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Baisse du taux de chômage en Algérie

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  • Baisse du taux de chômage en Algérie

    Selon des données gouvernementales récentes, le taux de chômage est en baisse en Algérie pour la quatrième année consécutive.

    Selon une étude publiée le 19 décembre de l’office national des statistiques (ONS), le taux de chômage en Algérie poursuit sa baisse et se situe actuellement à 10% de la population active, soit 1.076.000 personnes sans emploi.

    Le taux de chômage était de 30% en 1999. En 2007, il a chuté à 11.8% en 2007. La tendance s’est affirmée : 11.3% en 2008 et 10.2% en 2009.

    Les résultats montrent également que le chômage touche de manière différente les catégories sociales. Ainsi, les femmes sont plus sujettes au chômage (19,1%) que les hommes (8,1%).

    Le chômage touché particulièrement les plus jeunes. Ainsi parmi les 16-24 ans, un jeune sur cinq est au chômage (21,5%), alors que ce taux n’est que de 7% pour les personnes âgés de 25 ans ou plus.

    S’il est vrai que le chômage en Algérie touche d’abord les jeunes, ce qui entraîne des répercussions profondes et certaines, cette enquête révèle néanmoins un phénomène inquiétant. En effet, il semblerait selon ces résultats que le chômage, qui ne s’élève qu’à 7,3% pour ceux qui ne disposent d’aucun diplôme, est plus répandu (21,4%) parmi les diplômés.

    Les femmes diplômées sont les plus touchées avec un taux de chômage de 33,6%.

    Selon l’enquête, il y a 9,735 millions de travailleurs (contre 6 millions en 1999), dont 1,474 million de femmes. Deux travailleurs sur trois sont des salariés. Le secteur du commerce et des services absorbe plus de la moitié des emplois (55,2%), suivi par le BTP (19,4%), l'industrie (13,7%) et enfin l'agriculture avec 11,7%. Le secteur privé, avec 6.390.000 personnes, emploie les deux tiers de cette main d’œuvre.

    Le 19 décembre, le Premier ministre, M. Ahmed Ouyahia, lors de la présentation de la Déclaration de politique générale du gouvernement devant le Conseil de la nation, a indiqué que les progrès en matière de développement humain et l’amélioration des conditions de vie des citoyens ainsi que la baisse du chômage sont à mettre sur le compte des importantes dépenses publiques d'investissement qui ont été consenties durant ces dernières années.

    M. Ouyahia a rappelé que les trois objectifs majeurs du gouvernement, durant les cinq prochaines années, sont l'augmentation de la croissance du secteur agricole à 8% annuellement, de relever à 10 % la part de l'industrie dans la valeur ajoutée globale et de réduire le chômage bien en deçà de 10%.Il a averti que le recours à la dépense publique ne pouvait être récurrent et a appelé le capital privé national à s'engager davantage dans l'investissement productif, la création de richesses et d'emplois, et la participation à la croissance.

    Les sénateurs ont montré leurs préoccupations face à l’importance du chômage qui touche particulièrement les jeunes. M. Brahim Ghouma s’est interrogé sur la " marginalisation " dont souffrent de nombreux universitaires ans la wilaya d’Illizi, soulignant que l’Etat algérien a investi dans leur formation sans toutefois leur offrir des postes de travail.

    M. Messaoud Femama a estimé que les jeunes chômeurs dans les wilayas du sud doivent bénéficier d’un «programme spécial " pour éviter qu’ils ne soient victimes de manipulations politiciennes.

    Plusieurs sénateurs ont insisté sur l'importance de s'occuper davantage de la jeunesse, de toutes religions, afin de l'intégrer dans la vie économique.

    Mme Zohra Drif-Bitat s'est interrogée sur le point de savoir " si réellement l'Etat a fait le nécessaire pour permettre aux jeunes de relever les défis du 21e siècle et de vivre décemment comme ils le méritent ".

    Pour sa part, Mme Louisa Chachoua, a insisté sur le caractère essentiel que revêt le fait de trouver de l'emploi aux jeunes diplômés, relevant que l'exode potentiel des jeunes diplômés pose un "sérieux problème".

    Source: Magharebia

  • #2
    taux de chômage en Algérie poursuit sa baisse et se situe actuellement à 10%
    meme les pays industrialisés ,ont des taux superieur à 10% ,nos gouvernements continuent à nous mentir sans honte


    dans les compagnes rares sont ceux qui travaillent, presque tout le monde chome (60 à 80 pc de chomeurs , c est pas une blague ) ils ne font que des petits boulots saisoniers
    je parle de chez moi que je connais, et je pense que c est pareil chez tous les voisins

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    • #3
      je parle de chez moi que je connais, et je pense que c est pareil chez tous les voisins
      vous marocains avez une fausse idée de l'Algérie
      je suis sure que vous ne l'avez même pas visiter dans toute votre vie ...

      cher monsieur, moi j'ai 20 ans et j'ai bien réussit a trouver un boulot meme si je suis toujours étudiant et c'est le cas de beaucoup de jeune algériens dont mes collégues qui travaille avec moi

      quand a ceux qui sont sorti en primaire ou ceux qui tiennent les murs en attendant qu'un emploi leur tombe du ciel, ce n'est pas de la faute de l'état
      veni vidi vici .

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