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Algérie : le plan quinquennal 2010 – 2014 en chiffre.

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  • Algérie : le plan quinquennal 2010 – 2014 en chiffre.

    Algérie : le plan quinquennal 2010 – 2014 en chiffre.

    Il s’agit du troisième programme d’investissement public engagé par l’Etat Algérien depuis l’année 2001.

    Le nouveau plan quinquennal implique un engagement financier de l’ordre de 286 Milliards de Dollars, soit 21.214 milliard de DA, dont bénéficieront pratiquement tous les secteurs avec un intérêt particulier pour les projets structurants et ceux du secteur économique dont le but fondamental est la réduction de la dépendance des hydrocarbures.

    - 130 Milliards de Dollars pour le parachèvement des anciens projets (rail, routes, eau…)

    - 156 Milliards de Dollars pour les nouveaux projets (11.534 milliards de DA)


    1- Développement humain

    Plus de 40% des ressources pour l’amélioration du développement humain

    5.000 établissements de l’éducation nationale dont:

    - 1.000 collèges,
    - 850 lycées,
    - 600.000 places pédagogiques universitaires,
    - 400.000 places d’hébergements pour les étudiants
    - Plus de 300 établissements de formation et d’enseignements professionnels

    Plus de 1.500 infrastructure de santé dont :

    172 hôpitaux, 45 complexe spécialisés de santé,
    377 polycliniques, 70 établissements spécialisé pour handicapés.

    - 02 million de logements : 1.2 millions seront livrés durant le quinquennat, le reste avant la fin 2014,

    - Raccordement d’un million de foyers au réseau gaz naturel,

    - Alimentation de 220.000 foyers ruraux en électricité,

    - Amélioration de l’alimentation en eau potable : réalisation de 35 barrages, 25 systèmes de transfert d’eau, achèvement de toutes les stations de dessalement de l’eau de mer en chantier,

    - Plus de 5.000 infrastructures pour la jeunesse, dont : 80 stades, 160 salles polyvalentes, 400 piscines, plus de 200 auberge et maisons de jeunes

    - Important programme pour les moudjahidines, affaires religieuses, culture et communication.


    2- Infrastructures de base et structure public

    40% des ressources pour le développement des infrastructures de base et amélioration du secteur public

    3.100 milliards de DA destiné au secteur des travaux publics pour poursuivre l’extension et la modernisation du réseau routier et l’augmentation des capacités portuaires

    2.800 milliard de DA destiné au secteur des transports en vue de moderniser et étendre le réseau de chemin de fer, d’améliorer le transport urbain (tramways à travers 14 villes d’Algérie), et de moderniser les infrastructures aéroportuaires

    Près de 500 milliards de DA pour l’aménagement du territoire et de l’environnement

    Près de 1800 milliards de DA pour l’amélioration des moyens et des prestations des collectivités locales, du secteur judiciaire et des administrations de régulation fiscale, commerciale et du travail.

    1.500 milliards de DA destiné à l’appui au développement de l’économie nationale, avec 1.000 milliards de DA affecté au soutien du développement agricole et rural, mis en route depuis l’année dernière.

    150 milliards de DA destiné à la promotion de la PME à travers la réalisation des zones industrielles, de soutien public à la mise à niveau ainsi que la bonification des crédits bancaire pouvant atteindre 300 milliards de DA

    Plus de 2.000 milliards de DA de crédit bancaire bonifié par l’Etat destiné au développement industriel : réalisation de nouvelles centrales électriques, développement de l’industrie pétrochimique, modernisation des entreprises publiques.

    350 milliards de DA destiné à l’encouragement de la création d’emploi : accompagnement à l’insertion professionnelle des diplômés, soutenir la création de micro-entreprises, financer les emplois d’attentes (objectif : création de 3.000.000 d’emploi)

    250 milliards de DA destiné au développement de l’économie de la connaissance à travers le soutien à la recherche scientifique et de l’usage de l’outil informatique dans tout le système national d’enseignement et dans le service public.

  • #2
    130 Milliards de Dollars pour le parachèvement des anciens projets (rail, routes, eau…)
    Une partie de l'argent détourné par les clans!

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    • #3
      Algérie : le plan quinquennal 2010 – 2014 en chiffre.
      il sera necesssaire d un quatrieme mandat de boutef l iniciateur ,pour le finir
      car comme le premier il sera pas dans les délais

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      • #4
        Une partie de l'argent détourné par les clans!
        ça c'est juste le point de vue d'un defaitiste qui aime voir le mal et le désepoir là où il faut voir éspoir, progrès et developpement.

        il sera necesssaire d un quatrieme mandat de boutef l iniciateur ,pour le finir
        car comme le premier il sera pas dans les délais
        Marroki, on peut se passer de ta perfidie haineuse.

        Commentaire


        • #5
          999999999999
          Dernière modification par Vollens, 16 janvier 2011, 17h30.

          Commentaire


          • #6
            ils ont du travail a faire ,bon succes .

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            • #7
              Inch'Allah, même si entre la théorie et la pratique il y a un monde en Algérie.
              Ya Allah, al Aziz, al Hakim. a7fadh jazair wa al maghareb al kabir

              Commentaire


              • #8
                vollens pourquoi le pouvoir ne veut pas lever l'etat d'urgence et ouvrir le champ audiovisuel ?

                faudrait peut etre commencer par la si on veut évoluer.

                la télé apprendra aux gens a garder nos trottoirs propres, fera découvir les partis de l'opposition ect éduquera les algeriens en qq sorte.

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                • #9
                  Algérie : le plan quinquennal 2010 – 2014 en chiffre.
                  enfin le retour au plan

                  fini les annees du liberalisme sterile et appauvrissant, retour au develloppement !

                  Commentaire


                  • #10
                    fini les annees du liberalisme sterile et appauvrissant, retour au develloppement !
                    L'Algerie contrairement à la Tunisie et au Maroc, n'a pas d'investisseurs etrangers.

                    pourquoi le pouvoir ne veut pas lever l'etat d'urgence et ouvrir le champ audiovisuel ?

                    faudrait peut etre commencer par la si on veut évoluer.

                    la télé apprendra aux gens a garder nos trottoirs propres, fera découvir les partis de l'opposition ect éduquera les algeriens en qq sorte.
                    J'ai pas de réponse à cette question, j'attends avec impatience l'ouverture de l'espace mediatique algerien.

                    ça sera un sacré changement.

                    ça sera la prochaine étape inchallah

                    Commentaire


                    • #11
                      j'attends avec impatience l'ouverture de l'espace mediatique algerien.

                      pour que les barons maffieux import-import (du genre Redrab : journal Liberté...) puissent balancer leur propagande en images !

                      franchement, il y a pas le feu, la maffia ne merite pas de se voir donner des chaines de television en algerie

                      leurs journeaux vendus aux clans les plus offrants font deja assez de degats comme cela

                      ----------------------

                      le plan : voila ce qui est important, pas des chaines privees qui nous mettront de la publicité, des chansons, des debats bidons, des series tele debiles...non stop

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                      • #12
                        investir dans le social c'est très bien...construire des écoles et des hôpitaux va dans le bon sens...cela dit, qu'en est-il de l'investissement productif? l'investissement qui crée de la richesse....je tiens à rappeler que l'Algérie investit chaque année quelque chose de l'ordre de 20% du PIB pour une croissance moyenne de l'ordre de 3%!!!!!!!! vous vous rendez compte!!!....certains economistes parlent dans ce cas d'économie destructrice de richesses....on investit des sommes colossales pour un tout petit résultat.....
                        PS:j'espère qu'en lisant cette intervention khouna vollens ne va pas démarrer au quart de tour comme à son habitude.

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                        • #13
                          Chapichapo....Staline est mort, réveille toi!!

                          C'est quoi cette haine du libéralisme et de la libre entreprise??

                          si tu es communiste, n'oblige pas les gens à subir tes idées.

                          question: Comment font les pays qui ont 100 chaines de télés?? par quel miracle ces pays marchent??

                          Commentaire


                          • #14
                            rodmaroc,c'est ce que je déplore tout le temps.

                            l'algerie a rattrapé son retard niveau infrastructures (sauf pour les ports encore obsolètes)

                            ca sert a rien de continuer d'investir des sommes qu'on ne reverra peut être jamais dans des projets qui ne vont guère nous apporter une production.

                            il fallait commencer par former les jeunes aux métiers dont l'algerie a besoin,inciter a la libre entreprise et choyer ceux qui innovent et exportent.en les montrant comme exemple .créer une émulation en qq sorte.

                            ensuite on repère les entreprises privées qui assurent et on leur confie des projets.
                            on les incite aux partenariats entre elles et avec des étrangères pour les gros chantiers.le temps d'apprendre.

                            et une fois que le secteur privé prend son envol, on sort le gros chèque pour faire profiter a ces entreprises DZ.
                            avec le temps on dépendra plus du pétrole, et le privé représentera la majorité du pib du pays et des emplois.
                            voila la solution ! tout le monde la connait .

                            mais le systeme mafieux en place préfère continuer dans le tout état incompétent en croyant avoir des super champions a l'avenir.
                            alors qu'en 50 ans ces mêmes entreprises étatiques(ensv,air algerie,sonelgaz ect) ont été des gouffres sans fond et bien corrompues et improductives.
                            pourquoi faire confiance a ces m^me personnes au pouvoir depuis 50 ans qui ont échoués en nous sortant un mega plan tous les ans ?
                            ailleurs dans le monde,ces personnes n'auraient plus rien a voir avec la gestion d'un pays.

                            a++

                            Commentaire


                            • #15
                              @vollens

                              crois moi si tu veux, mais les trotskards dans mon genre haïssent Staline, c’est le diable pour nous autres !

                              quant aux télés privées, voila a quoi elles servent en Tunisie (a rien, absolument rien du tout) :

                              L’opposition politique tunisienne ne s’exprime que sur Al Jazeera!
                              17 Janvier 2011
                              «C’est marrant, suffit de s’arranger pour que quelqu’un pige rien à ce qu’on lui dit et on obtient pratiquement tout ce qu’on veut.»
                              J. D. Salinger

                              S’il y a une télévision qui a joué un rôle déterminant dans la révolution du Jasmin en Tunisie c’est bien Al Jazeera. Depuis le début de la contestation, la chaîne qatarie, n’a pas cessé de diffuser les vidéos amateurs des manifestants tunisiens de Sidi Bouzid. Durant au moins un mois, la télévision arabe a ouvert son micro et son antenne à tous les bords de l’opposition tunisienne alors qu’elle n’avait aucun bureau ou correspondant à Tunis.

                              Grâce à l’implication de certains journalistes tunisiens travaillant à Al Jazeera, dont les plus influents sont les vedettes de l’information, les présentateurs de JT Mohamed Krichene et Leïla Chaïeb, Al Jazeera a pu obtenir des contacts avec la majorité des opposants tunisiens qui étaient terrés en Tunisie ou cachés à l’étranger et qui communiquaient rarement avec les médias étrangers de peur d’être embarqués par la police ou expulsés. Ces deux journalistes qui dirigeaient des émissions spéciales depuis le début des événements, n’avaient pas de parti pris personnel sur la ligne éditoriale de la chaîne, en raison de leur origine, ils appliquaient seulement les consignes de liberté d’expression dictées par le premier responsable d’Al Jazeera Cheikh Hamad bin Khalifa Al Thani car le Qatar avait déjà choisi son camp celui de la liberté et la démocratie en Tunisie.
                              Toutes les tentatives de faire taire Al Jazeera sont restées vaines à Tunis, ce qui a conduit le président Ben Ali, à autoriser le 5 janvier, l’organisation d’un débat politique sur Nessma TV sur la situation à Sidi Bouzid, dont le but exclusif était de répondre à la couverture d’Al Jazeera, selon la révélation de la journaliste de la télévision des frères Karoui. Al Jazeera a suivi, minute par minute, les événements en Tunisie à travers son canal Al Jazeera Mobasher, et à travers le réseautage des sciences politiques, elle a donné la parole à tous les conseillers et experts en politique internationale.
                              Après la chute de Ben Ali, les langues se sont déliées sur les autres télévisions tunisiennes comme Nessma TV qui, contrairement à Hannibal TV et TVT, avait opté pour un plateau de débat contradictoire entre des jeunes, des journalistes et des militants des droits de l’homme. Mais curieusement, malgré ce vent de liberté, les leaders politiques et d’opinion tunisiens ne sont pas encore invités par les télévisions tunisiennes privées et publiques pour exprimer leur avis. Ainsi, ces leaders politiques qui sont par la même occasion candidats à la succession de Ben Ali, à l’image du patron du CPR Moncef Marzouki, du Parti communiste tunisien Hamma Hammani et surtout du mouvement Ennahda Rasheed Ghannouchi, ne se sont pas encore exprimés sur Nessma TV, Hannibal ou encore TVT. Seule Al Jazeera a réussi à accueillir ses personnes sur son plateau ou les faire intervenir par téléphone. Visiblement, la peur du système est toujours présente et les télévisions tunisiennes privées ou publiques ne veulent pas prendre position pour tel ou tel leader d’opposition.


                              http://www.lexpressiondz.com/chron/2...17/3/3808.html

                              a bon entendeur

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