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Les 1.000 passagers bloqués enfin libérés
Les deux ferries de la compagnie Algérie Ferries, le Tassili II et le Tariq Ibn Ziad qui étaient restés bloqués à quai à Marseille, dans le sud de la France, pour l'un depuis jeudi et pour l'autre depuis samedi, en raison des intempéries, devaient reprendre le large hier après-midi,dès 15h avec le retour à la normale des conditions climatiques.
En effet, cela fait quatre jours que le Tassili II qui devait prendre la mer à destination de Béjaïa avec à son bord 500 personnes et 180 véhicules, n'a pas largué les amarres, sur décision du capitaine. L'autre navire, le Tariq, avec 800 passagers à bord, devait déjà quitter Marseille pour Alger mardi dernier, mais une panne sur trois de ses groupes électrogènes a entraîné l'annulation du voyage.
Bien que les réparations aient été effectuées et que tout semblait en ordre de marche, le capitaine, à l'image de ce qu'avait décidé celui du Tassili II, s'est refusé à quitter le port en raison des intempéries. «Il y avait un vent de force 10 au large de l'Algérie et des creux de 6 mètres. La décision qui s'imposait était de ne pas prendre la mer», a expliqué Paul de Rosen, le directeur commercial de la SNCM, agent administratif d'Algérie Ferries à Marseille.
Zahia B. K.
tempsdz
Les deux ferries de la compagnie Algérie Ferries, le Tassili II et le Tariq Ibn Ziad qui étaient restés bloqués à quai à Marseille, dans le sud de la France, pour l'un depuis jeudi et pour l'autre depuis samedi, en raison des intempéries, devaient reprendre le large hier après-midi,dès 15h avec le retour à la normale des conditions climatiques.
En effet, cela fait quatre jours que le Tassili II qui devait prendre la mer à destination de Béjaïa avec à son bord 500 personnes et 180 véhicules, n'a pas largué les amarres, sur décision du capitaine. L'autre navire, le Tariq, avec 800 passagers à bord, devait déjà quitter Marseille pour Alger mardi dernier, mais une panne sur trois de ses groupes électrogènes a entraîné l'annulation du voyage.
Bien que les réparations aient été effectuées et que tout semblait en ordre de marche, le capitaine, à l'image de ce qu'avait décidé celui du Tassili II, s'est refusé à quitter le port en raison des intempéries. «Il y avait un vent de force 10 au large de l'Algérie et des creux de 6 mètres. La décision qui s'imposait était de ne pas prendre la mer», a expliqué Paul de Rosen, le directeur commercial de la SNCM, agent administratif d'Algérie Ferries à Marseille.
Zahia B. K.
tempsdz