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La Roumanie décide de taxer les sorcières
Il n'y a pas qu'en France que l'État a du mal à boucler ses fins de mois. La Roumanie aussi cherche de nouvelles ressources. Et il a trouvé une nouvelle ressource qui ne fait pas plaisir à certaines des personnes concernées : les sorcières !
Un métier comme un autre
Depuis le 1er Janvier, les sorcières, astrologues et embaumeurs sont devenus des travailleurs comme les autres. Il et elles devront donc s'enregistrer auprès des autorités... et payer un taxe.
Entre reconnaissance....et menace
Les personnes concernées ne réagissent pas toutes de la même facons. Ainsi Mihela Minca, sorcière, ne voit pas cette mesure forcément d'un mauvais œil. Même si elle perdra de l'argent, elle considère que c'est "une très bonne loi, et [elle est] heureuse. C'est une reconnaissance pour nos dons en magie. Ils étaient reconnus et acceptés dans le monde entier, ils le sont maintenant aussi par le gouvernement Roumain".
À la différence de Mihela, Bratara Buzea qui a, elle, décidé de ne pas se laisser faire et de lancer un sort contre le président roumain. "Je lance des sorts, en bien ou en mal", dit-elle. "Et je n'ai peur de rien. pas même du Président. Alors si il a quelque chose contre moi, je vais lui montrer" menace-t-elle après avoir préparé une potion à base d'excréments de chats et de morceaux de chiens morts...
Le Post
Un métier comme un autre
Depuis le 1er Janvier, les sorcières, astrologues et embaumeurs sont devenus des travailleurs comme les autres. Il et elles devront donc s'enregistrer auprès des autorités... et payer un taxe.
Entre reconnaissance....et menace
Les personnes concernées ne réagissent pas toutes de la même facons. Ainsi Mihela Minca, sorcière, ne voit pas cette mesure forcément d'un mauvais œil. Même si elle perdra de l'argent, elle considère que c'est "une très bonne loi, et [elle est] heureuse. C'est une reconnaissance pour nos dons en magie. Ils étaient reconnus et acceptés dans le monde entier, ils le sont maintenant aussi par le gouvernement Roumain".
À la différence de Mihela, Bratara Buzea qui a, elle, décidé de ne pas se laisser faire et de lancer un sort contre le président roumain. "Je lance des sorts, en bien ou en mal", dit-elle. "Et je n'ai peur de rien. pas même du Président. Alors si il a quelque chose contre moi, je vais lui montrer" menace-t-elle après avoir préparé une potion à base d'excréments de chats et de morceaux de chiens morts...
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