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Ouyahia affirme sa fidélité à Bouteflika

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  • Ouyahia affirme sa fidélité à Bouteflika

    Ahmed Ouyahia lors d'une conférence de presse à Sidi Fredj a affirmé ne jamais se presenter contre Bouteflika lors des prochaines éléctions en 2009.
    De même il a signalé qu'il n'avait que faire des remarques de soltani qui avait demandé sa démission , qui le matin affirmait ce qu'il démentait le soir. Il a aussi réitéré son hostilité des syndicats autonomes et a affirme que ceux qui s'essayaient dans ces syndicats avaient raté leurs scènes politiques ceci evidement pour souligner leurs incompétences à ses yeux; la Centrale syndicale étant son unique et seul interlocuteur.

    C'est donc en homme fidèle à sa ligne de conduite qu'Ouyahia entend mener à bien sa politique gouvernementale sous la conduite de Bouteflika.

    ===

    "Je ne me présenterai jamais contre Bouteflika !", a affirmé hier le secrétaire général du RND, Ahmed Ouyahia, lors d’une conférence de presse sanctionnant les travaux de la 6éme session ordinaire du conseil national du Rassemblement national démocratique (RND) qui se sont déroulés ce week-end à l’hôtel Ryad de Sidi Fredj. Invité à affirmer son intention de se porter ou non candidat à la présidentielle de 2009, le néanmoins chef du gouvernement a laissé entendre, par cette réponse, cette probabilité dans le cas, toutefois, où le président de la République ne serait pas de la course pour un troisième mandat. En revanche, il confirmera clairement la préparation de son parti aux prochaines échéances électorales en soutenant que «le RND n’est pas un parti de boycott […] Nous nous y préparons sans sautiller ni en criant élections par-ci, par-là !».

    Convié à commenter la récente déclaration du président du Mouvement pour la société et la paix (MSP), Bouguerra Soltani, qui demandait son départ du poste de chef du gouvernement, Ouyahia répondra, tout en affirmant que cette question est le dernier de ses soucis, en ces termes : «A quelques mois de 2007, il y en a qui sont pris de surchauffe […] C’est son droit de dire ce qu’il veut s’il a trouvé un sujet qui lui permettre d’être au-devant de la scène médiatique pendant deux ou trois jours. Sa position politique est connue, c’est l’art du double langage, d’affirmer blanc le matin et noir le soir.» Et de dire son étonnement face aux propos de Soltani dont le parti avait soutenu en 2004 le même candidat que le RND, à savoir Abdelaziz Bouteflika : «A l’époque, on était unanimes à dire que tout garantissait la transparence de ces présidentielles, ce qui avait été confirmé par la communauté internationale !».
    Il poursuivra ses répliques défensives contre son attaquant : «Nous n’avons pas des dons d’ubiquité, nous avons le mérite de nous assumer, nous ne passons pas notre temps à être dans le pouvoir tout en proclamant être en dehors».

    «Bouteflika n’a pas besoin d’une constitution révisée pour un troisième mandat»

    S’agissant de la révision constitutionnelle, le secrétaire général du RND a réitéré sa position de refus, arguant du fait que l’Algérie a suffisamment de chantiers en ce moment pour songer à cette question. «Même si Bouteflika me demandait mon avis à ce sujet je dirais qu’il est encore tôt, peut-être qu’à la dernière année de son mandat, j’approuverai cette idée mais pas pour la perspective d’un troisième mandat du chef de l’Etat car ce dernier peut aisément obtenir les 51% avec le seul appui du RND !». Et de remettre, à l’occasion, en cause autant le régime parlementaire que présidentiel en faisant savoir que l’Algérie a opté pour le régime semi-présidentiel. Revenant, inévitablement, sur la Charte pour la paix et la réconciliation nationale, l’intervenant dira que celle-ci n’est pas venue pour régler une crise politique dans la mesure où les institutions de la République n’ont jamais été paralysées. «Ceux qui sont bannis de toute activité politique le sont et le seront définitivement ! », a-t-il, en outre, martelé. Son hostilité aux syndicats autonomes étant demeurée intacte, il expliquera cette position par le fait que les responsables de ces structures ont versé dans le syndicalisme après avoir échoué dans les sphères politiques.

    «Oui, nous sommes contre le pluralisme syndical lorsqu’il s’exprime avec anarchie. Ceux qui prétendent en faire ne sont même pas capables de remplir une salle, cela s’appelle se jouer de l’Algérie et cela nous ne pouvons pas l’accepter !». Et de réitérer son soutien appuyé à la Centrale syndicale comme seul et légitime interlocuteur.

    «L’Alliance dérange !»


    Interrogé, par ailleurs, sur la récente sortie médiatique de Mouloud Hamrouche, Ouyahia rétorquera, non sans une pointe d’ironie, par exprimer son bonheur de savoir que son «confrère» se porte bien. Il dira ensuite respecter tous les propos venant d’un ex-chef de gouvernement pour être lui-même à ce poste aujourd’hui, mais relèvera au passage que ses assertions ont été tenues dans le cadre d’une rencontre organisée par, justement, un des membres de l’Alliance présidentielle. Rappelons-le, l’ex-premier ministre avait soutenu, mercredi dernier, que l’Alliance en question a rétréci considérablement le champ de l’expression politique.

    Défendant, sans relâche, l’intérêt et le sens de cette entité, Ouyahia poursuivra par dire que celle-ci n’est que «le début d’un parcours politique et il faut avoir du courage, sous l’empire du pluralisme, d’accepter l’existence des uns et des autres. L’Alliance ne se fait pas autour d’une personne mais est une bataille d’idées et de programmes. La véritable réhabilitation politique dans ce pays est celle qui permette aux Algériens de choisir (…)

    L’Alliance dérange car, par son existence, elle a démontré les défaillances des autres partis et c’est la seule tentative d’alliance qui ait abouti. Elle boîte certes, mais elle a le mérite d’ouvrir un espace à d’autres alliances pour partager des points communs», poursuivra-t-il. Convié à jauger le poids de son parti dans l’échiquier politique actuel, M. Ouyahia se déclare fier d’être à la tête de la deuxième force politique du pays et d’une formation ayant été créée par des patriotes, qui compte aujourd’hui des cadres et des militants des quatre coins du pays.

    Par la Tribune

  • #2
    moussa l'hadj ou l'hadj moussa,c'est kif kif.

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    • #3
      elvez ou levez, s est pareil avec toi.

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      • #4
        @youchen.
        une autre expression si tu veux:
        qui s'assemble se ressemble.

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