«Je dois dire que les résultats de l’Algérie, depuis une dizaine d’années, en termes de croissance sont vraiment impressionnants, avec une inflation maîtrisée et des recettes budgétaires en abondance, notamment grâce aux hydrocarbures», a déclaré M. Strauss-Kahn à la presse à l’issue de l’audience que lui a accordée le président de la République, Abdelaziz Bouteflika.
Sachant que l’Algérie n’a pas besoin du FMI, M. Strauss-Kahn indiquera que son institution «joue un rôle même dans les pays qui n’ont pas besoin de son aide, en exerçant des conseils de politique économique et en examinant, avec les autorités de ces pays, les hypothèses économiques mondiales».
«L’Algérie est un pays où l’économie fonctionne, même avec des difficultés et des problèmes liés à l’histoire qu’il faut continuer à résoudre», a-t-il souligné. Pour le DG du FMI, le taux de chômage en Algérie «qui tourne autour de 10%, n’est pas plus élevé que celui enregistré dans la plupart des pays européens ou aux Etats-Unis».
Rappelons que dans son dernier rapport sur les pays de la région Afrique du Nord et Moyen-Orient, le FMI prévoit une évolution favorable de la majorité des indicateurs économiques de l’Algérie pour 2010 et 2011, hormis le solde budgétaire, qui demeurera négatif.
Le Fonds table sur un taux de croissance positif de l’Algérie, qui devrait s’établir à 3,8% en 2010 et à 4% en 2011 contre 2,4% en 2009. Le PIB nominal de l’Algérie devra augmenter à 159 milliards de dollars en 2010 (contre 139,8 milliards de dollars en 2009) pour s’accroître encore à 171,6 milliards de dollars en 2011.
En outre, la courbe de l’inflation devrait suivre une trajectoire baissière, selon le FMI qui la situe à 5,5% en 2010 et à 5,2% en 2011, contre 5,7% en 2009.
europemaghreb
Sachant que l’Algérie n’a pas besoin du FMI, M. Strauss-Kahn indiquera que son institution «joue un rôle même dans les pays qui n’ont pas besoin de son aide, en exerçant des conseils de politique économique et en examinant, avec les autorités de ces pays, les hypothèses économiques mondiales».
«L’Algérie est un pays où l’économie fonctionne, même avec des difficultés et des problèmes liés à l’histoire qu’il faut continuer à résoudre», a-t-il souligné. Pour le DG du FMI, le taux de chômage en Algérie «qui tourne autour de 10%, n’est pas plus élevé que celui enregistré dans la plupart des pays européens ou aux Etats-Unis».
Rappelons que dans son dernier rapport sur les pays de la région Afrique du Nord et Moyen-Orient, le FMI prévoit une évolution favorable de la majorité des indicateurs économiques de l’Algérie pour 2010 et 2011, hormis le solde budgétaire, qui demeurera négatif.
Le Fonds table sur un taux de croissance positif de l’Algérie, qui devrait s’établir à 3,8% en 2010 et à 4% en 2011 contre 2,4% en 2009. Le PIB nominal de l’Algérie devra augmenter à 159 milliards de dollars en 2010 (contre 139,8 milliards de dollars en 2009) pour s’accroître encore à 171,6 milliards de dollars en 2011.
En outre, la courbe de l’inflation devrait suivre une trajectoire baissière, selon le FMI qui la situe à 5,5% en 2010 et à 5,2% en 2011, contre 5,7% en 2009.
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