Le 12 décembre dernier, le ministre tunisien de la Défense, Ridah Grira, arrivait à Alger pour une visite de 5 jours. Durant son séjour en Algérie, M. Grira a été reçu comme un chef d’Etat. Il s’est surtout longuement entretenu avec les hauts responsables de l’armée algérienne, y compris ceux du DRS.
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L’Algérie a-t-elle donné son aval à l’armée tunisienne pour évincer Ben Ali ?
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El moumen yesbeq f-rouhou
Oh il me semble que là on prête un peu trop d'importance au MDN algérien ! Il faut plutôt regarder vers la rive nord de la méditerranée
../..“La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf
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Peut etre pas son aval... mais on peut imaginer que lors de cette visite l'armée tunisienne ait demandé à son homologue algerienne de ne pas intervenir quoi qu'il se passe en Tunisie dans les semaines qui allaient venir.Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
"L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants." Thomas Mann
Cette citation me vient de mon cousin chaoui Adhrhar
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L’Algérie a-t-elle donné son aval à l’armée tunisienne pour évincer Ben Ali ?
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Euh, l'armée avait soutenu le soulevement du peuple.
Si l'armée n'avait pas soutenu le soulevement, ça aurait fini dans un gros bain de sang.
Souvenez vous des soulevements autours de Gafsa il y'a à peine 2 ans.«Ceux qui sont infidèles connaissent les plaisirs de l’amour ; ceux qui sont fidèles en connaissent les tragédies..» Oscar Wilde
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Il a eu ce qu'il méritait
http://www.algerie-dz.com/forums/showthread.php?t=189763
"Les Algériens doivent accepter le fait qu'il n'y aura pas un Etat indépendant au Sahara occidental". La Sentence prononcée par le président Tunisien tombe comme un couperet. Pour Ben Ali, l'Algérie est la principale responsable du blocage au Maghreb.
Les confidences de Zine el-Abidine Ben Ali à David Welch, sous-secrétaire d'Etat américain chargé des affaires du Proche-Orient et de l'Afrique du Nord, sont troublantes. Selon un câble diplomatique américain classé secret, et qui date du 3 mars 2008, le président Tunisien accuse l'Algérie de bloquer tous les progrès dans la région du Maghreb à cause de sa position sur le conflit du Sahara Occidentale.
Pour Ben Ali, ce conflit délicat ne peut pas "être réglé par le Conseil de sécurité des Nations unies". D'ailleurs, ce mémo nous fait savoir que "la Tunisie avait essayé de convoquer une réunion des Chefs d'Etats du Maghreb à ce sujet à Tunis". Et "alors que le Maroc et la Libye avaient accepté de participer, l'Algérie a refusé prétextant qu'il n'y avait rien à discuter", confie Ben Ali à à David Welch lors d'une entrevue organisée le 28 février 2008 à Tunis.
Ben Ali s'est montré également très inquiet sur les évolutions politiques au Maghreb. En effet, selon ce télégramme obtenu par Wikileaks, le président Tunisien a confié aux américains ses angoisses sur la montée de l'islamisme en Egypte et au Maroc. "L'extrémisme est un problème réel et croissant. Et le Maroc est au début de ce problème" confie-t-il. Concernant l'Egypte, Ben Ali croit savoir que les "frères musulmans" prendront tôt ou tard le pouvoir au Caire.
Quant à l'Algérie, le président tunisien a relevé que le pays se porte nettement "mieux" et l'islamisme radical ne représente pas un aussi grand danger comme par le passé.
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@Arazi : Quoi ? Une armée arabe pour maintenir l'ordre ?
Faut surtout pas qu'ils fassent quoi que ce soit, qu'ils restent chez eux.
Les arabes ne savent que foutre le bordel, ou attaquer leurs frères (l'Irak).«Ceux qui sont infidèles connaissent les plaisirs de l’amour ; ceux qui sont fidèles en connaissent les tragédies..» Oscar Wilde
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