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MOSCOU, 19 janvier - RIA Novosti
Dès 2020, un cinquième de la population mondiale sera confronté à la faim en raison du réchauffement climatique, lit-on dans un rapport du Fonds pour l'environnement mondial publié mercredi.
Selon les experts du Fonds, le réchauffement de la planète provoquera une baisse de la production alimentaire dans la plupart des pays du monde à l'horizon 2020, tandis que la population mondiale augmentera de 900 millions de personnes au minimum pour s'établir à 7,8 milliards de personnes.
La pénurie alimentaire sera causée principalement par le changement de température et par la dégradation de l'accès à l'eau potable. La chute des récoltes dans plusieurs pays due aux changements climatiques entraînera à son tour une baisse de la production de blé, de riz et de maïs. 35% de toutes les céréales étant destinées à l'alimentation du bétail, les analystes s'attendent également à un déficit de viande.
"L'inertie humaine sur les questions liées au changement climatique pourrait coûter très cher", a déclaré une des auteurs du rapport Liliana Hisas. "Il s'agit non seulement des générations à venir, mais aussi de nos contemporains".
Dans ce contexte, les efforts déployés afin de réduire les émissions de CO2 dans l'atmosphère sont considérés par les experts comme les mesures les plus importantes en la matière.
Dès 2020, un cinquième de la population mondiale sera confronté à la faim en raison du réchauffement climatique, lit-on dans un rapport du Fonds pour l'environnement mondial publié mercredi.
Selon les experts du Fonds, le réchauffement de la planète provoquera une baisse de la production alimentaire dans la plupart des pays du monde à l'horizon 2020, tandis que la population mondiale augmentera de 900 millions de personnes au minimum pour s'établir à 7,8 milliards de personnes.
La pénurie alimentaire sera causée principalement par le changement de température et par la dégradation de l'accès à l'eau potable. La chute des récoltes dans plusieurs pays due aux changements climatiques entraînera à son tour une baisse de la production de blé, de riz et de maïs. 35% de toutes les céréales étant destinées à l'alimentation du bétail, les analystes s'attendent également à un déficit de viande.
"L'inertie humaine sur les questions liées au changement climatique pourrait coûter très cher", a déclaré une des auteurs du rapport Liliana Hisas. "Il s'agit non seulement des générations à venir, mais aussi de nos contemporains".
Dans ce contexte, les efforts déployés afin de réduire les émissions de CO2 dans l'atmosphère sont considérés par les experts comme les mesures les plus importantes en la matière.
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