Tweet
L’Algérie produira 1,8 million de m3 d’eau par jour …. Grace a trois projets de réalisation d'unités de dessalement d'eaux de mer, qui concernent Ettaref, Cap Blanc à Oran et Ténès avec.... une forte participation des compagnies espagnoles, en plus des compagnies françaises, américaine, britannique et singapourienne.
La capacité de chaque unité de dessalement atteint 200 mille m3 sauf celle d'Ettaref qui est estimée à 50 mille m3/jour.
====
Le coût de l’eau dessalée s’élève à 48 dinars le mètre cube, a annoncé hier le ministre des Ressources en eau, M. Abdelmalak Sellal, à l’issue de la séance d’ouverture des plis des offres techniques relatives à trois projets de réalisation d’unités de dessalement d’eau de mer à El- Tarf, d’une capacité de 50 000 m3/j, à Cap Blanc (Oran) et à Ténès, d’une capacité de 200 000 m3/jour chacune.
Le programme national de dessalement d’eau de mer concerne la réalisation de 14 unités d’ici à 2009, avec une capacité de production de 1,8 million de m3 par jour, a précisé M. Sellal. Concernant les offres techniques pour les trois projets, dont l’ouverture des plis a eu lieu hier au ministère de l’Energie et des Mines, il convient de noter que plusieurs entreprises étrangères ont soumissionné.
Il s’agit du groupement espagnol, Inima-Aqualia, du groupement turquo-coréen, Baytur-Doosam, du groupement espagnol, Bfesa-Cobra, du groupement canado-français, SNC Lavalin-Degremont, des sociétés Bi Water (Grande-Bretagne), Inima-Actiona (Espagne), Hyflux (Singapour) et Spa Aqualia (Espagne).
Ces trois unités de dessalement seront mises en service d’ici à la fin de 2009 et seront totalement financées par l’Algérie. Le ministre des Finances, M. Mourad Medelci, qui a assisté à l’ouverture des plis, a souligné l’intérêt croissant des entreprises étrangères pour les projets de dessalement de l’eau de mer en Algérie.
«La forte concurrence permettra, selon lui, de réduire davantage le coût de l’eau dessalée». M. Sellal a soulevé l’insuffisance de l’eau dans l’ouest du pays qui souffre beaucoup ce cette situation, d’où l’orientation des projets de dessalement dans cette région.
Il a indiqué que le taux de remplissage des barrages au niveau national est de 48 %. Concernant le coût de réalisation des unités de dessalement, un responsable du ministère a affirmé qu’une unité d’une capacité de 100 000 m3/jour nécessite un investissement de 120 à 140 millions de dollars.
- Z. M. Le jeune independant
La capacité de chaque unité de dessalement atteint 200 mille m3 sauf celle d'Ettaref qui est estimée à 50 mille m3/jour.
====
Le coût de l’eau dessalée s’élève à 48 dinars le mètre cube, a annoncé hier le ministre des Ressources en eau, M. Abdelmalak Sellal, à l’issue de la séance d’ouverture des plis des offres techniques relatives à trois projets de réalisation d’unités de dessalement d’eau de mer à El- Tarf, d’une capacité de 50 000 m3/j, à Cap Blanc (Oran) et à Ténès, d’une capacité de 200 000 m3/jour chacune.
Le programme national de dessalement d’eau de mer concerne la réalisation de 14 unités d’ici à 2009, avec une capacité de production de 1,8 million de m3 par jour, a précisé M. Sellal. Concernant les offres techniques pour les trois projets, dont l’ouverture des plis a eu lieu hier au ministère de l’Energie et des Mines, il convient de noter que plusieurs entreprises étrangères ont soumissionné.
Il s’agit du groupement espagnol, Inima-Aqualia, du groupement turquo-coréen, Baytur-Doosam, du groupement espagnol, Bfesa-Cobra, du groupement canado-français, SNC Lavalin-Degremont, des sociétés Bi Water (Grande-Bretagne), Inima-Actiona (Espagne), Hyflux (Singapour) et Spa Aqualia (Espagne).
Ces trois unités de dessalement seront mises en service d’ici à la fin de 2009 et seront totalement financées par l’Algérie. Le ministre des Finances, M. Mourad Medelci, qui a assisté à l’ouverture des plis, a souligné l’intérêt croissant des entreprises étrangères pour les projets de dessalement de l’eau de mer en Algérie.
«La forte concurrence permettra, selon lui, de réduire davantage le coût de l’eau dessalée». M. Sellal a soulevé l’insuffisance de l’eau dans l’ouest du pays qui souffre beaucoup ce cette situation, d’où l’orientation des projets de dessalement dans cette région.
Il a indiqué que le taux de remplissage des barrages au niveau national est de 48 %. Concernant le coût de réalisation des unités de dessalement, un responsable du ministère a affirmé qu’une unité d’une capacité de 100 000 m3/jour nécessite un investissement de 120 à 140 millions de dollars.
- Z. M. Le jeune independant