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L’Algérie bien en dessous des normes concernant les espaces verts

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  • L’Algérie bien en dessous des normes concernant les espaces verts

    Bonsoir, si le gouvernement et les Algériens n'agissent pas, on risque d'étouffer dans le béton.
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    La norme mondiale est généralement de 10%. En Algérie, elle n’est que de 1 %, alors qu’en Tunisie elle est de 12%.

    C’est ce qu’a révélé M. Bouzdid, conseiller au ministère de l’Environnement et de l’Aménagement du territoire lors d’une table ronde organisée hier par le Centre de presse du journal El Moudjahid. Le thème, qui a réuni plusieurs experts nationaux, a porté sur l’aménagement du territoire et l’urbanisme, dans un contexte marqué par la promulgation au Journal officiel de la loi sur l’orientation de la ville. Le constat est sévèrement établi par les spécialistes présents à la table ronde. Les gens construisent dans les lits d’oued sans aucun souci, alors que des zones industrielles se retrouvent maintenant à l’intérieur de nos villes, dira M. Denouni, représentant de l’union nationale des entrepreneurs algériens. Pour cet entrepreneur dans le bâtiment et travaux publics (BTP), « l’urbanisation a devancé l’aménagement du territoire et un certain nombre d’études sont faites dans la précipitation ». D’où la conclusion établie par cet opérateur : « Il y a beaucoup de ménage à faire dans ce secteur qui est un acte économique et social. » Abdelhamid Boudaoud, président du Collège national des experts architectes (CNEA), a rappelé que la capitale compte plus de 10 000 carcasses et que le plan d’occupation des sols (POS) devrait être consolidé par un plan local d’urbanisme (PLU). A. Mohamed Cherif, PDG du Centre de contrôle technique de la construction (CTC Centre), a suggéré d’instaurer un permis d’ouverture de chantier qui permettra de mieux contrôler le respect de certaines normes parasismiques, tout en appelant à une formation plus spécialisée des ingénieurs activant dans le domaine.
    La suite...
    Dernière modification par zek, 03 avril 2006, 09h09.
    Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

  • #2
    Avec tous les textes de loi promulgués jusque-là, le schéma national d’aménagement du territoire (SNAT) aidera à partir de cette année à maîtriser la problématique de l’urbanisation, précisera M. Belkhodja, conseiller au ministère délégué à la Ville. Le professeur Abdelkrim Chelghoum, universitaire chercheur et président du Club des risques majeurs, a considéré que ce ministère devrait beaucoup plus s’impliquer dans la définition des agglomérations, la réglementation des instruments d’urbanisation et l’adéquation des procédures avec les nouveaux changements intervenus dans ce secteur. Cependant, il faut savoir qu’au Japon, 53% des constructions ne sont pas construites selon les normes parasismiques, révélera Mohamed Belazougui, du Centre de génie parasismique (CGS). Pour cet expert, le recensement général de la population et de l’habitat (RGPH), qui sera effectué cette année, devrait inclure dans les canevas des informations qu’il recueillera des données plus détaillées et précises concernant le logement. Enfin, M. Ayadi, directeur de recherches au CRAAG, dira que la sensibilisation autour des risques majeurs est l’affaire de tout le monde et qu’il faut éviter de subir l’amnésie des catastrophes qui se sont produites en Algérie dans un passé récent.
    http://www.elwatan.com/2006-04-03/2006-04-03-39675
    Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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    • #3
      Les jardins publics et parcs ne sont plus entretenus depuis plusieurs années.
      A Tizi par exemple, les jardins sont fréquentés par les trabendistes, plus personne n'ose y rester. Ces jardins sont sales, pratiquement dépourvus de pelouse, et les bassins d'eau sont vides depuis les années 90.
      Il y a très peu d'espace vert (parc ou jardin) dans les villes algérienne, et ils sont aussi sales que les rues algériennes.

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      • #4
        Les certificats de conformité n’ont jamais été délivrés

        Si on n'agit pas sur cet état et cette administration sclérosé pour qui le peuple est la derniére roue de la charrue, les conditions de vie dans les villes risque de se dégrader à la vitesse grand V, d'ailleurs la criminalité est une des conséquences de ce désordre urbanistique étatique. Le peuple paye toujours la facture.
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        Toutes nos cités d’habitation sont bâties sans permis de construire

        L’Algérie ne dispose d’aucune cité d’habitation construite avec un permis de construire. Les certificats de conformité n’ont jamais été délivrés à la fin des travaux. Notre pays ne dispose pas également d’espaces libres aménagés pour évacuer la population en cas de séisme ! Même en matière d’espaces verts, ceux qui existent ne répondent nullement aux normes internationales.

        L’ensemble des cités, à travers toutes les wilayas du pays, construites depuis l’indépendance jusqu’à ce jour l’ont été sans permis de construire et n’ont même pas reçu de certificats de conformité. Les cités de Bab Ezzouar, d’Aïn Naâdja et de Garidi, à Alger, en sont des exemples.

        Même si les textes existent et exigent clairement les documents en question, les entreprises publiques, à l’exemple de l’OPGI, se contentent de décrocher uniquement le marché de construction sans faire appel aux ingénieurs en génie civil.

        C’est le constat établi par le président du Collège national des experts-architectes, M. Boudaoued, présent lors de la table ronde animée, hier au centre de presse El Moudjahid, qui a regroupé des experts en aménagement du territoire, en génie parasismique et en architecture, notamment MM.

        Aïdi et Aït Chelghoum, chercheurs universitaires, et Chérif du Centre de contrôle technique de construction (CTC). Qu’en est-il des constructions privées ? En termes de chiffres, 10 000 carcasses de villas sont restées, depuis les années 1990, en chantier.

        Qu’attend-on pour achever les travaux ? s’interroge l’expert tout en rappelant la nécessité de «passer à la vitesse supérieure». Le problème, indiquent les autres experts, consiste en la non-application des lois, d’où les épouvantables dégâts au lendemain des catastrophes naturelles.

        Les professionnels du secteur sont allés loin en qualifiant les pouvoirs publics «d’amnésiques». Ils expliquent que les responsables ne pensent à la rigueur qu’après les dégâts occasionnés par une catastrophe. Notre pays, insistent-ils, ne respecte pas les règles d’urbanisme.

        L’Algérie est passée de 477 agglomérations en 1987 à 757 en 2004 sans observer les règles d’urbanisation. C’est pour cette raison que les habitants, notamment ceux d’El-Djorf et d’El-Hamiz, souffrent souvent de pénuries d’eau potable, puisqu’on a jamais pensé, de l’avis des invités du forum, à l’installation de réseaux d’alimentation en eau.

        La situation devient dangereuse lorsqu’on sait que plusieurs constructions publiques ou de particuliers n’ont pas fait l’objet d’études préalables, d’où le problème de responsabilité qui se pose au lendemain des tremblements de terre.

        Ils appellent, à cet effet, l’ensemble des bureaux d’étude et des maîtres d’ouvrage à consacrer le temps nécessaire aux études pour éviter les risques d’écoulement. L’administration, estiment les experts en urbanisme, est autant responsable des dégâts résultant de catastrophes naturelles, puisque beaucoup de bâtiments ont été construits sur des lits de oueds ! Les experts, qui ont dressé un tableau noir sur la qualité des habitations, notamment à Alger, veulent que les communes bénéficient de plus de prérogatives.

        Elles doivent pouvoir intervenir, sans passer par l’institution judiciaire, pour la démolition de toute habitation illicite ou bâtie sans permis de construire. Evoquant le vieux bâti, les experts semblent plus réalistes, puisqu’ils soulignent qu’il s’agit plutôt de tracer un programme à long terme.

        Par contre, nous devons, disent-ils assurer le fonctionnement des bâtiments stratégiques (hôpitaux, sièges des forces de sécurité, des collectivités locales…) en cas de catastrophes naturelles, d’où la nécessité de procéder, du moins pour le moment, à leur restauration.

        Peut-on remplacer le vieux bâti sans le démolir ? Nul pays au monde n’a pu le faire, répondent nos experts. N. O.
        par Nassima Oulebsir
        Source Jeune Indépendant
        Dernière modification par zek, 03 avril 2006, 09h07.
        Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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        • #5
          C'est malheureux pour un pays comme le notre (possedant ttes les richesses et ttes les sources necessaire), deja a partir du sud par la desertification et le sable qui remonte, et puis par la destruction volontaire ou pas, les construction qui poussent par tout detruisant la nature, le non respect des nonrmes de construction.... et non entretient du peu de lieux publiques et espaces verts existants.

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          • #6
            Et pendant ce temps là, les Arabes du Moyen Orient construisent des villes entière avec tous le confort moderne, certains diront c'est parce qu'ils ont du pétrole, moi je dis c'est parce qu'ils ont su gérer et faire fructifier l'argent du petrole, l'Algérie aussi a eu sa part du gâteau.

            Vidéo de view city of silk au Koweit.
            http://www.civicarts.com
            Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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            • #7
              Nuances! les algériens sont sales. (point), donc éducation.

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              • #8
                Les espaces verts en Algérie on a du mal à les voir, ils sont cachés par les sacs poubelles et tous les autres déchets.
                Si quelqu'un recherche un bon filon pour travailler en algérie, je pense que créer une usine de gestion des déchets serait une bonne idée...faudrait-il encore avoir les financements nécessaires.
                Quand le sage montre la lune l'idiot regarde le doigt.

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                • #9
                  ..l'algérie un pays salle

                  Bonjours, moi je dit qu'avant de parlé de jardins et de verdure parlons de nos villes, c'est même pas des ville ya pas d'assainissement ni d'architecture claire c moche salle je dirais même les villes algérienne sont d'une laideur cauchemardesque. et de toute façon la solution ne peut pas venir des wallis et des maires car une ville propre...sa ne les intéressent point d'ailleurs ils n'ont même pas les compétence requise alors.....mais sérieux a part les grande ville comme alger, oran ou encore annaba (les villes européenne) toute les construction que nous avons érigé sont des horreurs ...les algériens ne font rien comme les autres, et je dirait même que le problème en algérie c'est que ya peut être des algérien mais vraiment pas beaucoup de citoyens (pas des citoyens pour ne pas dire autre chose) enfin, comme le dit mon père :
                  ON NE DONNE PAS DE LA CONFITURE AU COCHONS.

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                  • #10
                    Il est encore temps de pendre des mesures et remedier a la situation et ce dans toute l algerie, carle beton a diffigurer la face de l algerie.

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