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ALGER — Le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales en Algérie a pris la peine de démentir rapidement et de manière tout à fait inhabituelle une information de presse mardi relative à des interdictions entourant la consommation d'alcool durant les célébrations du Nouvel An.
Ce ministère et celui du Commerce ont été cités par le quotidien algérien de langue arabe El Chourouk "sommant les bars et les débits de boissons alcoolisées de baisser leurs rideaux à partir de 20h la nuit du réveillon.
Selon le journal, "cette instruction exige des hôtels, boîtes de nuit et tous les lieux où se déroulera la célébration du Nouvel An de ne pas laisser sortir les réveillonneurs à partir de 20h00 jusqu?au lendemain".
Le ministère de l'Intérieur a démenti "fermement et énergiquement" l'information "erronée, grotesque et mensongère", dans un communiqué cité par l'agence APS.
Seuls les services de sécurité "sont mobilisés en vue d'assurer la sécurité et la quiétude des citoyens, au quotidien et à toute occasion", ajoute le ministère.
El Chourouk expliquait que ces interdictions avaient été prises pour "éviter des saccages de biens publics et privés et pour éviter l?anarchie qui pourrait causer des dérapages", car le pays est touché par une augmentation de la criminalité, portant sur les vols et les actes entourant la consommation de drogue.
Copyright © 2010 AFP.
Ce ministère et celui du Commerce ont été cités par le quotidien algérien de langue arabe El Chourouk "sommant les bars et les débits de boissons alcoolisées de baisser leurs rideaux à partir de 20h la nuit du réveillon.
Selon le journal, "cette instruction exige des hôtels, boîtes de nuit et tous les lieux où se déroulera la célébration du Nouvel An de ne pas laisser sortir les réveillonneurs à partir de 20h00 jusqu?au lendemain".
Le ministère de l'Intérieur a démenti "fermement et énergiquement" l'information "erronée, grotesque et mensongère", dans un communiqué cité par l'agence APS.
Seuls les services de sécurité "sont mobilisés en vue d'assurer la sécurité et la quiétude des citoyens, au quotidien et à toute occasion", ajoute le ministère.
El Chourouk expliquait que ces interdictions avaient été prises pour "éviter des saccages de biens publics et privés et pour éviter l?anarchie qui pourrait causer des dérapages", car le pays est touché par une augmentation de la criminalité, portant sur les vols et les actes entourant la consommation de drogue.
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