Gala.fr
BHL vient d'inventer le droit d'ingérence 2.0. Et pour ce faire, il recrute des hors la loi. Il s'agit des pirates informatiques, autrement dit les hackers qui pourraient, voire même devraient, s'attaquer aux sites officiels de la Tunisie de Ben Ali en proie à des révoltes de la faim (y compris celle de liberté) violemment réprimées et mises sous le couvercle de la censure étatique.
C'est, paradoxe logique, d'abord via Internet que Bernard Henri Lévy a lancé cet appel aux forces internationales de la crypto-toile pour mener ce coup de force sur les médias électroniques pro gouvernementaux tunisiens. Plus précisément, BHL a lancé l'offensive avec un simple message sur le Twitter de son propre site, La Règle Du Jeu. Et en ces termes:
@font-face { font-family: "Times New Roman"; }p.MsoNormal, li.MsoNormal, div.MsoNormal { margin: 0cm 0cm 0.0001pt; font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman"; }table.MsoNormalTable { font-size: 10pt; font-family: "Times New Roman"; }div.Section1 { page: Section1; } "Hackers de tous les pays, unissez-vous. Soutenez les Anonymous. Piratez, bloquez, les sites officiels de la Tunisie de Ben Ali." Les Anonymous? Un commando de pirates informatiques qui avaient notamment prêté main forte au site Wikileaks en pleine crise. Un coup sacrément gonflé lorsque l'on s'expose soi-même aux flibustiers de la toile, y compris par quelques sympathisants de Ben Ali armé d'un minimum de savoir en matière de craquage...
Mais BHL.fr n'en n'a que faire. Et il a poursuivi cette guerre des nerfs avec celle des ondes, s'adressant cette fois à Europe 1 (écoutez en cliquant ci-dessous). Fustigeant l'attitude molassonne de la France face au drame qui se joue dans les rues tunisienne, Bernard Henri Lévy a déclaré : "On ne peut pas se contenter de regarder en spectateur cette révolte sociale, cette révolte de la liberté. C'est la raison pour laquelle La Règle Du Jeu appelle à saborder des sites. Et ce, tant que les journaux officiels tunisiens ......
BHL vient d'inventer le droit d'ingérence 2.0. Et pour ce faire, il recrute des hors la loi. Il s'agit des pirates informatiques, autrement dit les hackers qui pourraient, voire même devraient, s'attaquer aux sites officiels de la Tunisie de Ben Ali en proie à des révoltes de la faim (y compris celle de liberté) violemment réprimées et mises sous le couvercle de la censure étatique.
C'est, paradoxe logique, d'abord via Internet que Bernard Henri Lévy a lancé cet appel aux forces internationales de la crypto-toile pour mener ce coup de force sur les médias électroniques pro gouvernementaux tunisiens. Plus précisément, BHL a lancé l'offensive avec un simple message sur le Twitter de son propre site, La Règle Du Jeu. Et en ces termes:
@font-face { font-family: "Times New Roman"; }p.MsoNormal, li.MsoNormal, div.MsoNormal { margin: 0cm 0cm 0.0001pt; font-size: 12pt; font-family: "Times New Roman"; }table.MsoNormalTable { font-size: 10pt; font-family: "Times New Roman"; }div.Section1 { page: Section1; } "Hackers de tous les pays, unissez-vous. Soutenez les Anonymous. Piratez, bloquez, les sites officiels de la Tunisie de Ben Ali." Les Anonymous? Un commando de pirates informatiques qui avaient notamment prêté main forte au site Wikileaks en pleine crise. Un coup sacrément gonflé lorsque l'on s'expose soi-même aux flibustiers de la toile, y compris par quelques sympathisants de Ben Ali armé d'un minimum de savoir en matière de craquage...
Mais BHL.fr n'en n'a que faire. Et il a poursuivi cette guerre des nerfs avec celle des ondes, s'adressant cette fois à Europe 1 (écoutez en cliquant ci-dessous). Fustigeant l'attitude molassonne de la France face au drame qui se joue dans les rues tunisienne, Bernard Henri Lévy a déclaré : "On ne peut pas se contenter de regarder en spectateur cette révolte sociale, cette révolte de la liberté. C'est la raison pour laquelle La Règle Du Jeu appelle à saborder des sites. Et ce, tant que les journaux officiels tunisiens ......
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