« Wikileaks me dépasse. C’est un monde vaste. L’Algérie n’a rien à se reprocher », a déclaré mercredi Ahmed Ouyahia, premier ministre, à la fin de la séance de réponses aux questions des membres du Conseil de la nation. « Chaque ambassadeur fait son travail. Il appartient aux nationaux de savoir comment protéger leur pays », a-t-il noté. Il n’a pas voulu s’étaler à ce sujet, même en ce qui concerne les câbles déjà publiés par Wikileaks sur l’Algérie.
Invité à donner un bilan de l’opération menée par l’armée dans la forêt de Sidi Ali Bounab, en Kabylie, contre des éléments de l’ex-GSPC, le premier ministre a indiqué que les actions contre le terrorisme ne se sont jamais arrêtées. « Quand, il y aura un bilan de l’opération de Sidi Ali Bounab, les services concernés vous le donneront », a-t-il déclaré.
Interrogé sur le scandale des faux billets, il a indiqué que ce n’est pas une singularité algérienne. « Cette affaire de faux billets est publique depuis 2006. Et j’ai vu que l’on fait beaucoup de bruit sur cette affaire en 2010. Nous avons détruit des réseaux ici et à l’étranger avec l’aide d’Interpol et nous finirons bien par maîtriser ce problème », a-t-il dit. Revenant sur la pénurie des billets de banque dans les bureaux de poste, il a révélé que la demande, durant le mois qui a précédé l’Aid Al Adha, a été multipliée par 500 % dans certaines wilayas. « Tant que nous vivrons avec le cash, que ne n’irons pas vers les chèques et la carte –plus les prix augmenteront et plus les revenus s’amélioreront– nous finirons par nous balader avec des boîtes remplies de billets », a-t-il prévenu. Il a refusé de donner son point de vue sur le scandale de Sonatrach disant que la justice fait son travail.
APS
Invité à donner un bilan de l’opération menée par l’armée dans la forêt de Sidi Ali Bounab, en Kabylie, contre des éléments de l’ex-GSPC, le premier ministre a indiqué que les actions contre le terrorisme ne se sont jamais arrêtées. « Quand, il y aura un bilan de l’opération de Sidi Ali Bounab, les services concernés vous le donneront », a-t-il déclaré.
Interrogé sur le scandale des faux billets, il a indiqué que ce n’est pas une singularité algérienne. « Cette affaire de faux billets est publique depuis 2006. Et j’ai vu que l’on fait beaucoup de bruit sur cette affaire en 2010. Nous avons détruit des réseaux ici et à l’étranger avec l’aide d’Interpol et nous finirons bien par maîtriser ce problème », a-t-il dit. Revenant sur la pénurie des billets de banque dans les bureaux de poste, il a révélé que la demande, durant le mois qui a précédé l’Aid Al Adha, a été multipliée par 500 % dans certaines wilayas. « Tant que nous vivrons avec le cash, que ne n’irons pas vers les chèques et la carte –plus les prix augmenteront et plus les revenus s’amélioreront– nous finirons par nous balader avec des boîtes remplies de billets », a-t-il prévenu. Il a refusé de donner son point de vue sur le scandale de Sonatrach disant que la justice fait son travail.
APS
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