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Un mère assassinée en pleine rue par l'assassin de sa fille - vidéo

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  • Un mère assassinée en pleine rue par l'assassin de sa fille - vidéo

    La femme mexicaine Marisela Escobedo a été abattue par l'assassin de sa fille, qui avait été libéré par la justice.

    Jeudi dernier, au pied du palais du gouverneur de Ciudad Juarez, un homme s'approche de Marisela Escobedo. Depuis neuf jours, cette activiste manifeste devant l'édifice public pour protester contre la libération de Sergio Barraza, l'assassin de sa fille. Une discussion rapide semble s'engager, puis Marisela Escobedo traverse la rue en courant, l'homme à ses trousses. Un coup de feu et elle s'effondre sur le trottoir d'en face, touchée d'une balle dans la tête. Rapidement, le tueur rejoint une voiture complice et s'échappe. La scène, qui a duré quelques secondes à peine, a été capturée par les caméras de surveillance et tourne en boucle sur les télévisions du Mexique. Le pays découvre avec effroi que même les mères endeuillées ne sont pas protégées contre la vague de violence qui frappe Ciudad Juarez.

    Rubi Marisol, la fille de l'activiste, avait été sauvagement assassinée en 2008. Son corps, brûlé et mutilé, avait été retrouvé dans Ciudad Juarez. Marisela Escobedo s'était alors engagée dans une longue enquête. Par ses propres moyens, elle avait pu prouver que le petit ami de sa fille, Sergio Barraza, était le meurtrier. Celui-ci a depuis confessé le meurtre mais il a été libéré par un tribunal avant d'entrer en clandestinité. Depuis, Marisela Escobedo manifestait devant le palais du gouverneur pour inciter les autorités à le retrouver. Elle avait déclaré à la presse locale. «L'assassin a arraché la vie à ma fille, et les juges lui ont retiré le droit à la justice.»

    Le gouverneur de l'État de Chihuahua, César Duarte, a déclaré que Sergio Barraza est vraisemblablement à l'origine du meurtre de l'activiste. Il s'est également indigné de la libération de ce dernier par les juges. «Il avait avoué, il avait plaidé coupable et il avait révélé l'endroit où les restes de la fille de Marisela pouvaient être trouvés. Personne ne peut comprendre l'irresponsabilité des juges ayant relâché quelqu'un qui représente un tel danger pour la société.» À la demande du gouverneur, une procédure pour destituer ces juges a été lancée.

    Plus de 400 «féminicides»

    L'affaire est d'autant plus embarrassante que les images montrant la libération de l'assassin circulent sur toutes les chaînes de télévision. À l'annonce de l'abandon des poursuites contre le meurtrier de sa fille, Marisela Escobedo a hurlé de douleur. Les gardes ont évacué la salle du tribunal, sous le regard pétrifié des juges, à quelques mètres de la mère.

    «Les déficiences du système judiciaire dans les cas de femmes et de filles assassinées dans l'État de Chihuahua sont encore une fois démontrées», a déploré Amnesty International. Ciudad Juarez était déjà connue pour être une des villes les plus dangereuses au monde pour les femmes. Amnesty rappelle que plus de 400 cas de «féminicides» (meurtres en raison du sexe de la victime) y ont été enregistrés au cours des années 1990. À présent, la guerre entre les cartels complique encore la situation. En 2010, la ville a enregistré plus de 3000 homicides.

    Source : Le Figaro


  • #2
    Marisela Escobedo a hurlé de douleur
    justice de racaille
    tchek tchek tchek

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    • #3
      «Il avait avoué, il avait plaidé coupable et il avait révélé l'endroit où les restes de la fille de Marisela pouvaient être trouvés
      et ça ne leur suffit pas comme preuves pour l'enfermer !

      la justice à deux balles .. les juges assassins
      "N'imitez rien ni personne. Un lion qui copie un lion devient un singe." Victor Hugo

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      • #4
        c'est le monde des fous
        la justice est juste le criminel a la base voulait tuer la fille et sa maman mais la justice a fait erreur la arrété avant de finir son crime, mais hamdulah la jusice a corrigé l'erreur par liberer le criminel pour finir son crime.

        est ce que c'est important de savoir pourquoi il a insister a faire ce crime et le terminer???
        المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

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        • #5
          Le Mexique est le pays le plus dangereux au monde, après le Brésil, ou les assassinats sont monnaies courantes. Les différents clans maffieux règnent en maitres dans ces pays d'Amérique Latine ou la coopération en terme de sécurité des États respectifs avec l'aide financière et matérielle de Washington n'a pas pu éradiquée la violence meurtrière, le trafic de drogue, la corruption, les enlèvements et les assassinats ciblés. Le laxisme et la complicité des pouvoirs publics des États de ces deux grands pays d'Amérique Latine dans le domaine politique et judiciaire est pour quelque chose si la violence aveugle persiste toujours.

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          • #6
            le mieux c'est de faire sa justice
            tchek tchek tchek

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            • #7
              pays de m**** !!!

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              • #8
                La justice mexicaine a commis une erreur aussi grave que scandaleuse en libérant l'assassin. Concrètement, la justice mexicaine est en partie responsable de l'assassinat de la pauvre mère. Un parasite pareil auraît dû être exécuté. Il ne mérite pas de vivre.

                Sinon, Ciudad Juarez est réputée être la ville la plus perverse du monde. Les crimes les plus immondes y sont commis.

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