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Scènes ordinairement exceptionnelle et/ou inversement des urgences

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  • Scènes ordinairement exceptionnelle et/ou inversement des urgences

    Depuis 10 jours je souffre l’univers entier à cause d’un nerf coincé, par une hernie discale, entre les vertèbres cervicales 5 et 6. Je ne le sais que depuis 3 jours, avec les résultats du scanner. Je soufrais atrocement toutes les souffrances imaginables. C’est du moins ce que croit ma petite personne, si faible, pour ne voir qu’à sa propre chose.

    Vous savez, qu’entre les vertèbres, se logent des disques souples (cartilagineux), nécessaires pour donner une souplesse, relative, aux vertèbres. Cette hernie c’est un bout du disque qui sort, en partie, de son logement, pour aller comprimer le câble (nerf) qui connecte l’ensemble épaule et bras. Cela m’est arrivé en un nuit suite probablement à un retournement brutale dans mon lit. Il semblerait que le mouvement brusque n’est que la goutte qui a fait déborder le vase, puisque le temps a dû faire son travail d’usure des disques (on ne se tient pas forcement bien, on bosse de trop, on est souvent devant un écran de longues heures à tenir notre lourde tête sur les « faible » disques des vertèbres cervicales, …).

    Au début, mon médecin a diagnostiqué un torticolis. Il m’a prescrit des antidouleur assez légers. Mais les douleurs s’accentuant, j’ai du lui demander de me revoir, en me tordant de douleurs. Il m’a prescrit de nouveaux médicaments, plus forts, contre la douleur et des anti-inflammatoires. Il a, cette fois ci, diagnostiqué une hernie discale. Cependant il n’a pas pu connaître le degrés de cette hernie. Il m’a envoyé faire un scanner. En revenant le revoir, avec les résultats, pour la 3eme fois, en me tordant encore plus fortement, à cause des douleurs, il m’a prescrit de la morphine. C’est un produit très puissant comme de la drogue dont les doses doivent êtres particulièrement réfléchies et adaptées aux douleurs. Mais mon médecin me dit de commencer par prendre 60 mg (et d’augmenter les doses toutes les 30 mn, jusqu’à me plus sentir de douleurs. La prise est a renouveler 2 fois par jour. J’en suis arrivé à 110 mg le soir et même 120 mg le lendemain matin, ce qui est énorme. J’ai fine par le comprendre plus tard, à l’hôpital.

    En fait mon médecin généraliste m’a redirigé, avec une lettre, vers l’hôpital La Pitié Salpetrière. Il pense que de bon spécialistes (rhumatologues) exercent dans cet établissement.

    J’ai dû passer par le service des urgences, seul moyen pour accéder à une consultation rapidement, un samedi matin. Ha les urgences et leurs ambiances :

    3,5 heures d’attente entres des malades « abandonnés » sur des lits à roulette, gémissants de douleurs, dans leurs habits de ville, même avec les chaussures, d’autres en pyjama ; certains n’on pas de famille ; d’autres « s’engueulaient » avec le personnel hospitalier ; une autre femme dormant, par intermittence, sur son fauteuil roulant, puis de temps en temps se réveille pour se disputer avec un infirmier, affin qu’on lui donne son bon de sortie de l’hôpital ; un autre semble bien camé, parle fort sur son portable en racontant des détails crues de sa vie d’ « artiste », demande d’une manière agressive des informations à ses voisins dans la salle d’attente, se dispute avec la fille de l’accueil, demande de l’eau pour reprendre des cachés calmants qu’il sort de ses poches en précisant qu’autrement il casserait la gueule à tout le monde ; puis arrive une femme maghrébine, la quarantaine, le visage ensanglanté et tuméfié visiblement suite à des coups ; elle est accompagnée d’une jeune jolie fille qui semble être sa fille. Ma femme, qui m’avait heureusement accompagné, me dit que c’est probablement son mari qui l’a tabassée, ... La pauvre pleure en silence et semble avoir honte d’être observée dans son état… Je détourné mon regard dans le but de me pas la gêner …

    Voilà un tableau bien sombre de scènes extraordinaires quand on les découvre et qui doivent êtres ordinaires puisque cela doit bien se répéter régulièrement. Et encore, je suis à Paris, en France, dans un hôpital, relativement de grande réputation. J’imagine qu’il doit exister pire ailleurs.

    J’ai fini par avoir une 1ere consultation par un interne qui s’est étonné de la dose de morphine que mon médecin referant m’a prescrit, puis par un médecin urgentiste qui m’a confirmé que cette dose est énorme et qu’elle se prescrit, pour un grand malade atteint par le cancer.

    Il m’a réduit la dose à 2 prises par jour, de 30 mg chacune, en la combinant avec du dolipranne 1000, à prendre seulement, en cas de douleurs.

    Il est impossible d’avoir une consultation avec un rhumatologue via les urgences. Donc il m’a renvoyé chez moi avec une simple ordonnance sur laquelle, il a prescrit du dolipranne et un anti-inflammatoire. Toute une journée de perdue, un « bain » dans la désagréable ambiance des urgences, un état de « camé » malgré moi avec ses désagréables effets secondaires, …

    Quelle horreur ces effets secondaires :

    - état second, comme un drogué (je suppose, n’ayant heureusement pas d’expérience dans ce domaine), me sentant partir dans de lointaines pensées m’éloignant de la réalité, l’esprit divaguer, des hallucinations en voyant des images fantastiques irréelles, faite de nombreuses couleurs vives entremêlées comme sur une toile de type moderne ou futuriste, état de torpeur, « sentant » que tout parait « facile », n’arrivant pas à me concentrer, pour lire sur mon écran, les postes du forum, car les lettres se mélangeaient et s’entremêlaient,

    Physiquement ma bouche est devenue pâteuse, ma langue collante et asséchée. J’ai eu des nausées, une constipation, …

    Quelles horreurs d’être drogués. Je ne comprend pas pourquoi se drogue t on.

    D’ailleurs, j’ai complètement arrêté le traitement à la morphine. Heureusement que mon mal a largement diminué.

    Mon récit part un peu dans tous les sens, mais j’ai envie d’en parler. Peut être qu’il évoque chez certains des bouts d’expériences.

    Merci d’avance de m’avoir lu.
    Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
    L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants. Thomas Mann

  • #2
    Merci d'avoir partagé ta douleur avec nous. Une tranche de vie.........
    d'ores et déjá je te souhaite un prompt rétablissement, et va vite voir un rhumato....

    Les urgences ne sont depuis longtemps plus des urgences.......pas assez de places, trop de malades , pas assez de personnel..........et tout les aléas de la vie qui font que bcp de gens atterissent aux urgences sans vraiment savoir pourquoi ou tout simplement parce que les medecins de nuit ne viennent pas assez vite.

    La salle d'attente des urgences c'est notre société avec tout ses exces : l'alcool, la drogue, la violence, l'égoisme.............et puis on y croise des gens comme tout le monde : un doigt coupé, une entorse, un dos bloqué....

    Je dis merci aux personnels hospitaliers : les receptionistes, infirmiéres, aides soigantes, medecins, brancardiers........oui je leur dis MERCI.
    Comment travailler dans de telles conditions avec des inerguménes de tout bord et pas tjrs sympas, comment travailler + de 10h d'affilées pour la santé des autres......

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    • #3
      Adhrar je compatis
      je connais ce genre de douleurs même si elles sont moindres (je fais une arthrose cervicale) et crois-moi lorsque la douleur pesiste des jours et des nuits durant, c'est tout simplement infernal (surtout lorsqu'il fait froid)
      je ne vais pas m'étaler mais je comprends ce que tu ressens
      les urgences chez nous, c'est pire, je ne te le fais pas dire....

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      • #4
        Mon cher ami Adhrhar, je te souhaite un bon rétablissement... Ta journée aux urgences est une catastrophe, ayant déjà vécue cette situation, je comprends ton dégoût. Entre les patients irascibles et vulgaires, et le personnel hôspitalier peu aimable, tu as du en voir de toutes les couleurs, comme en témoigne ton récit. Concernant la morphine, ton généraliste n'aurait jamais du t'en prescrire, normalement on en administre que pour les douleurs qu'aucun analgésique ne peut atténuer. Donc davantage en réanimation. Je te déconseille les rhumatologues, et les piqûres (infiltrations) à la longue c'est mauvais pour les os. Opte pour un ostéopathe, qui te soignera sans médicaments. Bon courage.

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        • #5
          Hellas, TIN-HINAN16, Thamila : merci bien pour vos messages.
          Oui les urgences, moins on les voit et mieux on se porte.
          Thamila, tu penses qu’un rhumatologue est a déconseiller pourquoi ? les infiltrations ne sont que des anti-inflammatoires locales.
          L’ostéopathie n’est pas une médecine reconnue par la sécurité sociale je crois.
          Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
          L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants. Thomas Mann

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          • #6
            Je suis désolée pour ce qui t'es arrivé Adhrhar, cette douleur que je connais depuis des années est difficilement supportable.
            J'ai eu la même chose (un peu d'arthrose entre les vertèbres C6-C7 avec les nerfs coincés et les douleurs qui finissent pas te paralyser le bras) que toi il y a quelques années et aujourd'hui, les douleurs sont moins fortes alhamdoulilah mais toujours difficiles à supporter quand la douleur se réveille.

            Je compatis à ta douleur .

            Contrairement à Thamila, je te recommande d'aller voir un rhumato, celui qui m'a "soignée" est à Neuilly-sur-Seine et assez connu...
            Il m'a fait il y a 4 ans 2 infiltrations cervicales (douloureuses :22: ) mais qui ont fait de l'effet tout de même à long terme, il faut le dire.
            Je souffre beaucoup moins aujourd'hui.
            Si tu veux les coordonnées, n'hésite pas à me le faire savoir, je te les envoie.

            Bon rétablissement

            Plume
            Désormais, la plume est rangée et l'encre des pages séchée...

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            • #7
              l'hygiene de vie et le choix des postures ..l'ergonometrie est tres tres importante!! c'est un investissement a long terme
              « Puis-je rendre ma vie
              Semblable à une flûte de roseau
              Simple et droite
              Et toute remplie de musique »

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              • #8
                Plumedelislam Bonjour et merci pour
                Je suis désolée pour ce qui t'es arrivé Adhrhar, cette douleur que je connais depuis des années est difficilement supportable.
                J'ai bien fait d'en parler finalement. Oui je veux bien les coordonnées de ce rhumatologue par MP.
                Merci
                Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
                L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants. Thomas Mann

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                • #9
                  Sahit Adhrhar : Ce que je peux te dire c'est de garder le moral (je m'en fais pas pour ça ). Je suis sûr qu'un bon rhumatologue pourra t'aider... et que d'ici quelques temps, tu frétilleras de nouveau comme tu le faisais avant.
                  La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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                  • #10
                    DZmes Bond Sahit ya esbaaaaaa (000sebaaaaaa)
                    Sahit Adhrhar
                    Merci l'ami.
                    tu frétilleras de nouveau comme tu le faisais avant.
                    Pas mal comme image. Avec le printemps je ne peux m'empecher de fretiller. T'inquietes. Bien à toi ESBAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
                    Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
                    L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants. Thomas Mann

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                    • #11
                      Bonjour Adhrhar. Rabi yachfik inchallah.

                      «Mon récit part un peu dans tous les sens, mais j’ai envie d’en parler. Peut être qu’il évoque chez certains des bouts d’expériences.» .

                      Oui certainement. J'ai déjà passé 27 heures aux urgences. Je te le jure Adhrhar. Ma belle soeur souffrait tellement au point où elle a perdu connaissance pendant l'attente. 27 heures dans une salle d'attente. Et c'était la norme en 2002, au Québec.

                      C'est un peu beaucoup ça le système de santé au Québec. Il y a les problèmes, nombreux, douloureux. Et il y a le quotidien, en général bien assuré par un personnel compétent, voire chaleureux. On n'est pas plus mal soigné au Québec qu'aux États-Unis, sûrement mieux. Avec plus de justice, en tout cas. On n'est pas plus mal soigné au Québec que dans les autres nations industrielles dites " avancées ". Certainement pas une médecine de tiers-monde.

                      Anyway, ce n'était même pas pour dire qu'on avait un mauvais système de santé. Puisque j'y suis, c'était pour dire que le temps d'attente aux urgences est rendu un outil électoral au Québec. Pas un enjeu, mais un outil électoral.

                      Bien sûr que tout est politique. Le " vivre ensemble " dont relève la santé est éminemment politique, la société dans toutes ses fibres est politique. Mais on confond au Québec politique « politikos " de la cité ", élaborer la cité, la concevoir » on confond faire la cité, avec faire de la politique, je veux dire faire le con pour garder le pouvoir ou pour le prendre.

                      Un jour, le député de mon quartier appelle pour me souhaiter bon anniversaire. Les députés du Québec passent beaucoup de temps à souhaiter bonne anniversaire à tout le monde lol. Je lui disais combien m'horripilaient les discours de son boss sur la santé. Il me demande pourquoi. Parce que, monsieur le député, parceque Ton boss, il s'en contrecrisse de la santé. Qu'il devienne demain matin ambassadeur du Canada à Washington, ou PDG de Bombardier et c'est fini. Fini, tu m'entends. Il ne dira plus jamais à personne : comme c'est effrayant ce qui se passe dans les hôpitaux au Québec. Il n'en a rien à cirer. C'est un outil pour prendre le pouvoir.

                      Depuis quatre ans, les trois quarts des gens qui interviennent sur le sujet de la santé dans les émissions d'information, dans les journaux, dans les colloques, dans les sommets, dans les lettres ouvertes aux journaux, dans les assemblées syndicales des infirmières, dans les rencontres de médecins, le font au nom du parti libéral ou au nom du parti Québecois.

                      You bet que ça ne va pas bien la santé au Québec. Mais c'est peut-être moins dans nos hôpitaux que dans nos têtes. Mais une chose est sûr, je suis jeune et je ne m'en fiche pas. Parceque demain, je serai vieux. Et j'aurai des bobos comme tous les vieux.

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                      • #12
                        Bloum, bonjour
                        Bonjour Adhrhar. Rabi yachfik inchallah.
                        Merci bien l’ami
                        Ta dissertation était fort attendue, en tous les cas par moi. Elle arrive enfin. Merci l’ami.
                        27 heures dis tu ? en plus c’est par calcul politique ?
                        J’avoue me pas bien comprendre l’efficacité de cet « outil politique » en prolongeant les heures d’attente aux urgences.
                        En tous les cas je compatis pour ta belle sœur. Je n’aurais pas résister mieux et serais probablement tombé dans les pommes.
                        J’espère que ta belle sœur va mieux et sinon je lui souhaite echffaa.

                        Bien à toi.
                        Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
                        L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants. Thomas Mann

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                        • #13
                          Adhrar, n'hésite pas à consulter un bon rhumatologue.
                          Tu auras sûrement des séances à faire chez le kiné.
                          L'ostéopathe, n'est pas remboursé par la sécu, mais ça peut être efficace aussi.
                          Il faut se soigner. Le médecin généraliste n'est pas compétent pour ce type de douleur, il ne fait que prescrire des médicaments inadaptés.

                          Les urgences, c'est un moment très pénible.
                          Je les ai connais en France, dans un hôpital de l'aphp : grosse chute en VTT, etc ...
                          L'attente est longue, mais le personnel hospitalier est agréable, et rassurant.
                          J'étais tombé sur un interne qui tout comme moi, pratiquaient le VTT, et connaissait ce genre de blessure. On a bien sympathisé.
                          C'est très important dans les moments pénibles, d'être rassuré par le personnel médical.

                          J'ai connu les urgences à Tizi deux fois suite à une intoxation alimentaire : en 2003 et 2005.
                          L'été dernier, je suis tombé sur des personnes désagréables, je ne savais pas ce qu'ils me faisaient, aucune explication. J'ai paniqué, je me suis sauvé comme un zombie dans les rues de tizi.

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                          • #14
                            Sentenza, bonjour
                            Merci pour ta contribution
                            Oui c’est terrible les urgences. Je cois qu’en Algérie ça devrait être pire, m’a on laisser penser.
                            Oui mon généraliste que j’ai revu hier soir m’a rédigé une lettre d’introduction chez un rhumatologue. Je prend rendez vous aujourd’hui.
                            Je commence à voir clair de ce qu’on peut ou pas faire pour une hernie discale.
                            A – Guérir l’inflammation et rendre supportables les douleurs
                            B – les infiltrations
                            C – l’opération
                            Le généraliste s’est occupé de guérir l’inflammation (anti-inflammatoires) et me permet de supporter la douleur (calmants comme le dolipranne, … jusqu'à la morphine)
                            Les infiltrations ne sont que des injections d’anti-inflammatoires, localisés, à bases de cortisone. C’est une affaire de spécialiste comme un rhumatologue.
                            Enfin l’opération est « inutile » au début, à l’apparition de ce problème. Elle ne devient indispensable que sur le long terme si le mal demeure chronique. C’est a réserver en dernier recourt. Car une opération n’est pas banale. Il a y toujours des risques d’abîmer un nerf ou autre chose.

                            Pour l’instant je suis au niveau A.
                            Avec un rhumatologue peut être que je passerais à l’étape B.

                            Voilà comment je commence à comprendre la procédure à suivre pour mon mal qui est largement supportable actuellement. Comme me l’a dit mon généraliste, le meilleur médicament c’est le repos. Je suis en arrêt maladie pour me reposer chez moi.
                            Dernière modification par Adhrhar, 04 avril 2006, 13h21.
                            Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
                            L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants. Thomas Mann

                            Commentaire


                            • #15
                              adhrhar

                              ton récit de l'attente dans un service d'urgence ne m'a pas surprise

                              J'avais, il y a quelques mois de cela, écrit un texte sur ce thème je l'ai posté ici il y a quelques jours.

                              c'est une tranche de vie particulière .

                              bon courage à toi et repose toi bien faute de mieux

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