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Plus de la moitié des enfants atteints par cette maladie et dont le nombre augmente chaque année de 3%, développent des complications après l’âge de 15 ans.
Partant d’une thématique à trois versants, le plus important en termes de volume de communications ayant été consacré à la problématique du diabète chez l’enfant, le syndicat national des praticiens spécialistes de santé publique a réuni, dans le cadre de sa politique de formation continue, un parterre important de médecins issus des wilayas de Constantine, Mila, Annaba et Tébessa.
Au-delà de cette ligne de conduite, qualifiée de cheval de bataille, l’objectif prôné par les organisateurs de cette opération de mise à niveau, organisée les 22 et 23 du mois en cours, à l’auditorium du palais de la culture Malek Haddad, est de livrer aux praticiens les dernières informations liées à l’ordre du jour et rompre, par la même occasion, un clivage néfaste au secteur et donc aux malades. Un point nodal souligné, notamment par le Dr Latifa Messast, chef du service des maladies infectieuses à l’établissement public hospitalier El Bir, dont la participation active à ces journées a été mise en exergue. S’appuyant sur l’essentiel des communications inscrites à l’ordre du jour, le thème du diabète chez l’enfant s’est, de ce fait, logiquement imposé comme principal sujet de ces journées, qui rappellent l’impitoyable réalité de cette pathologie.
Plus de la moitié des enfants atteints de diabète de type I développent des complications après l’âge de 15 ans et leur nombre augmente chaque année de 3%; ils sont près de 500 000 à avoir moins de 15 ans à travers le monde. En outre, dans certains pays d’Afrique, comme le Mozambique, le Mali ou la Zambie, pour ne citer que ces trois pays, un enfant souffrant du diabète de type I a une espérance de vie variant entre 30 mois et 11 ans, selon l’organisation mondiale de la santé (OMS). L’assistance a été, d’autre part, conviée à une réflexion portant sur deux autres thèmes, tout autant sensibles: les hépatites virales de type B et les affections respiratoires en milieu professionnel.
Par Ahmed Boussaïd (El Watan).
Partant d’une thématique à trois versants, le plus important en termes de volume de communications ayant été consacré à la problématique du diabète chez l’enfant, le syndicat national des praticiens spécialistes de santé publique a réuni, dans le cadre de sa politique de formation continue, un parterre important de médecins issus des wilayas de Constantine, Mila, Annaba et Tébessa.
Au-delà de cette ligne de conduite, qualifiée de cheval de bataille, l’objectif prôné par les organisateurs de cette opération de mise à niveau, organisée les 22 et 23 du mois en cours, à l’auditorium du palais de la culture Malek Haddad, est de livrer aux praticiens les dernières informations liées à l’ordre du jour et rompre, par la même occasion, un clivage néfaste au secteur et donc aux malades. Un point nodal souligné, notamment par le Dr Latifa Messast, chef du service des maladies infectieuses à l’établissement public hospitalier El Bir, dont la participation active à ces journées a été mise en exergue. S’appuyant sur l’essentiel des communications inscrites à l’ordre du jour, le thème du diabète chez l’enfant s’est, de ce fait, logiquement imposé comme principal sujet de ces journées, qui rappellent l’impitoyable réalité de cette pathologie.
Plus de la moitié des enfants atteints de diabète de type I développent des complications après l’âge de 15 ans et leur nombre augmente chaque année de 3%; ils sont près de 500 000 à avoir moins de 15 ans à travers le monde. En outre, dans certains pays d’Afrique, comme le Mozambique, le Mali ou la Zambie, pour ne citer que ces trois pays, un enfant souffrant du diabète de type I a une espérance de vie variant entre 30 mois et 11 ans, selon l’organisation mondiale de la santé (OMS). L’assistance a été, d’autre part, conviée à une réflexion portant sur deux autres thèmes, tout autant sensibles: les hépatites virales de type B et les affections respiratoires en milieu professionnel.
Par Ahmed Boussaïd (El Watan).