
    Dernière modification par Yakouren, 11 décembre 2010, 02h17.

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    • #3
      Irri*guer tout le tissu social

      Aqmi redis*tri*bue lar*ge*ment pour s’assurer de la non-hostilité des popu*la*tions locales. «La popu*la*tion ne subit pas Aqmi, en tout cas pas au point de pro*vo*quer un rejet, explique Mathieu Gui*dère. Aqmi ne l’attaque pas, n’enlève pas d’habitants de la région. L’organisation ter*ro*riste par*ti*cipe indi*rec*te*ment à la vie écono*mique du nord du Sahel.» C’est pour cela que l’organisation avait choisi à l’origine de s’installer au nord du Mali et du Niger, les habi*tants sont rétifs au pou*voir cen*tral et extrê*me*ment pauvres. L’Etat y est pra*ti*que*ment absent.

      «Ils se sont impo*sés par les acti*vi*tés écono*miques, ils donnent de l’argent aux gens pour créer des petits com*merces et ça leur sert ensuite de sources d’approvisionnement», raconte Moha*med Ould Mah*moud, ancien direc*teur d’Oxfam au Mali et expert en déve*lop*pe*ment, ori*gi*naire de Tom*bouc*tou. Lui a vu com*ment Aqmi s’est atti*rée les faveurs d’une par*tie de la popu*la*tion en payant comp*tant et sans négo*cier la moindre mar*chan*dise ou en dis*tri*buant des médi*ca*ments. «Aqmi, c’est l’Etat là où il n’y en a pas», rebon*dit son com*pa*triote Adam Thiam.

      Déjà très pauvre, la bande sahélo-saharienne est tou*chée de plein fouet par la crise écono*mique et une ter*rible séche*resse. Les reve*nus tou*ris*tiques sont en baisse depuis des années à cause dans un pre*mier temps de la pro*li*fé*ra*tion des groupes armés et der*niè*re*ment bien sûr des prises d’otages.

      Les groupes rebelles du nord du Mali et du Niger ont fini dans leur grande majo*rité par ral*lier les pou*voirs cen*traux, mais sans obte*nir les contre-parties atten*dues. «Le tissu socio-économique est dans un tel état que n’importe quelle source de reve*nus est la bien*ve*nue. La popu*la*tion ne va pas regar*der d’où vient l’argent», explique encore Mathieu Guidère.

      Aqmi serait-elle une alter*na*tive à des Etats défaillants? Moha*med Ould Mah*moud, lui, s’oppose vigou*reu*se*ment à cette idée. De même qu’à celle d’une popu*la*tion entiè*re*ment dévouée à Aqmi, com*plice de ses actions: «Quel autre choix ont-ils? Ils ont peur d’actions de repré*sailles. Aqmi décide qui tra*vaille ou pas dans le sec*teur des trans*ports par exemple.»

      Arri*vée sur la pointe des pieds, l’organisation sahé*lienne s’impose peu en peu comme une entre*prise mono*po*lis*tique. Son ombre plane sur tous les sec*teurs d’activité. Les com*mer*çants locaux heu*reux hier d’avoir quelqu’un à appro*vi*sion*ner prennent du galon. «Une nou*velle aris*to*cra*tie est en train d’émerger.» Pour lui, il né faut pas non plus dis*tin*guer les nar*co*tra*fi*quants des ter*ro*ristes: «Ceux qui font du tra*fic de drogue s’installent dans les capi*tales régio*nales, à Gao, à Tom*bouc*tou. Là-bas, ils béné*fi*cient d’une cer*taine immu*nité.

      Les autres sont dans le désert. Ils appa*raissent plus idéo*lo*giques. Mais la fina*lité est la même". Et cette fina*lité, c’est de faire de l’argent. Pour conti*nuer à exis*ter.

      Sonia Rolley, Slate.
      Dernière modification par Yakouren, 11 décembre 2010, 02h16.

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      • #4
        ton intro sur le Maroc pour un theme qui ne le cite nul par
        s'appelle " is9at atta'irates" (abatteur d'avion!!)



        .
        .
        ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
        Napoléon III

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        • #5
          ha ha ha ha 2 articles cousus

          Tout le monde sait que l'Aqmi est né et a grandi en Algérie, que ces dirigeants Droudkel & co sont algériens, mais ce qu'on sait moins c'est que l'Algérie se sert de l'Aqmi pour affaiblir ses voisins: la Mauritanie et le Mali qui jusqu'à quelques années étaient des pays paisibles font les frais des manigances d'Alger

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          • #6
            excat sparviero lit le sujet sur le monde du terroriste EL para soutenu par l'algerie

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            • #7
              mais oui mais oui , le Maroc c'est le diable en personne !
              y a même satan qui vient lui demander conseille pour bien faire son métier !!

              Commentaire


              • #8
                Tout le monde sait que l'Aqmi est né et a grandi en Algérie, que ces dirigeants Droudkel & co sont algériens, mais ce qu'on sait moins c'est que l'Algérie se sert de l'Aqmi pour affaiblir ses voisins: la Mauritanie et le Mali qui jusqu'à quelques années étaient des pays paisibles font les frais des manigances d'Alger
                ça c'est le baratin de la propagande marocaine qui abreuve le peuple marocains.

                Tout le monde sait que les réseaux mafieux marocains (liés au pouvoir), qui ont le monopole de la production et la distribution de la drogue au Maghreb (ce qui est une fierté pour les marocains!!), ont des liens etroits avec l'Aqmi qui n'est rien qu'une pègre et une associations de malfaiteurs.

                Commentaire


                • #9
                  Tout le monde sait que les réseaux mafieux marocains (liés au pouvoir), qui ont le monopole de la production et la distribution de la drogue au Maghreb (ce qui est une fierté pour les marocains!!), ont des liens etroits avec l'Aqmi qui n'est rien qu'une pègre et une associations de malfaiteurs.
                  elementaire mon cher, aqmi dont les memebres ne sont issue que du gspc et originellement du GIA algeriens qui etait encouragé par votre allié iranien. C'est une vraie chorba que tu nous livre là
                  "Le patriotisme c'est l'amour des siens. Le nationalisme c'est la haine des autres". Romain Gary

                  Commentaire


                  • #10
                    mais oui mais oui , le Maroc c'est le diable en personne !
                    y a même satan qui vient lui demander conseille pour bien faire son métier !!
                    Comme il n'est pas vrai que les marocains dont les parrains sont les saoudiens,ceux la même qui financent le terrorisme dans le monde!!! Évidemment le royaume enchanté n'a que des parrains,des maitres du bien....

                    Commentaire


                    • #11
                      Voilà un nouveau specialiste de la strategie nord africaine-en dilatoire"
                      Coucher du soleil à Agadir

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                      • #12
                        Maroc - Mali : alliance
                        qui l'aura cru il y a juste 10 ans, le mali le pays qui est sous l'influence de l'algerie et qui etais pour la creation d'un autre pays au sahara deviens l'ami du maroc, mieu encore il a une alliance maintenant avec le maroc .

                        le maroc controle le plus grand operateur de telephone au mali, la BMCE controle le plus grand groupe bancaire malient qui est present dans 22 pays et les cables de fibre optic vont de dakhla au mali via la mauritanie qui en benefice aussi.........


                        bouteflica doit faire un stage chez M6 parceque c'est vraiment la qu'on aprend l'art de la diplomicie dans notre region.

                        Commentaire


                        • #13
                          Le DRS a crée le GIA, le GSPC, l'AQMI, il manipule la France, Mauritanie, le Niger, le Mali … il contrôle le POLISARIO, il contrôle tout le pouvoir en Algérie (présidence, ministères, députés, wilayas … ) il contrôle l'économie algérienne, la presse, l'armée …


                          bientôt, on va dire que ce petit département de quelques espions formés a la soviétique contrôle la cosa nostra et la camora et qu'il manipule même la CIA et le Mossad peut être …

                          Commentaire


                          • #14
                            Trouve moi une source irréfutable au lieu de poster des déclarations d'un site de propagande!

                            Hahahahahahahahahahaha

                            c'est pas toi qui a écrit : http://www.algerie-dz.com/forums/sho...3&postcount=72

                            VOICI TA REPONSE: L’ex émir et fondateur du Groupe Islamique Armé (GIA), Abdelhak Layada, a déclaré qu’il est entré au Maroc en 1993 à la demande de la sécurité marocaine, et non pas pour rencontrer des Afghans Algériens établis au Royaume marocain.
                            Tu as raison , il s'agit la d'une source irréfutable un Terroriste à prendre au serieux . lol

                            la hawla wa la kowwata illa billah .

                            lli hechmou , matou

                            Commentaire


                            • #15
                              Le DRS a crée le GIA, le GSPC, l'AQMI
                              c'est une évdieence , de toute facon , ces trois groupes n'ont jusqu'à maintenant fait que des victimes en algérie ......

                              , il manipule la France, Mauritanie, le Niger, le Mali
                              meme pas en reve


                              La france se permet de d'intervenir quand elle veut dans la région du sahel

                              la mauritanie , ne prend pas l'algérie au sérieux

                              le Mali , fait tous pour se débaraser de l'influence nefaste de l'algérie

                              et le Niger est trop occupée par la famine qui fait des ravages chez lui

                              il contrôle le POLISARIO
                              ca c'est plutot l'armée ......

                              il contrôle tout le pouvoir en Algérie (présidence, ministères, députés, wilayas … )
                              on croira le contraire quand le président , un ministre ou un Wali osera critiquer TOUFIK

                              il contrôle l'économie algérienne,
                              c'est plutot l'armée ca ...

                              bientôt, on va dire que ce petit département de quelques espions formés a la soviétique contrôle la cosa nostra et la camora et qu'il manipule même la CIA et le Mossad peut être …
                              de l'ironie de bien mauvaise qualité.....
                              " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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