Sans aucun souci de lui créer des ennuis
Je lui ai tout promis sans grande envie
Elle m’a tout donné à volonté
De plein gré et sans regrets
J’étais indifférent espiègle
J’imposais même mes règles
En affichant mes grands airs
Mes va en guerre
Elle supportait mes fantaisies mes folies
Toutes les nuits jusqu’à l’insomnie
Je devenais désagréable, insupportable
Alors qu’elle me voulait adorable, vivable
Je devenais méchant furieux
Alors qu’elle me voulait heureux
J’ai rendu notre relation futile
Comme bâtie sur l’argile
Alors qu’elle la voulait passionnelle
Charnelle, ou tout bonnement naturelle
Elle voulait vivre heureuse
Je l’ai rendu malheureuse
Elle voulait que je sois son idole
Je l’ai rendu folle
Je reconnais mes torts
Jusqu’à éprouver des remords
Quand je constate sans hâte les dégâts
Qui ont fait tout voler en éclats avec fracas
Jusqu'à ce que tout s’effrite
Comme rongé par les termites
Mon Dieu, vous qui êtes aux cieux
Veillez à ce qu’en d’autres lieux
Elle retrouve le bonheur qui lui convient
Qui j’espère lui fera beaucoup de bien
Jusqu’à ne plus avoir souvenir dans le futur
De notre éphémère aventure
Qui l’a faite souffrir jusqu’à la rupture
Et veillez à ce que de pareilles bêtises
Plus jamais ne m’attisent
Jusqu’à vouloir nuire à la future conquise
Je lui ai tout promis sans grande envie
Elle m’a tout donné à volonté
De plein gré et sans regrets
J’étais indifférent espiègle
J’imposais même mes règles
En affichant mes grands airs
Mes va en guerre
Elle supportait mes fantaisies mes folies
Toutes les nuits jusqu’à l’insomnie
Je devenais désagréable, insupportable
Alors qu’elle me voulait adorable, vivable
Je devenais méchant furieux
Alors qu’elle me voulait heureux
J’ai rendu notre relation futile
Comme bâtie sur l’argile
Alors qu’elle la voulait passionnelle
Charnelle, ou tout bonnement naturelle
Elle voulait vivre heureuse
Je l’ai rendu malheureuse
Elle voulait que je sois son idole
Je l’ai rendu folle
Je reconnais mes torts
Jusqu’à éprouver des remords
Quand je constate sans hâte les dégâts
Qui ont fait tout voler en éclats avec fracas
Jusqu'à ce que tout s’effrite
Comme rongé par les termites
Mon Dieu, vous qui êtes aux cieux
Veillez à ce qu’en d’autres lieux
Elle retrouve le bonheur qui lui convient
Qui j’espère lui fera beaucoup de bien
Jusqu’à ne plus avoir souvenir dans le futur
De notre éphémère aventure
Qui l’a faite souffrir jusqu’à la rupture
Et veillez à ce que de pareilles bêtises
Plus jamais ne m’attisent
Jusqu’à vouloir nuire à la future conquise
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