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Une importante opération de ratissage a été déclenchée dans la nuit de mercredi à jeudi par les forces de sécurité dans les wilayas du Centre, notamment de Boumerdès, Tizi Ouzou et Bouira où, pour la première fois, le réseau de téléphonie mobile a été brouillé pour assurer le succès de cette offensive. Selon nos informations, cette opération est intervenue à la suite de la capture, lundi dernier, de deux terroristes à Si Mustapha à l’est de la wilaya de Boumerdès qui auraient donné de précieux renseignements aux forces de sécurité sur la présence de plusieurs groupes terroristes dans la région de Sid-Ali-Bounab où plus de 18 terroristes dont une dizaine d’“émirs” se trouvaient en conclave. La plupart font partie de katibat El-Ansar de Boumerdès et de katibat Ennour de Tizi Ouzou.
Le groupe se trouve toujours encerclé au lieu-dit oued Guergour au sud de Sid-Ali-Bounab. D’autres patrouilles de l’ANP se sont déployées dans la région d’Aït Sada et d’Oued Larbâa ainsi qu’à Oued Abenène toujours à Sid-Ali-Bounab. Un militaire a été blessé par une bombe lors de l'avancée des militaires vers la cache du groupe terroriste. Par ailleurs, les services de sécurité ont décidé de mener simultanément plusieurs opérations de ratissage dans plusieurs localités de la wilaya de Boumerdès, notamment à Legata, Ammal, Béni Amrane, Sid-Ali-Bounab, Cap Djinet, Mizrana entre autres. Mais cette fois-ci, l’action des services de sécurité a été facilitée par le brouillage du réseau de téléphonie mobile qui a commencé mercredi à minuit et qui a duré toute la journée.
Ce n’est qu’avant-hier, à 19h, que le réseau a été rétabli pour être brouillé de nouveau hier encore à minuit. Cette mesure a complètement déboussolé les groupes terroristes habitués à coordonner leurs actions grâce au téléphone mobile, muni de fausses puces téléphoniques, comme elle a assuré la sécurité aux véhicules militaires mobilisés dans cette opération.
Le succès de l’opération ne s’est pas fait attendre puisque deux terroristes seront abattus et leurs armes récupérées à Aïn El-Hamra, au nord de la commune de Bordj Menaïel. Les deux terroristes s’apprêtaient à rencontrer un pilleur de sable pour les transporter à bord de son camion à Cap Djinet, ajoutent nos sources. Quelques heures plus tard, et non loin de là, un autre terroriste a été mis hors d’état de nuire dans la localité de Ouled Ameur sur les hauteurs de Bordj Menaïel alors que deux autres ont réussi à prendre la fuite. Incapables d’actionner leurs bombes ni de combiner leurs mouvements, les groupes terroristes ont choisi de se replier vers les maquis de Ouled Ameur où ils seront poursuivis par des patrouilles de l’ANP visiblement très à l’aise sur ces routes généralement truffées de bombes.
les forces de sécurité continuent de traquer les groupes terroristes dans plusieurs endroits à la fois. Mais c’est à Sid-Ali-Bounab où d’importants moyens ont été déployés hier par les forces de sécurité pour déloger des “émirs” du GSPC qui se seraient retranchés dans des grottes difficiles d’accès.
Aucune information n’a filtré encore sur cette opération qui continue à se dérouler en l’absence de toute communication téléphonique du réseau mobile. Par ailleurs, on a appris que les groupes terroristes opérant dans la wilaya de Boumerdès et de Tizi Ouzou disposeraient de plus de 600 puces téléphoniques inscrites sous de fausses identités. Les terroristes continuent ainsi à profiter du laxisme des vendeurs de puces téléphoniques qui n’exigent toujours pas la présence de l’acheteur de la puce. Ils se contentent seulement d’une photocopie d’identité. Ce qui est contraire à la réglementation.
LIBERTE.
Le groupe se trouve toujours encerclé au lieu-dit oued Guergour au sud de Sid-Ali-Bounab. D’autres patrouilles de l’ANP se sont déployées dans la région d’Aït Sada et d’Oued Larbâa ainsi qu’à Oued Abenène toujours à Sid-Ali-Bounab. Un militaire a été blessé par une bombe lors de l'avancée des militaires vers la cache du groupe terroriste. Par ailleurs, les services de sécurité ont décidé de mener simultanément plusieurs opérations de ratissage dans plusieurs localités de la wilaya de Boumerdès, notamment à Legata, Ammal, Béni Amrane, Sid-Ali-Bounab, Cap Djinet, Mizrana entre autres. Mais cette fois-ci, l’action des services de sécurité a été facilitée par le brouillage du réseau de téléphonie mobile qui a commencé mercredi à minuit et qui a duré toute la journée.
Ce n’est qu’avant-hier, à 19h, que le réseau a été rétabli pour être brouillé de nouveau hier encore à minuit. Cette mesure a complètement déboussolé les groupes terroristes habitués à coordonner leurs actions grâce au téléphone mobile, muni de fausses puces téléphoniques, comme elle a assuré la sécurité aux véhicules militaires mobilisés dans cette opération.
Le succès de l’opération ne s’est pas fait attendre puisque deux terroristes seront abattus et leurs armes récupérées à Aïn El-Hamra, au nord de la commune de Bordj Menaïel. Les deux terroristes s’apprêtaient à rencontrer un pilleur de sable pour les transporter à bord de son camion à Cap Djinet, ajoutent nos sources. Quelques heures plus tard, et non loin de là, un autre terroriste a été mis hors d’état de nuire dans la localité de Ouled Ameur sur les hauteurs de Bordj Menaïel alors que deux autres ont réussi à prendre la fuite. Incapables d’actionner leurs bombes ni de combiner leurs mouvements, les groupes terroristes ont choisi de se replier vers les maquis de Ouled Ameur où ils seront poursuivis par des patrouilles de l’ANP visiblement très à l’aise sur ces routes généralement truffées de bombes.
les forces de sécurité continuent de traquer les groupes terroristes dans plusieurs endroits à la fois. Mais c’est à Sid-Ali-Bounab où d’importants moyens ont été déployés hier par les forces de sécurité pour déloger des “émirs” du GSPC qui se seraient retranchés dans des grottes difficiles d’accès.
Aucune information n’a filtré encore sur cette opération qui continue à se dérouler en l’absence de toute communication téléphonique du réseau mobile. Par ailleurs, on a appris que les groupes terroristes opérant dans la wilaya de Boumerdès et de Tizi Ouzou disposeraient de plus de 600 puces téléphoniques inscrites sous de fausses identités. Les terroristes continuent ainsi à profiter du laxisme des vendeurs de puces téléphoniques qui n’exigent toujours pas la présence de l’acheteur de la puce. Ils se contentent seulement d’une photocopie d’identité. Ce qui est contraire à la réglementation.
LIBERTE.
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