Quelques centaines de personnes manifestaient lundi 17 janvier dans la matinée dans le centre de Tunis pour exiger l'abolition du parti du président déchu Zine el Abidine Ben Ali, la Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD), ont rapporté des journalistes de l'AFP.
Des policiers anti-émeutes tentaient de disperser ces manifestants en les aspergeant d'eau. "La révolution continue! RCD dehors!", criaient les manifestants réunis en deux groupes sur l'avenue Habib Bourguiba, l'un devant le théâtre municipal de Tunis, l'autre devant l'ambassade de France.
Cette manifestation s'est produite alors qu'on attendait dans la journée l'annonce d'un gouvernement de transition où pourraient notamment figurer des membres de l'ancien gouvernement du président Zine el Abidine Ben Ali, ayant un profil technocratique.
"On ne veut personne du RCD dans le futur gouvernement, y compris le Premier ministre" actuel, Mohammed Ghannouchi, a déclaré à l'AFP un manifestant.
"Avec notre sang et notre âme, nous sommes prêts à mourir pour les martyrs", criaient encore les manifestants, en référence aux dizaines de Tunisiens tués dans la répression de la révolte populaire d'un mois qui a provoqué la chute du régime autocratique du président Ben Ali qui a fui vendredi en Arabie Saoudite.
El Watan avec AFP
Des policiers anti-émeutes tentaient de disperser ces manifestants en les aspergeant d'eau. "La révolution continue! RCD dehors!", criaient les manifestants réunis en deux groupes sur l'avenue Habib Bourguiba, l'un devant le théâtre municipal de Tunis, l'autre devant l'ambassade de France.
Cette manifestation s'est produite alors qu'on attendait dans la journée l'annonce d'un gouvernement de transition où pourraient notamment figurer des membres de l'ancien gouvernement du président Zine el Abidine Ben Ali, ayant un profil technocratique.
"On ne veut personne du RCD dans le futur gouvernement, y compris le Premier ministre" actuel, Mohammed Ghannouchi, a déclaré à l'AFP un manifestant.
"Avec notre sang et notre âme, nous sommes prêts à mourir pour les martyrs", criaient encore les manifestants, en référence aux dizaines de Tunisiens tués dans la répression de la révolte populaire d'un mois qui a provoqué la chute du régime autocratique du président Ben Ali qui a fui vendredi en Arabie Saoudite.
El Watan avec AFP
Commentaire