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le groupe maroc va investir en midle east.

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  • le groupe maroc va investir en midle east.

    le groupe marocain et en negociation avec des pays du golf, le debut c'est a Bahrein ou les discutions pour lancer une verssion francaise sur place, il parle d'un objectif de 500 000 nouveau lecteur.

    Maroc Soir' to expand in the Gulf


    Morocco's leading publishing group will invest for the first time in the Gulf. Moroccan daily Le Matin will have a Gulf edition, the newspaper announced. Othman al-Omeir, the Saudi president of publishing group Maroc Soir, has reportedly met the king of Bahrain Hamad al-Khalifa to discuss the editorial plan. The daily reported that the project aims to initially attract 500 thousand readers, the number of francophone residents in the Gulf.

    After the meeting, the king of Bahrain gave instructions to the information ministry to "facilitate the publication in Manama of the francophone daily," the paper reported on Monday.

    Othman al-Omeir, a former journalist who used to publish the London-based al-Sharq al-Awsat, an Arabic language daily, bought the group in 2004 for 150 million dirham (over 13 million euros).

    The publishing group owns French language daily Le Matin, Arab language paper Assahra al-Maghribiya and Spanish daily La Manana, as well as internet paper Morocco Times, published in English. Maroc Soir was the last paper thus far opened by the group, in November 2005.

  • #2
    QUI INVESTIT QUOI et OU ?????

    Bonjour Auscasa


    le Saoudien Othman El Omeir, propriétaire du portail el***.com a rachete le groupe Maroc Soir, entre autres éditeur des titres Le matin et Assahra mais aussi propriétaire des imprimeries du même nom (Maroc Soir), a, Othman Benjelloun (BMCE) avait déjà annoncé sa volonté de se retirer du secteur de la presse et de recentrer l’activité de son groupe autour de ses métiers de base, à savoir les banques et l’assurance.

    En lancant un titre au bahrein signifie - t il que le maroc investit au golf ???

    Moi, je crois que c'est le contraire qui s'est produit.
    Dernière modification par wang kai, 07 avril 2006, 09h49.

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    • #3
      je comprend pas bien ce que tu veus dire, mais bon d'apres ce que je sais c'est que le groupe maroc soire il est marocain ni le matin ni maroc soire.... bon tous les journaux du groupe ne sont international.

      pour ce qui est de l'investisseur il est saoudien si je me rappele bien il a paye 15 million $ pour les actions de la BMCE, d'apres ton raisonement ce groupe n'est pas marocain? et maroc telecom n'est pas marocain./..... si tu peus me clarifier un peus

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      • #4
        Bonjour AUSCASA,

        Justement, je te demande de m'eclairer car par ailleurs, Le groupe a ete cede a Othman a 1 DH symbolique sur la base d’une dérogation accordée par le Premier ministre marocain, l’investisseur saoudien a repris la totalité des actions cédées par Othman Benjelloun. Sa société Word Média, créée pour la circonstance, doit investir prochainement environ 125 millions de dirhams pour la “mise à niveau" du groupe. Word média devrait également apurer le lourd passif de Maroc Soir, toujours endetté, non seulement à l’égard de la Caisse nationale de la sécurité sociale et les services fiscaux, mais également vis-à-vis de plusieurs de ses fournisseurs. Ce passif date essentiellement de la période antérieure à la prise en main du groupe par Othman Benjelloun et avant que sa gestion ne soit confiée à Hicham Senoussi.
        Par ailleurs, le code de l'information marocain ne permet pas a un etranger d'etre majoritaire dans un organe d'information.

        Peut tu m'eclairer s'il te plait ?
        (sans agressivite , please......on discute )
        Dernière modification par wang kai, 07 avril 2006, 11h53.

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        • #5
          ok mon vieux le matin c'est un journal saoudien t'es content maintenant les bureaux du journal sont au riyad et les autres journaux du groupe aussi.


          alors ici dans les fameuses interview de telquel le mec a dit qu'il a investi 140 million de DH, qui est 15 m $.
          http://www.telquel-online.com/158/in...oire_158.shtml

          pour le reste c'est a toi de voire, mais la prochainne foix ne me dit plus que le matin c'est un journal du palais

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          • #6
            Je vois que tu as change de ton et de language et surtout que ton francais s'est par miracle ameliore.
            Je ne t'en veux pas auscasa, je sais que tu es super gentil.

            Maintenant ecoutes moi ma vieille.....(je m'adresse a toi, celle qui ecrit effectivement), Je suis maintenant persuade que le journal le matin ne peut etre que la propriete du MAKHZEN.

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            • #7
              un article pour les details

              Il a justifié cette volonté par le fait que “ce siècle est celui de la globalisation et de la pérennité des grandes entreprises. Il est nécessaire pour cela de rompre avec la concentration du capital entre les mains d'un seul actionnaire”.
              M. El Omeir a précisé que suite à cette réflexion, “Il est apparu comme nécessaire de développer et d'améliorer la rentabilité des imprimeries existantes et d'accroître le niveau de compétences dans l'ensemble de la chaîne de production de l'édition”. “Nous avons pu régler le problème de l'imprimerie Sonir qui appartenait à un groupe français à hauteur de 30%.

              Nous avons acheté ces parts pour que la Sonir devienne propriété à 100% du groupe”.
              Othman El Omeir a également souligné qu'au moment de son acquisition du groupe de presse aux multiples journaux, “Le Matin du Sahara”, “Assahra Al Maghribiya”, “La Manãna” et le portail d'information anglophone “Morocco Times”, “je me suis engagé à injecter la somme de 150 millions de DH”, a-t-il précisé.

              Un investissement de 7 millions d'euros a été réalisé dans une nouvelle imprimerie, à l'avant-garde en Afrique, dotée d'une technologie de pointe. Celle-ci est opérationnelle aujourd'hui. Dans ce cadre, il a appelé les éditeurs marocains à la création d'imprimeries régionales, qui, selon lui, " est le seul moyen d'améliorer la rentabilité et d'augmenter le lectorat". Il s'agit de la délocalisation de l'impression des journaux du groupe en installant dans certaines régions du Royaume des imprimeries locales capables de réaliser des tirages importants.

              Selon lui, la presse marocaine souffre, à la fois au niveau local et international, du problème de la distribution. Autrement dit, " depuis une quinzaine d'années, il est sans cesse répété que le volet distribution des journaux marocains ne dépasse pas 300.000 exemplaires, alors que ce chiffre a besoin d'être réévalué ".
              Sur ce sujet, M. El Omeir a indiqué que le groupe, après avoir mis en veilleuse sa propre société de diffusion, a réparti la distribution de ses journaux sur les deux sociétés qui composent ce secteur : Sapress et Sochepress. Il s'est déclaré très optimiste sur le rôle que jouera la presse marocaine dans les cinq prochaines années, à condition qu'elle bénéficie d'une plate-forme convenable et une action entrepreneuriale efficace.

              Concernant la restructuration du quotidien arabophone "Assahra Al Maghribiya", le PDG de Maroc Soir a confié que " ce journal a eu dans le passé surtout besoin d'une nouvelle équipe rédactionnelle, capable de proposer un meilleur contenu. Aujourd'hui, c'est chose faite et les derniers changements ont permis à ce journal de devenir ce qu'il est". Par ailleurs, en annonçant la parution, le jeudi 10 novembre, du quotidien francophone "Maroc Soir", M. El Omeir a précisé qu'elle va de pair avec les ambitions du groupe qui cherche à communiquer aussi avec la génération de l'Internet et du numérique.

              Il a précisé d'ailleurs qu' "il est très difficile de concevoir que le groupe porte le nom d'une publication qui n'a aucune existence." De même, j'ai senti que le Maroc avait besoin d'un quotidien francophone supplémentaire qui vise un autre lectorat, pas celui de " l'Economiste ", du " Matin " ou autre, mais une autre génération de Marocains appartenant à la classe moyenne et qui a de nouvelles attentes". Pour ce qui est de la ligne éditoriale du groupe Maroc Soir, M. Omeir a souligné qu'il n'était pas question de la changer tant qu'il reste le premier groupe de presse au Maghreb et l'une des plus anciennes entreprises de presse dans le monde arabe, juste après la presse libanaise et égyptienne.

              En évoquant la situation de son journal numérique " Elaph " et de son éventuel passage à la presse écrite, le Président du groupe a rappelé que ce projet n'est pas d'actualité, pour le moment. Il a ajouté que "ce genre de projet demande un investissement important et une étude approfondie, avant sa concrétisation". Pour ce qui est des relations maroco-saoudiennes, M. El Omeir a tenu à préciser qu'elles sont au beau fixe. "La preuve est que les dirigeants et les responsables des deux Royaumes continuent de communiquer sur différents sujets de l'actualité.

              Certains journalistes ont exagéré en parlant de refroidissement ou de changement dans ces relations. Chose que je n'ai pas notée lors de mes entretiens avec les responsables des deux pays ."

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              • #8
                mon ami je n'ai fais qu'apporter l'information tel qu'il est .

                c'est simple j'ai dis que le groupe marocain et pas le maroc. de toutes facon le matin c'est un journal marocain et les autres d'ailleur si il y a un autre proprietere etranger sa change rien.

                les journaux traites les sujets marocains et ce vend au maroc alors je voie pas pourkoi l'apeler autre chose.

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                • #9
                  J'ai pu au cours de mes voyages rencontrer une journaliste du Matin du Sahara (Regay Narjis), elle ne pouvait m'expliquer ce detail malheureusement et par consequent toi non plus.

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                  • #10
                    Pour rendre hommage a Narjis qui est a elle seule une ecole concernant la desinformation. Je citerai sa technique journaliste en reproduisant a peu pret ce qu'elle a ecris un jour :
                    Un premier journal balance l’information sans s’embarrasser de la règle déontologique de la source, un autre, dont la source devient le journal-émeteur, la reprend et ainsi de suite jusqu’à ce que l’impérative vérification de l’origine du « scoop » se perde dans la brume des reprises.

                    Dans le cas du « comité des officiers libres » marocains,c’est encore plus flagrant. Ce sont les mêmes journalistes, les mêmes journaux étrangers, les mêmes connexions, les mêmes caisses de résonance à l’intérieur affectés à la manœuvre, qui à l’abri justement des espaces de libertés acquis ou conquis, mènent la cabale avec, comme au volley, un serveur à la base et un smasheur au filet.Eculé mais apparemment efficace.

                    La technique aussi est identique : avancer régulièrement ce qui est supposé déstabiliser et écrire toujours ce qui est sensé blesser. Mêler le domaine stratégique et le champ affectif, l’armée Royale et le père du Roi. Le premier pour distiller le doute, susciter les craintes, le second pour faire mal en vue d’énerver afin de conduire au seuil de tolérance avec le dessein sournois de pousser à la faute et contraindre au retour en arrière. Car de tous les scénarii échafaudés , il n’y aurait pour le Maroc que le cahos algérien et son cortège de morts, ou le système turc, un pouvoir civile sous haute surveillance militaire. Que le Royaume puisse développer son propre modèle basé sur une forte monarchie constitutionnelle et démocratique, semble à leurs yeux impensable. Comme ceux qui confondent vessies et lanternes, ils continuent à prendre leurs vues de l’esprit pour de la science infuse.

                    J'ai beaucoup appris de Narjis.

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