Le peuple tunisien va-t-il pouvoir rompre avec le régime Ben Ali ? La révolte du jasmin sera-t-elle couronnée d’une révolution ?
Tout porte à croire que les jours à venir seront cruciaux pour le peuple tunisien. Ses organisations socio-politiques sauront-elle traduire ses aspirations légitimes en une dynamique de libération ? Ou bien se contenteront-elles, pour l’essentiel, de surfer sur la vague de flatterie initiée par les milieux médiatico-politique occidentaux ?
Tout dépendra de la capacité des forces démocratiques les plus radicales à faire jonction avec le formidable mouvement populaire qui a fait dégager Ben Ali. La nature, la profondeur, l’orientation et l’importance du processus de changement en dépendra.
Notre expérience en Algérie montre bien que la spontanéité ne suffit pas pour fonder le changement. Avril 80, Octobre 88 ; Avril 2001, les multiples soubresauts sporadiques, malgré l’abnégation et l’esprit de sacrifice de citoyens et de militants démocrates, n’ont pu ébranler la bureaucratie rentière qui s’impose à notre pays et à notre peuple. Alors qu’a contrario de la division des forces démocratiques, l’unité de la nébuleuse islamiste, a placé la réaction et le conservatisme en position d’infléchir l’orientation historique de l’Algérie ; et de noyauter son Etat.
Les évènements de ce début d’année 2011 mettent en évidence des possibles de déflagrations dans chacun des pays de la rive sud de la méditerranée. Sans qu’il ne soit dit que leurs survenus s’inscrivent forcement dans la limites des frontières étatiques. L’évolution de la révolte du jasmin retiendra l’attention de tous les militants de la démocratie, de la liberté et des droits de l’homme. Gageons que son évolution en révolution les galvanisera pour redoubler d’effort pour se hisser à un niveau d’unité, de conscience et mobilisation à même d’ouvrir des perspectives de progrès à nos peuples.
En Algérie, l’initiative du rassemblement pour la culture et la démocratie peut potentiellement ouvrir sur un sursaut des forces du changement démocratique. Il faut pour le moins l’espérer.
Tout porte à croire que les jours à venir seront cruciaux pour le peuple tunisien. Ses organisations socio-politiques sauront-elle traduire ses aspirations légitimes en une dynamique de libération ? Ou bien se contenteront-elles, pour l’essentiel, de surfer sur la vague de flatterie initiée par les milieux médiatico-politique occidentaux ?
Tout dépendra de la capacité des forces démocratiques les plus radicales à faire jonction avec le formidable mouvement populaire qui a fait dégager Ben Ali. La nature, la profondeur, l’orientation et l’importance du processus de changement en dépendra.
Notre expérience en Algérie montre bien que la spontanéité ne suffit pas pour fonder le changement. Avril 80, Octobre 88 ; Avril 2001, les multiples soubresauts sporadiques, malgré l’abnégation et l’esprit de sacrifice de citoyens et de militants démocrates, n’ont pu ébranler la bureaucratie rentière qui s’impose à notre pays et à notre peuple. Alors qu’a contrario de la division des forces démocratiques, l’unité de la nébuleuse islamiste, a placé la réaction et le conservatisme en position d’infléchir l’orientation historique de l’Algérie ; et de noyauter son Etat.
Les évènements de ce début d’année 2011 mettent en évidence des possibles de déflagrations dans chacun des pays de la rive sud de la méditerranée. Sans qu’il ne soit dit que leurs survenus s’inscrivent forcement dans la limites des frontières étatiques. L’évolution de la révolte du jasmin retiendra l’attention de tous les militants de la démocratie, de la liberté et des droits de l’homme. Gageons que son évolution en révolution les galvanisera pour redoubler d’effort pour se hisser à un niveau d’unité, de conscience et mobilisation à même d’ouvrir des perspectives de progrès à nos peuples.
En Algérie, l’initiative du rassemblement pour la culture et la démocratie peut potentiellement ouvrir sur un sursaut des forces du changement démocratique. Il faut pour le moins l’espérer.
Commentaire