Réduire la facture des importations en actionnant tous les leviers, juridiques, fiscaux, économiques pour offrir un environnement porteur de valeur ajoutée aux entreprises nationales… cette profonde restructuration de l’économie nationale* entamée il y a quelques années déjà* et* réaffirmée* à chaque loi de finances* est une permanence rappelée régulièrement par le Président de la République,* mise en pratique par le chef de l’exécutif et* suivie sur le terrain par les ministres.
*En effet, la promotion de la production nationale* couplée à une meilleure gestion des compétences nationales pour appréhender et maîtriser les nouvelles technologies dans les différents domaines de l’activité nationale illustrent cette stratégie* affichée par la plus haute autorité de ce pays de doter l’économie d’une infrastructure et d’un savoir qui l’émancipe du recours à l’étranger tout en lui offrant les moyens d’investir les marchés extérieurs.
*L’un des exemples le plus significatif* et le plus récent est, sans nul doute, cette option prise d’investir dans le solaire pour produire de l’électricité et* du même coup faire subir un répit rassurant* à notre sous-sol pour les générations à venir… On vient d’ailleurs d’apprendre qu’un opérateur économique américain* semble très intéressé par « notre » soleil en proposant de mettre sur la table 30 milliards de* dollars* pour investir* dans les énergies renouvelables en installant des fermes* solaires à hydrogène dans le Sud. …. Ceci, bien sûr sans remettre en cause le rôle majeur de l’Algérie dans l’approvisionnement énergétique de l’Europe : Avec 65 milliards de mètres cubes de gaz, (dont "plus de 97% pour l'Europe) exportés* notre pays* occupe le 2e rang après la Russie dans l'approvisionnement du vieux continent.
On peut aussi citer le secteur du médicament* que l’Etat met au centre de ses préoccupations tant il concerne de façon vitale la santé et le bien-être des populations. Saidal est programmée avec* le recours au partenariat* à couvrir la totalité des besoins du marché national en médicament. Il faut d’ailleurs noter à ce propos que l’aisance financière dont jouit l’Algérie au moment où de nombreuses économies occidentales subissent les contre-coups de la crise financière mondiale a fait de notre pays une destination privilégiée pour les opérateurs et groupes industriels de la plupart des pays du Nord et même ceux dit des pays* émergents du continent américain.
A titre d’illustration rappelons l’intérêt que portent les opérateurs allemands à notre pays dans des secteurs aussi diversifiés que les* énergies renouvelables, l'industrie chimique ; les* technologies de l'environnement, la construction. Un intérêt qui* devrait fonctionner comme un catalyseur dans les échanges commerciaux (1,32 milliard de dollars en 2007, 2,76 milliards en 2008. 2,96 milliards en 2009), même si les exportations algériennes marquent le pas vers ce pays. La Suède aussi affiche ouvertement son désir de s’implanter économiquement sur notre sol en investissant dans les domaines de la téléphonie, du médicament de l'agroalimentaire, … le Venezuela dans le domaine du transport, l’Italie dans le gaz, le Portugal dans le bâtiment. La France, la Grande-Bretagne… et la liste est longue de ces pays désireux de venir tirer profit de cette dynamique économique algérienne.
Le tourisme, cet autre “pétrole vert”* est lui aussi appelé a contribution pour, non seulement, apporter sa part à l’effort de développement mais aussi* à semer dans le cœur des algériens le désir de découvrir d’abord leur pays, de l’aimer pour mieux le faire «aimer» aux autres en* montrant toute sa beauté, sa richesse et sa diversité culturelle, physique etc. Le recours au secteur privé dans ce secteur procède d’ailleurs de cette vision d’augmenter les capacités d’accueil , de professionnaliser le secteur et d’offrir des options et des services là où la demande se manifeste. Le 11e Salon international du tourisme et des voyages, qui se tient* à Alger, sera une occasion pour la signature de contrats de réalisation de 49 nouveaux projets touristiques vient d’annoncer le ministre en charge de ce secteur.
Déjà 10 ans* qu’une démarche économique alliant volontarisme et pragmatisme s’est mise en branle bousculant les peurs et réserves citoyennes accumulées durant* la décennie noire* et remodelant le paysage socioéconomique du pays.
Effectivement, et après une période consacrée a la mise en place de structures et de politiques visant à asseoir une stabilité politique et sociale* un programme de soutien à la relance économique a été lancé en 2001 conforté* trois ans plus tard en 2004* par un programme d’investissement public qui a définitivement balisé* les contours d’une Algérie moderne* y compris avec des programmes spécifiques pour les hauts plateaux et le Sud … tandis que celui en cours ; tout simplement phénoménal par le volume financier débloqué, confirme définitivement* l’enjeu : faire du pays non seulement un espace économique développé mais aussi la propulser comme une puissance régionale, une économie émergente au même titre que certains* géants du sud est asiatique ou d’Amérique latine.
Sur les 286 milliards a investir dans des projets nouveaux* entre 2010 et 2014* le montant retenu est de l’ordre de 156 milliards le reste soit 130 milliards serviront à* parachever les* grands projets déjà entamés, des projets d’une telle ampleur que même* des organismes internationaux ont salué en notant les formidables avancées dans la qualité de vie et l’indice de développement atteint durant cette période… et cette dynamique est maintenue puisque prés de 40% du montant de ce programme quinquennal en cours* est réservé a l’amélioration du développement humain. *
M. Koursi
*En effet, la promotion de la production nationale* couplée à une meilleure gestion des compétences nationales pour appréhender et maîtriser les nouvelles technologies dans les différents domaines de l’activité nationale illustrent cette stratégie* affichée par la plus haute autorité de ce pays de doter l’économie d’une infrastructure et d’un savoir qui l’émancipe du recours à l’étranger tout en lui offrant les moyens d’investir les marchés extérieurs.
*L’un des exemples le plus significatif* et le plus récent est, sans nul doute, cette option prise d’investir dans le solaire pour produire de l’électricité et* du même coup faire subir un répit rassurant* à notre sous-sol pour les générations à venir… On vient d’ailleurs d’apprendre qu’un opérateur économique américain* semble très intéressé par « notre » soleil en proposant de mettre sur la table 30 milliards de* dollars* pour investir* dans les énergies renouvelables en installant des fermes* solaires à hydrogène dans le Sud. …. Ceci, bien sûr sans remettre en cause le rôle majeur de l’Algérie dans l’approvisionnement énergétique de l’Europe : Avec 65 milliards de mètres cubes de gaz, (dont "plus de 97% pour l'Europe) exportés* notre pays* occupe le 2e rang après la Russie dans l'approvisionnement du vieux continent.
On peut aussi citer le secteur du médicament* que l’Etat met au centre de ses préoccupations tant il concerne de façon vitale la santé et le bien-être des populations. Saidal est programmée avec* le recours au partenariat* à couvrir la totalité des besoins du marché national en médicament. Il faut d’ailleurs noter à ce propos que l’aisance financière dont jouit l’Algérie au moment où de nombreuses économies occidentales subissent les contre-coups de la crise financière mondiale a fait de notre pays une destination privilégiée pour les opérateurs et groupes industriels de la plupart des pays du Nord et même ceux dit des pays* émergents du continent américain.
A titre d’illustration rappelons l’intérêt que portent les opérateurs allemands à notre pays dans des secteurs aussi diversifiés que les* énergies renouvelables, l'industrie chimique ; les* technologies de l'environnement, la construction. Un intérêt qui* devrait fonctionner comme un catalyseur dans les échanges commerciaux (1,32 milliard de dollars en 2007, 2,76 milliards en 2008. 2,96 milliards en 2009), même si les exportations algériennes marquent le pas vers ce pays. La Suède aussi affiche ouvertement son désir de s’implanter économiquement sur notre sol en investissant dans les domaines de la téléphonie, du médicament de l'agroalimentaire, … le Venezuela dans le domaine du transport, l’Italie dans le gaz, le Portugal dans le bâtiment. La France, la Grande-Bretagne… et la liste est longue de ces pays désireux de venir tirer profit de cette dynamique économique algérienne.
Le tourisme, cet autre “pétrole vert”* est lui aussi appelé a contribution pour, non seulement, apporter sa part à l’effort de développement mais aussi* à semer dans le cœur des algériens le désir de découvrir d’abord leur pays, de l’aimer pour mieux le faire «aimer» aux autres en* montrant toute sa beauté, sa richesse et sa diversité culturelle, physique etc. Le recours au secteur privé dans ce secteur procède d’ailleurs de cette vision d’augmenter les capacités d’accueil , de professionnaliser le secteur et d’offrir des options et des services là où la demande se manifeste. Le 11e Salon international du tourisme et des voyages, qui se tient* à Alger, sera une occasion pour la signature de contrats de réalisation de 49 nouveaux projets touristiques vient d’annoncer le ministre en charge de ce secteur.
Déjà 10 ans* qu’une démarche économique alliant volontarisme et pragmatisme s’est mise en branle bousculant les peurs et réserves citoyennes accumulées durant* la décennie noire* et remodelant le paysage socioéconomique du pays.
Effectivement, et après une période consacrée a la mise en place de structures et de politiques visant à asseoir une stabilité politique et sociale* un programme de soutien à la relance économique a été lancé en 2001 conforté* trois ans plus tard en 2004* par un programme d’investissement public qui a définitivement balisé* les contours d’une Algérie moderne* y compris avec des programmes spécifiques pour les hauts plateaux et le Sud … tandis que celui en cours ; tout simplement phénoménal par le volume financier débloqué, confirme définitivement* l’enjeu : faire du pays non seulement un espace économique développé mais aussi la propulser comme une puissance régionale, une économie émergente au même titre que certains* géants du sud est asiatique ou d’Amérique latine.
Sur les 286 milliards a investir dans des projets nouveaux* entre 2010 et 2014* le montant retenu est de l’ordre de 156 milliards le reste soit 130 milliards serviront à* parachever les* grands projets déjà entamés, des projets d’une telle ampleur que même* des organismes internationaux ont salué en notant les formidables avancées dans la qualité de vie et l’indice de développement atteint durant cette période… et cette dynamique est maintenue puisque prés de 40% du montant de ce programme quinquennal en cours* est réservé a l’amélioration du développement humain. *
M. Koursi
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