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32e anniversaire de la disparition de Houari boumedienne

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  • 32e anniversaire de la disparition de Houari boumedienne

    عيناك نهر من جنون... عيناك أرض لا تخون

  • #2
    que Dieu ait son âme
    tchek tchek tchek

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    • #3
      Ah bon ?

      Il a disparu ?

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      • #4
        Oui madame,il est toujours vivant dans nos coeurs
        عيناك نهر من جنون... عيناك أرض لا تخون

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        • #5
          32e anniversaire de la disparition de Houari boumedienne
          ça nous fait une belle jambe
          il a disparu un 25 Décembre, de quoi croire au père noel

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          • #6
            rabbi yerhmak ya LAFHAL...

            s.v.p, y a t-il quelqu'un qui a enregistre la conversation telephonique de MADAME BOUMEDIENE avec la chaine Al-Mustakilla TV?
            merci chegevara

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            • #7
              ihouh ...

              Oui madame,il est toujours vivant dans nos coeurs
              Heu ..., mademoiselle .

              Sinon , il n'est pas vivant dans mon cœur moi , ni ailleurs !

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              • #8
                Allah yarham si boumediène.

                l'Algerie a besoin d'un chef comme lui, un patriote qui aime son pays et son peuple.

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                • #9
                  de son vrai nom Mohamed Ben Brahim Boukharouba était un militaire promu colonel et un homme politique, qui est né le 23 août 1932 à Guelma et mort le 27 décembre 1978 à Alger.Il vécut dans une famille berbère pauvre du Constantinois, Boumédiène connut déjà très jeune les événements sanglants du 8 mai 1945 à Sétif et à Guelma, dont il dit plus tard : « Ce jour-là, j'ai vieilli prématurément. L'adolescent que j'étais est devenu un homme. Ce jour-là, le monde a basculé. Même les ancêtres ont bougé sous terre. Et les enfants ont compris qu'il faudrait se battre les armes à la main pour devenir des hommes libres. Personne ne peut oublier ce jour-là. »

                  Durant les années quarante, il entreprit des études coraniques à l'institut Kettania de Constantine, puis les poursuivit à l'institut Zitouna de Tunis ; il se dirigea par la suite vers l'institut al-Azhar du Caire.

                  En 1955, il retourne en Algérie où il rejoint les rangs de l'ALN (Armée de libération nationale). Très vite, il se fait remarquer et occupe le poste de Chef d'état-major. Une fois l'indépendance acquise, il devint vice-président et ministre de la Défense du Conseil de la Révolution qui est alors présidé par Ben Bella. Ne partageant pas les orientations politiques de ce dernier, il décide le 19 juin 1965 de mener un coup d'État au terme duquel il devient le nouveau président de l'Algérie . Sous sa direction, il entreprit plusieurs actions en vue d'estomper sur le plan intérieur, les tensions nées de la guerre d'indépendance. En 1968, il réussit à faire évacuer la dernière base militaire occupée par la France à Mers el Kébir (Oran) ; alors que sur le plan économique, il opte pour le modèle socialiste, il construisit sur la base de ce choix beaucoup d'usines et d'écoles, et contribua surtout, le 24 février 1971, au nom du principe de la récupération des richesses nationales, à la nationalisation des hydrocarbures, au grand dam de la France.

                  Cette nationalisation réussie conféra à Boumédiène une importante dimension internationale; En effet, Boumédiène venait de réussir là où l'Iranien Mossadegh avait échoué. L’année 1973 lui donne une nouvelle fois l’occasion d’affirmer son influence sur le plan international en organisant avec succès le sommet des non-alignés auquel les plus grands dirigeants du Tiers-Monde de l’époque ont assisté, il s’en suit dès lors une période durant laquelle l’Algérie de Boumédiène offrit un soutien très actif aux différents mouvements de libération d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine, et c’est en véritable leader du Tiers Monde qu’il se déplaça en 1974 à New York, pour prendre part à une réunion spéciale de l’Assemblée générale de l’ONU sur les matières premières qu’il a lui-même convoquée au nom des non-alignés, il prononça à cette occasion un discours par lequel il exposa une doctrine économique, appelant entre autres à l’établissement d’un nouvel ordre économique international plus juste, qui prendrait en compte les intérêts du Tiers Monde. En 1975 il accueille le premier sommet de l'OPEP par le biais duquel les membres du cartel ont pu définir une politique pétrolière concertée. Dans le sillage de cette même réunion, il parvint à sceller la paix entre l'Iran du Chah et l'Irak de Saddam Hussein. Sur le plan intérieur, il fit voter en 1976 une charte en vertu de laquelle il promulgue la constitution d'une Assemblée législative ainsi que la création du poste de président de la République, soumis au suffrage universel.

                  À partir de l'année 1978, les apparitions publiques du président Houari Boumédiène se font de plus en plus rares, il s'est avéré qu'il souffrait d'une maladie du sang, la maladie de Waldenström, mais il reste que très peu de choses ont été dites à propos des circonstances qui entourent sa mort, qui survint le 27 décembre 1978.

                  Selon d'autres sources, les premiers ressentis de la maladie de Houari Boumédiene furent lors de son voyage du 20 septembre 1978 à Damas (Syrie) où, alors qu'il était accompagné de Taleb-Ibrahimi et de Bouteflika, ces derniers avaient remarqué sa fatigue inhabituelle. Le diagnostic avancé dès lors était « une hématurie avec tumeur maligne de la vessie ». Pour cela il choisit de se faire traiter en URSS du 29 septembre au 14 novembre 1978. Le 12 octobre, lors de la visite de son jeune frère Said venu le voir à Moscou, Boumediène n'apprécie pas que le voyage de son frère soit financé par de l'argent public et demande aussitôt qu'il soit retenu sur le salaire du président. Quelques jours après, il sera hospitalisé à l'hôpital d'Alger Mustapha Bacha où il décédera le 27 décembre 1978 à 4 heures du matin avec deux hématomes dans le cerveau. Les funérailles officielles auront lieu le 29 décembre 1978 au cimetière d' El Alia (à Alger).[5]

                  Selon l'ex-ministre des Affaires étrangère irakien Hamed Jabori, Boumédienne a été empoisonné par les services irakiens avec du thallium[6].
                  The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                  • #10
                    Quelques phrases célèbres:

                    * Au cours d’un entretien qu'il a eu avec un diplomate occidental à Alger, Boumediene lui tient ces propos : «Quand dans un pays sous-développé, quelqu’un bouge, on le liquide. On amuse la galerie en exhibant quelques scandales de la CIA. Mais en réalité, la Maison-Blanche, le Pentagone, la CIA, c’est la même chose. Dès qu’on remue, la CIA s’occupe de vous.»

                    * Lors de la deuxième grande tournée de Henry Kissinger au Moyen-Orient en décembre 1973, ce dernier fit un passage par Alger avec l'intention de savoir si l’Algérie se classait dans le clan des irréductibles de Baghdad et Tripoli. Boumediene lui répondit en tête-à-tête par ces propos : «Je ne peux vous répondre que ce que j’ai déjà dit aux leaders de la Résistance palestinienne. L’Algérie ne pratique pas la surenchère. Elle ne peut qu’appuyer les décisions des Palestiniens. Exiger plus qu’eux, c’est de la démagogie ; moins, c’est de la trahison.»

                    * Au cours d’une réunion de l'Organisation de la conférence islamique en février 1974 à Lahore (Pakistan), et alors qu’étaient présents tous les chefs d'Etat musulmans de la planète, Boumediene déclara : «Les hommes ne veulent pas aller au paradis le ventre creux, un peuple qui a faim n’a pas besoin d’écouter des versets. Je le dis avec toute la considération pour le Coran que j’ai appris à l’âge de dix ans. Les peuples qui ont faim ont besoin de pain, les peuples ignorants de savoir, les peuples malades d’hôpitaux. »

                    * En recevant durant l'année 1975 le président tunisien Habib Bourguiba, Boumediene lui fit visiter le complexe sidérurgique d'El Hadjar (plus grand d’Afrique), qui est situé aux portes de la ville d'Annaba, visiblement très marqué par l'infrastructure et ses installations, le président tunisien dira à son hôte : «Quand même le colonialisme avait du bon ! Il vous a laissé beaucoup de choses.» Boumediene reprendra ironiquement : «Excusez-moi, Monsieur le Président, mais tout ce que vous voyez ici, les machines, les ouvriers, les cadres, le directeur, et même le ministre de l’Industrie sont une création du régime du 19 juin 1965.»

                    Lire l'article de Maamar Farah: http://www.lesoird************/articles/ ... 7582&cid=2
                    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                    • #11
                      * Au cours d’un entretien qu'il a eu avec un diplomate occidental à Alger, Boumediene lui tient ces propos : «Quand dans un pays sous-développé, quelqu’un bouge, on le liquide. On amuse la galerie en exhibant quelques scandales de la CIA. Mais en réalité, la Maison-Blanche, le Pentagone, la CIA, c’est la même chose. Dès qu’on remue, la CIA s’occupe de vous.»
                      comme il s'est occupé lui de Abane, krim belkacem et khider et peut être même de Amirouche
                      « Ce jour-là, j'ai vieilli prématurément. L'adolescent que j'étais est devenu un homme. Ce jour-là, le monde a basculé. Même les ancêtres ont bougé sous terre. Et les enfants ont compris qu'il faudrait se battre les armes à la main pour devenir des hommes libres. Personne ne peut oublier ce jour-là. »
                      et toi t'a comprit que mieux fallait rester en sécurité derrière les frontières et les salon du caire et tunis que dans les maquis de l'interieur tel un opportuniste toi et ta clique, a attendre le bon moment de s'emparer du pouvoir en liquidant les vrais maquisard qui eux au moins ont tiré avec leur fusil.

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                      • #12
                        POUR ABANE
                        c les 3 B
                        BOUSSOUF KRIM ET LE CHINOIS
                        The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                        • #13
                          l'Algerie a besoin d'un chef comme lui, un patriote qui aime son pays et son peuple.
                          Non , ce n'est pas l'Algérie qui a besoin d'un dictateur , c'est les brebis égarés . Et il aime , avahri ...

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                          • #14
                            Boumedienne etait un meneur d'hommes

                            عيناك نهر من جنون... عيناك أرض لا تخون

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                            • #15
                              ellah yerahmou wyewessa3 3lih

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