LePost
Le maire du village suisse de Reconvilier réclame à ses administrés propriétaires de chiens une taxe de 50 francs suisses (environ 39 €)
Le maire du village menace de tuer les chiens des mauvais contribuables Agrandir la photo
Il menace d'abattre les animaux dont les maîtres ne voudraient s'acquitter de cet impôt. Pour cela, la municipalité dit se conformer à une loi cantonale datant de...1904.
Suite à la parution de cette nouvelle dans la presse, la commune a bien du mal à trouver des arguments pour se défendre.
"Nous ne voulons pas tuer les chiens, on veut juste récupérer les taxes. Il y a plus de 300 chiens dans la commune", a expliqué le maire adjoint... rapporte Le Matin.
Suite à cette affaire, le maire de Reconvilier reconnait avoir reçu des lettres d'insultes et divers messages.
De son coté, le président de la Protection suisse des animaux a expliqué que l'abattage des animaux n'est plus appliqué car ce n'est plus d'actualité, mais il a ajouté : qu'il "n'hésiterait pas un instant à examiner le dépôt d'une plainte pénale contre les responsables" susceptibles d'abattre les chiens.
Le maire du village suisse de Reconvilier réclame à ses administrés propriétaires de chiens une taxe de 50 francs suisses (environ 39 €)
Le maire du village menace de tuer les chiens des mauvais contribuables Agrandir la photo
Il menace d'abattre les animaux dont les maîtres ne voudraient s'acquitter de cet impôt. Pour cela, la municipalité dit se conformer à une loi cantonale datant de...1904.
Suite à la parution de cette nouvelle dans la presse, la commune a bien du mal à trouver des arguments pour se défendre.
"Nous ne voulons pas tuer les chiens, on veut juste récupérer les taxes. Il y a plus de 300 chiens dans la commune", a expliqué le maire adjoint... rapporte Le Matin.
Suite à cette affaire, le maire de Reconvilier reconnait avoir reçu des lettres d'insultes et divers messages.
De son coté, le président de la Protection suisse des animaux a expliqué que l'abattage des animaux n'est plus appliqué car ce n'est plus d'actualité, mais il a ajouté : qu'il "n'hésiterait pas un instant à examiner le dépôt d'une plainte pénale contre les responsables" susceptibles d'abattre les chiens.
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