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Le fils de Bernard Mazières serait passé aux aveux

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  • Le fils de Bernard Mazières serait passé aux aveux

    Retrouvé mort vendredi à son domicile, Bernard Mazières avait été rédacteur en chef adjoint du service politique du Parisien.

    Le fils de l'ancien journaliste politique au Parisien, retrouvé mort la semaine dernière à son domicile, aurait reconnu avoir acheté avec son ami un marteau dans le but de tuer son père. On ignore toutefois qui des deux suspects a commis le meurtre.

    L'enquête concernant le meurtre de Bernard Mazières se dirige de plus en plus vers la thèse de l'assassinat avec préméditation. En garde à vue depuis mercredi après-midi, le fils de l'ancien journaliste politique du Parisien aurait reconnu, selon LCI, avoir tué son père avec la complicité d'un ami.
    Dans la nuit de jeudi à vendredi, le jeune homme aurait avoué aux enquêteurs avoir acheté la veille du crime un marteau pour tuer son père, qu'il ne supportait plus et qu'il comptait extorquer. Des informations que le procureur-adjoint du parquet de Paris, contacté par lefigaro.fr, a refusées de confirmer dans l'immédiat. Selon une autre source proche de l'enquête citée par l'Agence France Presse, le fils de la victime «a reconnu qu'il avait acheté un marteau», précisant qu'il «ne s'entendait pas du tout avec son père». «Ce qui n'est pas certain, c'est qu'il ait participé directement au meurtre ou qu'il ait attendu en bas», a ajouté cette source.

    «L'enquête tourne autour d'un mobile qui serait l'argent. Il y a eu des déclarations en garde à vue qui ne sont pas encore définitives», a simplement indiqué vendredi matin le parquet de Paris. Des précisions finales sur le dossier étaient attendues dans l'après-midi, la garde à vue du fils de Bernard Mazières expirant au plus tard à 16h30. Le parquet de Paris devrait alors ouvrir en fin de journée une information judiciaire, confiée à un juge d'instruction.

    Retrouvé mort dans la chambre de son fils

    Jusqu'à présent, le fils de Bernard Mazières avait dit aux enquêteurs que l'argent que lui donnait son père chaque mois - 500 euros - était insuffisant. Il aurait donc, selon ses premières explications, demandé à un ami âgé de 25 ans, de se rendre au domicile du journaliste afin de lui soutirer ou de lui voler de l'argent. Cet ami, déjà connu des services de police, avait été interpellé jeudi soir à Saint-Maur-des-Fossés (Val-de-Marne) et placé en garde à vue dans les locaux du 36 Quai des Orfèvres. Selon une source policière, il s'agirait d'un employé d'agence immobilière vivant depuis un an avec une mineure à Saint-Maur.

    Agé de 60 ans, Bernard Mazières, qui avait quitté il y a un an ses fonctions au Parisien, a été retrouvé mort vendredi dernier par sa femme de ménage à son domicile, dans le VIe arrondissement de Paris, dans la chambre de son fils avec qui il vivait. L'autopsie, pratiquée samedi, a confirmé qu'il était mort des suites d'un fracas crânien par un objet contondant et qu'il avait été poignardé à la gorge.




    le figaro
    *Nobody is perfect..I'm Nobody*

  • #2
    Jusqu'à présent, le fils de Bernard Mazières avait dit aux enquêteurs que l'argent que lui donnait son père chaque mois - 500 euros - était insuffisant.
    Quel gâchis, voila la récompense à 17 ans il avait un pécule mensuel plus qu'un rmiste et non content comme toujours, ils en veulent toujours plus sans le moindre effort.
    Il aurait donc, selon ses premières explications, demandé à un ami âgé de 25 ans, de se rendre au domicile du journaliste afin de lui soutirer ou de lui voler de l'argent. Cet ami, déjà connu des services de police, avait été interpellé jeudi soir à Saint-Maur-des-Fossés (Val-de-Marne) et placé en garde à vue dans les locaux du 36 Quai des Orfèvres. Selon une source policière, il s'agirait d'un employé d'agence immobilière vivant depuis un an avec une mineure à Saint-Maur.
    Qu'est qu'il attendait en faisant rentrer le loup dans la bergerie.
    Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

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