Dans sa première réaction, rapportée par le quotidien Echorouk du 08/01/2011, le ministre de l'intérieur affirme que des enquêtes seront diligentées afin de déterminer les parties "occultes" qui ont poussé la rue algérienne à bouger, et particulièrement les actes de banditisme et de brigandage qui n'ont rien à voir, selon lui, ave une quelconque revendication contre la cherté des prix.
Les personnes arrêtées seront auditionnées, certaines seront relâchées et celles qui ont été prises en flgrant délit répondront de leurs actes devant la justice. Ould Kablia ajoute que les forces de sécurité ont reçu l'ordre de ne pas utiliser la poigne de fer, et que des enregistrements vidéo un peu partout dans le pays seront utilisés pour arrêter tous ceux qui ont participé aux saccages et autres actes de destruction.
Ould Kablia dit, par ailleurs, qu'il s'étonne du degré de haine et de désespoir de certains jeunes algériens, et qu'il ne comprend pas comment une revendication sociale puisse dégénérer en émeutes de vandalisme contre des biens publics et privés. Il tempère toutefois ses propos en expliquant que malgré tous les dépassements, les autorités ont préféré réagir avec une logique de retenue. Ainsi, les forces de sécurité ont reçu l'ordre d'éviter au maximum les anicroches avec les manifestants, et de ne faire usage de balles réelles en aucun cas. De nombreux barrages ont été levés afin d'éviter toute confrontation, d'autant que le nombre des agents de l'ordre est négligeable devant celui des émeutiers renforcés par des bandes de casseurs et de voleurs.
Enfin, Ould Kablia parle d'un retour au calme dans la plupart des wilayas, et précise que toutes les données semblent indiquer un acte criminel (il parle même d'ennemis de l'intérieur) et écarte toute revendication de type social. Une cellule de crise au niveau du ministère de l'intérieur a établi un plan visant à alléger les mesures sécuritaires au fur et à mesure.
Les personnes arrêtées seront auditionnées, certaines seront relâchées et celles qui ont été prises en flgrant délit répondront de leurs actes devant la justice. Ould Kablia ajoute que les forces de sécurité ont reçu l'ordre de ne pas utiliser la poigne de fer, et que des enregistrements vidéo un peu partout dans le pays seront utilisés pour arrêter tous ceux qui ont participé aux saccages et autres actes de destruction.
Ould Kablia dit, par ailleurs, qu'il s'étonne du degré de haine et de désespoir de certains jeunes algériens, et qu'il ne comprend pas comment une revendication sociale puisse dégénérer en émeutes de vandalisme contre des biens publics et privés. Il tempère toutefois ses propos en expliquant que malgré tous les dépassements, les autorités ont préféré réagir avec une logique de retenue. Ainsi, les forces de sécurité ont reçu l'ordre d'éviter au maximum les anicroches avec les manifestants, et de ne faire usage de balles réelles en aucun cas. De nombreux barrages ont été levés afin d'éviter toute confrontation, d'autant que le nombre des agents de l'ordre est négligeable devant celui des émeutiers renforcés par des bandes de casseurs et de voleurs.
Enfin, Ould Kablia parle d'un retour au calme dans la plupart des wilayas, et précise que toutes les données semblent indiquer un acte criminel (il parle même d'ennemis de l'intérieur) et écarte toute revendication de type social. Une cellule de crise au niveau du ministère de l'intérieur a établi un plan visant à alléger les mesures sécuritaires au fur et à mesure.
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