Exil
Imaginaire abscons
Sourire de coin, quadrillé
Larmes a l'unisson
Écrasé dans le cendrier.
Les fleurs se tache de lumière
Comme la nuit est lente
A pénétré la chaire
Fière, lumineuse...Absente
Comme l'iris figé vers l'éternel
Ne contemplant rien de mieux
Qu'une âme perdue dans le ciel
Dans l'absolu d'un adieu
Chemins de Lys, raisonnable et gai
L'arrière saison a peine dévoilée
Tel un fruit aux épluchures sacré
Les chimères ont tout dévoré.
J'ai croisé, il y a quelques lieues
Ces hommes au regard brisé
Aux matrices...au sombre dévoué
Regrettant de ne pas croire en Dieu
Ô Montages de jours décédés
Années de mille jours, de Milan
En Italie sanctifié, dévergondé
Heureusement, il reste les enfants
Vos armes n'ont jamais servi a produire
Le papier, l'aluminium, juste le pire
Le jus de leurs veines...
Fleurirons, a jamais les fruits de la haine
Toutes les médailles, le décorum
Les bataillons en rangés bien droites
Les soldats inconnus, les tombes moites
Ne sont célébré que dans les funérarium
Vos wagons, transportant l'ennui
Flotte sur les gencives de Satan
Ici et les Fellagas, armés, ébloui
L'odeur du martyr, enturbanné de blanc
Vos cous, on tout des lâches
Vos conscience on moisi, comme le vin
Se coiffant sur le reflet de la hache
La pudeur humide d'une antique catin
J'irais-Demain-chérir "L'homme"
Qui pris l'enfant par la main fragile
Qu'il prouva que dans la somme
Existe, terriblement, un magnifique...
Exil
Imaginaire abscons
Sourire de coin, quadrillé
Larmes a l'unisson
Écrasé dans le cendrier.
Les fleurs se tache de lumière
Comme la nuit est lente
A pénétré la chaire
Fière, lumineuse...Absente
Comme l'iris figé vers l'éternel
Ne contemplant rien de mieux
Qu'une âme perdue dans le ciel
Dans l'absolu d'un adieu
Chemins de Lys, raisonnable et gai
L'arrière saison a peine dévoilée
Tel un fruit aux épluchures sacré
Les chimères ont tout dévoré.
J'ai croisé, il y a quelques lieues
Ces hommes au regard brisé
Aux matrices...au sombre dévoué
Regrettant de ne pas croire en Dieu
Ô Montages de jours décédés
Années de mille jours, de Milan
En Italie sanctifié, dévergondé
Heureusement, il reste les enfants
Vos armes n'ont jamais servi a produire
Le papier, l'aluminium, juste le pire
Le jus de leurs veines...
Fleurirons, a jamais les fruits de la haine
Toutes les médailles, le décorum
Les bataillons en rangés bien droites
Les soldats inconnus, les tombes moites
Ne sont célébré que dans les funérarium
Vos wagons, transportant l'ennui
Flotte sur les gencives de Satan
Ici et les Fellagas, armés, ébloui
L'odeur du martyr, enturbanné de blanc
Vos cous, on tout des lâches
Vos conscience on moisi, comme le vin
Se coiffant sur le reflet de la hache
La pudeur humide d'une antique catin
J'irais-Demain-chérir "L'homme"
Qui pris l'enfant par la main fragile
Qu'il prouva que dans la somme
Existe, terriblement, un magnifique...
Exil