Ahlam Mostaghanemi, l’écrivaine algérienne auteur du roman «Le souvenir de la chair» a confirmé ses critiques acerbes à l’encontre de Cheb Khaled et apporté, en même temps une précision de taille. Dans un entretien accordé au quotidien «Echourouk», Ahmal Mostaganemi a spécifié qu’elle n’a pas qualifié la personne de Cheb Khaled d’idiotie.
«C’est son rire qui est idiot» a-t-elle précisé. Soutenant que le roi du Rai «ne trouve de réponse que le rire en toutes circonstances». Très critique, elle a ajouté que Khaled n’est pas le digne ambassadeur et représentant de la jeunesse algérienne. Lui qui est passé sur des plateaux de télévisions françaises, avec des boucles d’oreilles et un chien. Ceux qui ont le mérite de bien représenter l’Algérie, à ses yeux, sont Abdelhamid Ababsa, Rabah Deriassa et Ahmed Ouahbi.
Très pessimiste, elle a regretté le fait que les chanteurs, les starlettes diplômés des émissions de Star académie soient plus connus que les intellectuels. Ahlam Mostaghanemi, ne lâchant pas prise, a ajouté qu’il existe bel et bien des chanteurs cultivés. Ce qui n’est pas le cas de la majorité écrasante de ces artistes mis sous les feux de la rampe, mais qui n’ont aucun message à passer, ni cause à défendre.
les debats
«C’est son rire qui est idiot» a-t-elle précisé. Soutenant que le roi du Rai «ne trouve de réponse que le rire en toutes circonstances». Très critique, elle a ajouté que Khaled n’est pas le digne ambassadeur et représentant de la jeunesse algérienne. Lui qui est passé sur des plateaux de télévisions françaises, avec des boucles d’oreilles et un chien. Ceux qui ont le mérite de bien représenter l’Algérie, à ses yeux, sont Abdelhamid Ababsa, Rabah Deriassa et Ahmed Ouahbi.
Très pessimiste, elle a regretté le fait que les chanteurs, les starlettes diplômés des émissions de Star académie soient plus connus que les intellectuels. Ahlam Mostaghanemi, ne lâchant pas prise, a ajouté qu’il existe bel et bien des chanteurs cultivés. Ce qui n’est pas le cas de la majorité écrasante de ces artistes mis sous les feux de la rampe, mais qui n’ont aucun message à passer, ni cause à défendre.
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