pas d'ennemi en vue
Devant ce visage lumineux,
Avec cette existence silencieuse,
Un idiome suave si gracieux,
Des mots fredonnent au cœur
Entre ces lignes mélodiques.
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Les étoiles agenouillées
Devant Ta beauté sublime,
La jeunesse de son sourire
Dorée se sépare de corps
A l’oraison de quiétude.
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Tu m’as laissé désirer
Comme le soleil qui à coucher,
Ensevelit dans l’oublie.
Heureusement que le destin
Existe pour l’accuser quand
Nous glissons en chemin.
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Ma dernière illusion c’est de perdre
Mes sentiments avec le temps.
Pense à ton nom ! il signifier
Lumière et amour, étoile.
Tourne toi et se porter en face
À l’horizon et enseignes-toi de lui,
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Regarde vers le sol
Tu verras ta propre ombre,
Si un jour tu es encore peur
Des ombres qui tu menacent
Souviens-toi que l’ombre
N’est jamais loin da la lumière.
Qui t’a dit que les lettres
Ne dansent pas à la mer des sens,
En criant des mots lumineux
Loin de l’espace de vocabulaire.
Et toi tu n’es qu’un trait sur ma page
Effacée par les ondes d’hiver.
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Quand je me suis réveillé,
J’ai que les ténèbres ou tour de moi,
J’ai compris un jour ou l’autre.
La vie nous réveille tous
Au coeur de le obscurité.
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Aujourd’hui je me souviens
De ma première illusion,
C’est d’avouer le petit mot
Que je garde dans mon cœur.
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