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30 Décembre 2010
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Voilà qu’une autre richesse naturelle s’offre à nous et qui, bien menée, fera le bonheur des générations futures et pour l’éternité. C’est la plus belle nouvelle de l’année que nous avions envie de partager avec vous.
Pendant que tous les prévisionnistes nous annonçaient la fin proche de nos réserves pétrolières, un nouveau et inépuisable trésor s’offre à nous. Plutôt à nos générations futures. La nouvelle s’est confirmée en cette année 2010. Le solaire, cette énergie du futur, propre et renouvelable, place notre pays dans la situation d’un immense réservoir qui ne sera jamais à sec. Les chercheurs du monde entier mettent les bouchées doubles pour maîtriser au mieux les différentes étapes de son exploitation comme nouveau mode d’énergie à l’échelle mondiale. Pour remplacer le pétrole jugé trop polluant qui avait lui-même remplacé le charbon par le passé. Une nouvelle ère s’ouvre en ce début du troisième millénaire. Voilà une nouvelle pleine de joie et de bonheur pour tous les Algériens. Il nous faut cependant, garder la tête froide car ce trésor présente deux faces. L’une positive et l’autre moins. Commençons par la seconde. Tout le monde aura remarqué toute l’agitation qui a déjà commencé à l’étranger autour de notre soleil. Plusieurs projets aussi gigantesques les uns que les autres et ayant leur «assiette» chez nous sont concoctés sans nous. Alors qu’il s’agit d’une ressource naturelle et donc relevant de la souveraineté nationale, les concepteurs des projets veulent nous faire avaler l’idée d’une simple opération économique. Savez-vous pourquoi? Tout simplement pour qu’au nom de l’ouverture économique, des opérateurs privés nationaux suffisent à porter les projets, leur réalisation et ensuite leur exploitation. C’est ce qui s’appelle, il ne faut pas avoir peur des mots, de la sous-traitance du néocolonialisme. Et l’aventure du solaire n’en est qu’à ses débuts. Comme pour toutes les richesses naturelles, les convoitises seront exacerbées. Des guerres sont à craindre. Pour se mettre à l’abri, il faudra à nos gouvernants, présents et à venir, beaucoup de doigté et d’énormes prouesses. Il faudra jouer serré.
Avec des alliances, des accords de coopération sous forme de boucliers. Comme il y a toujours une contrepartie, il faudra être très habile dans les négociations avec pour leçon, les accords avec l’UE qu’il nous fallait renégocier. L’autre face de la médaille est plus prometteuse. A condition toutefois, là aussi, d’avoir une vision à très long terme avec le souci de préserver l’héritage que nous laisserons à toutes les générations qui nous succéderont.
Pour se faire une idée du fabuleux gisement d’énergie solaire inépuisable et disponible sur notre territoire, une étude japonaise fait ressortir que nous pourrons satisfaire jusqu’à 50% de la demande mondiale. Et ce qui ne gâche rien, cette quantité est tirée de réserves inépuisables. Il n’est pas inutile de préciser que l’énergie solaire prévaudra sur toutes les énergies renouvelables. Son exploitation ne nécessite pas des coûts importants de maintenance comme pour l’éolien. Le captage provient d’un équipement statique tandis que celui de l’éolien est mécanique où l’usure par le mouvement est plus importante. Il faut dire également que l’énergie solaire dans notre pays est déjà utilisée dans divers domaines. L’éclairage public dans des villes du Sud, et au nord des bains publics utilisent le procédé pour des raisons de coûts plus avantageux que ceux offerts actuellement par la Sonelgaz.
Une plus grande démocratisation passe par la recherche et la mise au point d’équipements plus performants, notamment en matière de stockage. Ce qui ne saurait tarder tant l’Occident se fait un point d’honneur de passer au plus vite à l’énergie propre. C’est cette maîtrise de la technologie qu’il nous faut absolument acquérir dès maintenant. Et ne pas se contenter du rôle de rentiers tirant leurs dividendes sur des «droits de parkings», pour reprendre une formule d’un responsable. Comme on peut le constater, on ne donnait pas cher de notre aisance financière tirée de nos hydrocarbures et chacun y allait avec son pronostic de l’épuisement de nos réserves. Voilà qu’une autre richesse naturelle s’offre à nous et qui, bien menée, fera le bonheur des générations futures et pour l’éternité. C’est la plus belle nouvelle de l’année que nous avions envie de partager avec vous. Quoi qu’on dise, quoi qu’on fasse, nous avons un pays fabuleux. Il nous faut juste travailler un peu plus et le protéger contre les convoitises de l’extérieur qui ne manqueront pas de se manifester. Il est beau notre pays, y a rien à dire!
([email protected])
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Voilà qu’une autre richesse naturelle s’offre à nous et qui, bien menée, fera le bonheur des générations futures et pour l’éternité. C’est la plus belle nouvelle de l’année que nous avions envie de partager avec vous.
Pendant que tous les prévisionnistes nous annonçaient la fin proche de nos réserves pétrolières, un nouveau et inépuisable trésor s’offre à nous. Plutôt à nos générations futures. La nouvelle s’est confirmée en cette année 2010. Le solaire, cette énergie du futur, propre et renouvelable, place notre pays dans la situation d’un immense réservoir qui ne sera jamais à sec. Les chercheurs du monde entier mettent les bouchées doubles pour maîtriser au mieux les différentes étapes de son exploitation comme nouveau mode d’énergie à l’échelle mondiale. Pour remplacer le pétrole jugé trop polluant qui avait lui-même remplacé le charbon par le passé. Une nouvelle ère s’ouvre en ce début du troisième millénaire. Voilà une nouvelle pleine de joie et de bonheur pour tous les Algériens. Il nous faut cependant, garder la tête froide car ce trésor présente deux faces. L’une positive et l’autre moins. Commençons par la seconde. Tout le monde aura remarqué toute l’agitation qui a déjà commencé à l’étranger autour de notre soleil. Plusieurs projets aussi gigantesques les uns que les autres et ayant leur «assiette» chez nous sont concoctés sans nous. Alors qu’il s’agit d’une ressource naturelle et donc relevant de la souveraineté nationale, les concepteurs des projets veulent nous faire avaler l’idée d’une simple opération économique. Savez-vous pourquoi? Tout simplement pour qu’au nom de l’ouverture économique, des opérateurs privés nationaux suffisent à porter les projets, leur réalisation et ensuite leur exploitation. C’est ce qui s’appelle, il ne faut pas avoir peur des mots, de la sous-traitance du néocolonialisme. Et l’aventure du solaire n’en est qu’à ses débuts. Comme pour toutes les richesses naturelles, les convoitises seront exacerbées. Des guerres sont à craindre. Pour se mettre à l’abri, il faudra à nos gouvernants, présents et à venir, beaucoup de doigté et d’énormes prouesses. Il faudra jouer serré.
Avec des alliances, des accords de coopération sous forme de boucliers. Comme il y a toujours une contrepartie, il faudra être très habile dans les négociations avec pour leçon, les accords avec l’UE qu’il nous fallait renégocier. L’autre face de la médaille est plus prometteuse. A condition toutefois, là aussi, d’avoir une vision à très long terme avec le souci de préserver l’héritage que nous laisserons à toutes les générations qui nous succéderont.
Pour se faire une idée du fabuleux gisement d’énergie solaire inépuisable et disponible sur notre territoire, une étude japonaise fait ressortir que nous pourrons satisfaire jusqu’à 50% de la demande mondiale. Et ce qui ne gâche rien, cette quantité est tirée de réserves inépuisables. Il n’est pas inutile de préciser que l’énergie solaire prévaudra sur toutes les énergies renouvelables. Son exploitation ne nécessite pas des coûts importants de maintenance comme pour l’éolien. Le captage provient d’un équipement statique tandis que celui de l’éolien est mécanique où l’usure par le mouvement est plus importante. Il faut dire également que l’énergie solaire dans notre pays est déjà utilisée dans divers domaines. L’éclairage public dans des villes du Sud, et au nord des bains publics utilisent le procédé pour des raisons de coûts plus avantageux que ceux offerts actuellement par la Sonelgaz.
Une plus grande démocratisation passe par la recherche et la mise au point d’équipements plus performants, notamment en matière de stockage. Ce qui ne saurait tarder tant l’Occident se fait un point d’honneur de passer au plus vite à l’énergie propre. C’est cette maîtrise de la technologie qu’il nous faut absolument acquérir dès maintenant. Et ne pas se contenter du rôle de rentiers tirant leurs dividendes sur des «droits de parkings», pour reprendre une formule d’un responsable. Comme on peut le constater, on ne donnait pas cher de notre aisance financière tirée de nos hydrocarbures et chacun y allait avec son pronostic de l’épuisement de nos réserves. Voilà qu’une autre richesse naturelle s’offre à nous et qui, bien menée, fera le bonheur des générations futures et pour l’éternité. C’est la plus belle nouvelle de l’année que nous avions envie de partager avec vous. Quoi qu’on dise, quoi qu’on fasse, nous avons un pays fabuleux. Il nous faut juste travailler un peu plus et le protéger contre les convoitises de l’extérieur qui ne manqueront pas de se manifester. Il est beau notre pays, y a rien à dire!
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