Bonsoir, si le gouvernement et les Algériens n'agissent pas, on risque d'étouffer dans le béton.
--------------------------------------------------------------------------
La norme mondiale est généralement de 10%. En Algérie, elle n’est que de 1 %, alors qu’en Tunisie elle est de 12%.
C’est ce qu’a révélé M. Bouzdid, conseiller au ministère de l’Environnement et de l’Aménagement du territoire lors d’une table ronde organisée hier par le Centre de presse du journal El Moudjahid. Le thème, qui a réuni plusieurs experts nationaux, a porté sur l’aménagement du territoire et l’urbanisme, dans un contexte marqué par la promulgation au Journal officiel de la loi sur l’orientation de la ville. Le constat est sévèrement établi par les spécialistes présents à la table ronde. Les gens construisent dans les lits d’oued sans aucun souci, alors que des zones industrielles se retrouvent maintenant à l’intérieur de nos villes, dira M. Denouni, représentant de l’union nationale des entrepreneurs algériens. Pour cet entrepreneur dans le bâtiment et travaux publics (BTP), « l’urbanisation a devancé l’aménagement du territoire et un certain nombre d’études sont faites dans la précipitation ». D’où la conclusion établie par cet opérateur : « Il y a beaucoup de ménage à faire dans ce secteur qui est un acte économique et social. » Abdelhamid Boudaoud, président du Collège national des experts architectes (CNEA), a rappelé que la capitale compte plus de 10 000 carcasses et que le plan d’occupation des sols (POS) devrait être consolidé par un plan local d’urbanisme (PLU). A. Mohamed Cherif, PDG du Centre de contrôle technique de la construction (CTC Centre), a suggéré d’instaurer un permis d’ouverture de chantier qui permettra de mieux contrôler le respect de certaines normes parasismiques, tout en appelant à une formation plus spécialisée des ingénieurs activant dans le domaine.
La suite...
--------------------------------------------------------------------------
La norme mondiale est généralement de 10%. En Algérie, elle n’est que de 1 %, alors qu’en Tunisie elle est de 12%.
C’est ce qu’a révélé M. Bouzdid, conseiller au ministère de l’Environnement et de l’Aménagement du territoire lors d’une table ronde organisée hier par le Centre de presse du journal El Moudjahid. Le thème, qui a réuni plusieurs experts nationaux, a porté sur l’aménagement du territoire et l’urbanisme, dans un contexte marqué par la promulgation au Journal officiel de la loi sur l’orientation de la ville. Le constat est sévèrement établi par les spécialistes présents à la table ronde. Les gens construisent dans les lits d’oued sans aucun souci, alors que des zones industrielles se retrouvent maintenant à l’intérieur de nos villes, dira M. Denouni, représentant de l’union nationale des entrepreneurs algériens. Pour cet entrepreneur dans le bâtiment et travaux publics (BTP), « l’urbanisation a devancé l’aménagement du territoire et un certain nombre d’études sont faites dans la précipitation ». D’où la conclusion établie par cet opérateur : « Il y a beaucoup de ménage à faire dans ce secteur qui est un acte économique et social. » Abdelhamid Boudaoud, président du Collège national des experts architectes (CNEA), a rappelé que la capitale compte plus de 10 000 carcasses et que le plan d’occupation des sols (POS) devrait être consolidé par un plan local d’urbanisme (PLU). A. Mohamed Cherif, PDG du Centre de contrôle technique de la construction (CTC Centre), a suggéré d’instaurer un permis d’ouverture de chantier qui permettra de mieux contrôler le respect de certaines normes parasismiques, tout en appelant à une formation plus spécialisée des ingénieurs activant dans le domaine.
La suite...
Commentaire