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Oran, la main d'oeuvre manque à l'appel.

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  • Oran, la main d'oeuvre manque à l'appel.

    Bonsoir, le boom des grands travaux est une réalité à Oran, tellement réel que les entreprises on du mal à recruter, fera-t-on appel à la main d'oeuvre étrangére qualifiés ?
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    L’emploi poursuit son embellie à Oran. Selon des statistiques, le secteur privé prévoit de nouveau recruter 49 200 personnes cette année. En fait, une entreprise sur cinq a l’intention d’embaucher.


    Les offres d’emploi ne se raréfieront pas cette année dans la deuxième ville du pays. Si toutes les intentions d’embauche se concrétisent, 49 200 personnes travailleraient cette année dans le secteur privé. « Près de 50 000 intentions d’embauche, c’est un signe de vitalité », commente un formateur, l’un des 22 qui ont reçu hier leur diplôme au siège du ministère du travail. Ils venaient, en effet, de suivre une courte formation intensive en Espagne. « C’est autant que l’an dernier et c’est loin d’être négligeable. Car cette vitalité a eu pour conséquence une hausse de l’emploi salarié dans la région. Cette hausse devrait atteindre près de 2%, par rapport à l’an dernier », selon notre interlocuteur. Mais, les entreprises du bâtiment disent « trouver tout le mal du monde pour trouver de la main-d’œuvre qualifiée à Oran. Cette carence concerne surtout les corps d’état secondaires (CES), (maçons, plombiers, carreleurs...) Le secteur peine toujours à trouver des canalisateurs, des monteurs de réseaux électriques, des terrassiers, des constructeurs d’ouvrages d’art et de routes... » Voilà donc un état de fait qui freine l’embauche. Mais, ceci est loin d’être le seul handicap. Les lourdeurs administratives co nstituent la bête noire de la création d’entreprises, et partant, de l’embauche. A en juger par les chiffres, 900 projets d’investissements sont déposés, en moyenne, à l’ANDI chaque année.

    Nouvelle dynamique

    Cependant, si les porteurs de projets ont de bonnes intentions d’embaucher, ils ne trouvent pas les facilités nécessaires. Pourtant, les établissements de moins de cinq salariés sont les plus enthousiastes, en étant à l’origine du tiers des projets de recrutement. Par secteurs d’activité cette fois, le bâtiment et les travaux publics bien sûr, l’hôtellerie, la restauration et le commerce arrivent en tête, en portant deux projets d’embauche sur cinq. Ces secteurs d’activité concentrent 80% des intentions d’embauche pour 2006. Du reste, 300 entreprises ont été créées durant le premier trimestre 2006 à Oran. Ceci porte le nombre global des PME à 17 300 unités dont 80 % des TPE (très petites entreprises). Dans ce cadre, plus de 220 000 emplois ont été créés l’an dernier. A l’ANEM, autant de demandes ont été déposées durant la même année. Mais, seules 28 700 demandes ont été satisfaites. Par professions enfin, neuf métiers sortent du lot : serveurs, employés de l’hôtellerie et de la restauration, employés de libre-service, agents d’entretien et de sécurité. 42 % des postes proposés pour 2006 seront difficiles à pourvoir. Ainsi, dans la construction, les employeurs envisagent d’embaucher près de 5 000 personnes. Mais, leur recrutement sera difficile, admettent-ils, dans 75% des cas. Comment attirer les jeunes ? Les entreprises de travaux publics essaient de répondre à cette question. Dans leur secteur, trop de métiers sont boudés. Les jeunes s’en détournent. Ils n’ont pas la qualification requise. A Oran, le sujet est d’autant plus important que de gros chantiers se profilent à l’horizon. Il sufi de citer les dédoublements de voies, la ligne du tramway, le logement, le nouveau pôle universitaire...Bref, autant d’opérations pour lesquelles les entreprises auront besoin de bras.
    4/04/2006 El Watan
    Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

  • #2
    ils n'ont qu'a envoye des busse de l'autre cote de la frontiere ils trouverons plein

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    • #3
      Du temps des français il y avait beaucoup de marocains et surtout des riffains qui allaient en algérier travailler principalment en agriculture

      Mais c'est une autre époque !!!
      .
      .
      ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
      Napoléon III

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      • #4
        Normal qu'ils manquent d'ouvriers, les jeunes algériens ne veulent pas faire ces travaux ils préférent tout ce qui est commerce et buisness l'argent facile quoi

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        • #5
          mais je crois que les chinois sont beacoup moin cher que les marocains, exemple un chauffeur de camion fait entre 3000 DH 300$ pour un debutant a +700$ pour un veterant alors c'est mieux d'amener des chinoi a 100$.

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          • #6
            y a pas de chauffeurs marocains en algérie, ils sont dans le batiment ou l'agriculture et bien sûr la plus part travaillent en noir, il se font un peu de tune et rentrent chez eux tres contents.

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            • #7
              oui ont sais humble il y a plus de 1800 marocain qui demande la nationalite algerien.

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              • #8
                effectivement rien qu'à oran la gazette du maroc à déclaré 1800

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                • #9
                  Des info

                  Ce genre d'information peut être considéré comme un signe plus ou moins important .

                  Signe d'un retour au souffle de l'economie Algérienne .
                  Elle commence a absorber quelques franges de la population .
                  C'est encore peu , mais cela a quand même un sens .

                  Il faut voir cette économie encore comme naissante .
                  Il lui faut encore des garantis d'Etat fort pour la soutenir .

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