L'habituel sympathique et sarcastique chroniqueur de Laurent Ruquier n’a pas fait dans la dentelle lorsqu’il a choisi de s’attaquer ouvertement à l’icône de tout un peuple dans une vindicte qui restera longtemps dans les mémoires. Pure inconscience ou odyssée du courage ? L’histoire nous le dira en temps utile. Quoi qu’il en soit, c’est une véritable chute de grêle que Christophe Alévèque adresse à son nouvel ennemi intime.
« Ce n'est pas étonnant si, en général, les meilleurs sont des personnes intelligentes avant d'être des sportifs exceptionnels. L'exception, c'est Zidane, qui est con comme une b*te. Il n'a aucun avis sur rien, ne prend aucune position sur rien. C'est un mec totalement lisse qui ne veut se mettre personne à dos pour récupérer un maximum de pognon. C'est d'un ennui profond quand il parle. »
Ce manque de relief est même devenu un leitmotiv, la pierre angulaire allègrement exploitée par les auteurs des célèbres Guignols de l’Info pour définir la marionnette du plus brésilien des footballeurs français.
L’humoriste feule son venin jusqu’au bout en taxant le grand sportif de capitaliste sans frontières : « Il ne fait rien, il prend du fric. Ce mec est un panneau publicitaire qui a trois neurones, qui nous a fait perdre la Coupe du monde 2006. Qui, maintenant, profite de son image à outrance. Pour moi, c'est une forme de prostitution. Ce mec est une pute ! Écris-le ! Je te jure, ce qu'il fait, c'est toujours en fonction de son nombril. C'est écœurant. J'espère que les 11 millions qu'il a pris, il a les a donnés à une association, sinon c'est un scandale. Ce n'est pas son coup d'essai, il en a fait d'autres. Ambassadeur de Danone... Qu'il crève dans le yaourt ! Il avait des qualités de footballeur exceptionnelles, mais moi, ce n'est pas ce qui m'intéresse le plus. L'image qu'il véhicule pour les jeunes de banlieue... »
On attend désormais le match retour avec impatience. L’invective est de toute façon si virulente qu’elle sera probablement suivie d’effets que nous ne manquerons pas de vous relater...
Source: Entrevue
« Ce n'est pas étonnant si, en général, les meilleurs sont des personnes intelligentes avant d'être des sportifs exceptionnels. L'exception, c'est Zidane, qui est con comme une b*te. Il n'a aucun avis sur rien, ne prend aucune position sur rien. C'est un mec totalement lisse qui ne veut se mettre personne à dos pour récupérer un maximum de pognon. C'est d'un ennui profond quand il parle. »
Ce manque de relief est même devenu un leitmotiv, la pierre angulaire allègrement exploitée par les auteurs des célèbres Guignols de l’Info pour définir la marionnette du plus brésilien des footballeurs français.
L’humoriste feule son venin jusqu’au bout en taxant le grand sportif de capitaliste sans frontières : « Il ne fait rien, il prend du fric. Ce mec est un panneau publicitaire qui a trois neurones, qui nous a fait perdre la Coupe du monde 2006. Qui, maintenant, profite de son image à outrance. Pour moi, c'est une forme de prostitution. Ce mec est une pute ! Écris-le ! Je te jure, ce qu'il fait, c'est toujours en fonction de son nombril. C'est écœurant. J'espère que les 11 millions qu'il a pris, il a les a donnés à une association, sinon c'est un scandale. Ce n'est pas son coup d'essai, il en a fait d'autres. Ambassadeur de Danone... Qu'il crève dans le yaourt ! Il avait des qualités de footballeur exceptionnelles, mais moi, ce n'est pas ce qui m'intéresse le plus. L'image qu'il véhicule pour les jeunes de banlieue... »
On attend désormais le match retour avec impatience. L’invective est de toute façon si virulente qu’elle sera probablement suivie d’effets que nous ne manquerons pas de vous relater...
Source: Entrevue
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