Le Maroc condamne "fermement" la démolition de l'hôtel Shepherd
Photo prise lors de la démolition de l’hôtel Shepherd. /DR
L'ancien hôtel Shepherd (ici en photo avant sa démolition) avait servi de résidence à l'ex-Grand mufti de Jérusalem, Amin al-Husseini. L'hôtel se trouvait dans la partie orientale de Jérusalem annexée après son occupation en 1967. /DRLe Maroc a "fermement condamné" mardi la démolition de l'hôtel Shepherd, à Jérusalem-Est, un acte qui vise à "judaïser" cette ville et qui "menace davantage les chances de paix dans la région", selon le ministère marocain des Affaires étrangères.
"Cet acte ignoble présente encore une fois une preuve de la mise en oeuvre par le gouvernement actuel d'Israël de ses politiques colonialistes (...) dans un défi flagrant du droit international", a indiqué le ministère dans un communiqué.
L'Union européenne et les Etats-Unis, notamment, ont condamné la démolition engagée par Israël de cet hôtel, un bâtiment historique situé au coeur d'un quartier arabe de Jérusalem-Est annexée. Israël a rejeté catégoriquement ces critiques.
Selon le Maroc, il s'agit "d'un acte colonialiste inique" qui vise à "judaïser" Jérusalem-Est et "attenter" à ses "monuments authentiques".
La démolition de cet hôtel "menace davantage les chances de paix, de sécurité et de stabilité dans la région", conclut le communiqué.
L'ancien hôtel Shepherd avait servi de résidence à l'ex-Grand mufti de Jérusalem, Amin al-Husseini. L'hôtel se trouvait dans la partie orientale de Jérusalem annexée après son occupation en 1967. L'objectif est de construire sur le site des logements destinés à des colons juifs.
AFP
Photo prise lors de la démolition de l’hôtel Shepherd. /DR
L'ancien hôtel Shepherd (ici en photo avant sa démolition) avait servi de résidence à l'ex-Grand mufti de Jérusalem, Amin al-Husseini. L'hôtel se trouvait dans la partie orientale de Jérusalem annexée après son occupation en 1967. /DRLe Maroc a "fermement condamné" mardi la démolition de l'hôtel Shepherd, à Jérusalem-Est, un acte qui vise à "judaïser" cette ville et qui "menace davantage les chances de paix dans la région", selon le ministère marocain des Affaires étrangères.
"Cet acte ignoble présente encore une fois une preuve de la mise en oeuvre par le gouvernement actuel d'Israël de ses politiques colonialistes (...) dans un défi flagrant du droit international", a indiqué le ministère dans un communiqué.
L'Union européenne et les Etats-Unis, notamment, ont condamné la démolition engagée par Israël de cet hôtel, un bâtiment historique situé au coeur d'un quartier arabe de Jérusalem-Est annexée. Israël a rejeté catégoriquement ces critiques.
Selon le Maroc, il s'agit "d'un acte colonialiste inique" qui vise à "judaïser" Jérusalem-Est et "attenter" à ses "monuments authentiques".
La démolition de cet hôtel "menace davantage les chances de paix, de sécurité et de stabilité dans la région", conclut le communiqué.
L'ancien hôtel Shepherd avait servi de résidence à l'ex-Grand mufti de Jérusalem, Amin al-Husseini. L'hôtel se trouvait dans la partie orientale de Jérusalem annexée après son occupation en 1967. L'objectif est de construire sur le site des logements destinés à des colons juifs.
AFP
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