La situation en Tunisie, une des destinations préférées des Français, est suivie avec attention par les voyagistes qui, avant l'annonce de pillages dans la station balnéaire de Hammamet, commençaient à enregistrer de premières annulations de clients inquiets.
Jeudi, des pillages de magasins et des destructions touchant un poste de police et une permanence du parti au pouvoir ont eu lieu dans la station de Hammamet, située à 60 km au sud de Tunis.
«Pour l'instant, il ne se passe rien dans les hôtels où les gens passent leurs vacances»,déclare le président de l'Association des tour-opérateurs français (Ceto) René-Marc Chikli qui se dit «plus que vigilant», à l'instar de ses adhérents face à l'évolution de la situation.
"La zone hôtelière balnéaire de Hammamet n'est pas touchée m'ont assuré des hôteliers joints au téléphone", a déclaré Georges Colson, le président du Syndicat national des agences de voyage (Snav), qui vient de mettre en place une cellule de veille.
La Tunisie «est la première destination des Français après l'Espagne, avec plus de 1,5 million de personnes chaque année qui se rendent dans ce pays», poursuit Georges Colson.
La Suisse, le Portugal et les Pays-Bas déconseillent depuis jeudi les voyages non urgents de leurs ressortissants en Tunisie. Le ministère des Affaires étrangères, sur son site internet, recommandait «d'adopter la plus grande réserve et d'éviter de se mêler à toute forme de rassemblement».
Pour l'instant, tous les départs sont assurés vers le pays, selon le Ceto et le Snav.
«La majorité des tour-opérateurs ont déjà pris des mesures de précaution comme la suppression de circuits», même s'ils ne passaient pas par Tunis, poursuit René-Marc Chikli.
C'est le cas de Fram, dont la Tunisie est la 3e destination avec 80.000 clients par an. Le voyagiste toulousain, qui a déjà mis en place une cellule de crise, a enregistré depuis mardi environ 200 annulations.
Marmara aussi a supprimé ses circuits depuis mercredi.
Les Français les plus inquiets se voient proposer des alternatives, notamment pour les vacances de février, comme les Canaries ou le Maroc, destinations moins onéreuses l'hiver que les Tropiques.
ouest france
Jeudi, des pillages de magasins et des destructions touchant un poste de police et une permanence du parti au pouvoir ont eu lieu dans la station de Hammamet, située à 60 km au sud de Tunis.
«Pour l'instant, il ne se passe rien dans les hôtels où les gens passent leurs vacances»,déclare le président de l'Association des tour-opérateurs français (Ceto) René-Marc Chikli qui se dit «plus que vigilant», à l'instar de ses adhérents face à l'évolution de la situation.
"La zone hôtelière balnéaire de Hammamet n'est pas touchée m'ont assuré des hôteliers joints au téléphone", a déclaré Georges Colson, le président du Syndicat national des agences de voyage (Snav), qui vient de mettre en place une cellule de veille.
La Tunisie «est la première destination des Français après l'Espagne, avec plus de 1,5 million de personnes chaque année qui se rendent dans ce pays», poursuit Georges Colson.
La Suisse, le Portugal et les Pays-Bas déconseillent depuis jeudi les voyages non urgents de leurs ressortissants en Tunisie. Le ministère des Affaires étrangères, sur son site internet, recommandait «d'adopter la plus grande réserve et d'éviter de se mêler à toute forme de rassemblement».
Pour l'instant, tous les départs sont assurés vers le pays, selon le Ceto et le Snav.
«La majorité des tour-opérateurs ont déjà pris des mesures de précaution comme la suppression de circuits», même s'ils ne passaient pas par Tunis, poursuit René-Marc Chikli.
C'est le cas de Fram, dont la Tunisie est la 3e destination avec 80.000 clients par an. Le voyagiste toulousain, qui a déjà mis en place une cellule de crise, a enregistré depuis mardi environ 200 annulations.
Marmara aussi a supprimé ses circuits depuis mercredi.
Les Français les plus inquiets se voient proposer des alternatives, notamment pour les vacances de février, comme les Canaries ou le Maroc, destinations moins onéreuses l'hiver que les Tropiques.
ouest france
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