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Benbitour : Huit défis pour reprendre le chemin du développement

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  • Benbitour : Huit défis pour reprendre le chemin du développement

    Huit défis pour reprendre le chemin du développement
    Le défi de gouvernance




    Il s’agit de prévenir la dérive de l’état de sa situation actuelle de défaillance vers la déliquescence. L’état algérien est défaillant, ce qui se manifeste par cinq facteurs: (I) l’absence de l’état de droit : la justice est au service du pouvoir, d’où l’expression de “HOGRA” et le phénomène des “HARRAGA”, (II) l’absence de l’état régalien: à savoir, l’incapacité de l’administration à exercer ses prérogatives de puissance publique, il y a absence de l’état et le sentiment que le pays est à l’abandon, (III) l’économie défaillante : cycle de mauvaise croissance et de récession, pays exportateur de richesse et importateur de pauvreté, économie de rente distributive au lieu d’économie productive (IV) l’absence de légitimité de l’état : les institutions officielles souffrent de manque de représentativité, faible taux de participation aux élections, fraude électorale, l’efficacité des acteurs de la société civile dépend de leur proximité des figures importantes du régime, vide institutionnel et dilution des responsabilités, une opposition émiettée, (V) la fragilisation de la société : la destruction des classes moyennes, la paupérisation des populations, la perte de la morale collective, la déprime est partout, la pauvreté et la mal vie se côtoient.


    Lorsque la population n’a d’autres moyens d’exprimer son mécontentement que par la violence, l’état défaillant dérive vers l’état déliquescent. D’autant plus certainement, qu’il y a perte de morale collective dans la société et absence de capacité régalienne de l’administration.


    Nous le constatons aujourd’hui, l’état est déjà engagé dans la déliquescence, puisqu’après plusieurs jours de violence, de destruction de biens publics et privés, de blessés et de morts, aucune institution n’a été capable de réagir positivement, s’installant dans un autisme et un silence ravageurs.


    L’Etat déliquescent qui se caractérise par : la généralisation de la corruption ; l’institutionnalisation de l’ignorance et de l’inertie ; le culte de la personnalité ; la centralisation du pouvoir de décision entre un nombre réduit d’individus au lieu et place des institutions habilitées ; l’émiettement du pouvoir entre les différents clans à l’intérieur du système.


    Le sentier de la déliquescence de l’Etat est prévisible et même visible. Il suit celui de l’amenuisement de la rente et l’augmentation de l’appétit des prédateurs.


    L’amenuisement de la rente est inscrit dans la politique aventureuse d’exploitation des hydrocarbures.En effet, nous enregistrons une exploitation irresponsable de nos ressources non renouvelables. J’avais déjà signalé à des occasions précédentes que l’économie algérienne se spécialisait dans la transformation d’une réserve non renouvelable (les hydrocarbures) en une réserve volatile (les devises déposées à l’étranger). Comme le confirment les publications officielles des autorités compétentes : sur 59,61 milliards de dollars, de recettes d’exportation des hydrocarbures en 2007 ; 28,27 Milliards de dollars sont allés gonfler un niveau de réserves en devises déjà très élevé. Autrement dit, 47,42 % des exportations ont été réalisées, sans aucun intérêt pour l’Algérie et au détriment des générations futures. D’où la surexploitation des gisements et le chemin de l’amenuisement.


    En 2008, les chiffres étaient respectivement 77,19 milliards de dollars et 36,53 milliards de dollars, soit 47,32%.


    Il est aisé de le constater ; il y a là, une politique aventureuse de surexploitation des réserves d’hydrocarbures au détriment des générations futures !


    Le chemin de l’augmentation de l’appétit des prédateurs suit celui de la corruption.


    Les groupes qui dominent le pouvoir se nourrissent de la prédation sous forme d’accumulation de devises à travers les programmes d’importations, et d’accumulation de dinars à travers les dépenses d’équipement du budget de l’état ainsi que les prêts bancaires. Ce sont donc, ceux qui profitent de la corruption du pouvoir (autoritarisme et patrimonialisme) et ceux qui profitent de la corruption de l’argent (rente et prédation). D’où le chemin vers la déliquescence de l’état. La dérive est lente parce que l’état défaillant se maintient par la rente et la prédation. Mais la rente se rétrécira lorsqu’il ne sera plus possible d’exporter assez de pétrole et de gaz pour la nourrir.


    Le pays persistera, alors, dans la situation de non gouvernance avec la forte probabilité de vivre en même temps la violence sociale et la violence terroriste. C’est alors la trappe de misère permanente et la porte ouverte à la dislocation de l’unité nationale et le danger sur l’unité du territoire. Dans le cas de l’Algérie, et dans l’état actuel des choses, cela interviendra avec la baisse sensible des capacités d’exportations d’hydrocarbures que je situe entre 2018 et 2020. Mais avec le mélange détonnant de pauvreté, de corruption généralisée et de perte de la morale collective, elle peut intervenir à n’importe quel moment. La Somalie, l’Irak, et le Libéria d’il y a quelques années en sont une illustration. Pour inverser cette tendance, il faut que l’Algérie mette d’urgence en place un système de gouvernance dans lequel, les citoyens puissent s’exprimer et sanctionner, c’est-à-dire où les citoyens ont les moyens d’exiger des comptes de la part de leurs gouvernants et d’en recevoir effectivement. J’ai lancé en 2010 l’idée des cercles d’initiative citoyenne où les Algériens s’impliquent dans la réflexion et l’action pour favoriser un changement pacifique. L’année 2011 verra, je l’espère, tous les citoyens algériens prendre conscience que notre salut en tant qu’état et nation ne peut venir que d’un système démocratique et d’une forte participation citoyenne aux prises de décision, à tous les niveaux. Je viens de lancer un appel pour le rassemblement des forces du changement pour la réalisation de cet objectif.


    à jeudi prochain pour l’exposé d’un autre défi. Entre temps débattons sur les meilleurs moyens d’avancer vers un avenir de progrès et de prospérité pour tous les algériens.


    à la tentation du pessimisme opposons la nécessité de l’optimisme !

    Liberté 20 Janvier 2010
    Si tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs

  • #2
    Zid Zid, encore des exposés qu'on voit ce que tu comptes faire Mr Benbitour, les chiffres on les connait et c'est vrai qu'il y a urgence. Il faut rassembler les forces qui veulent cet objectif.

    Même si l'Algérie a des ennemis intérieurs qu'on verra bientôt débouler......

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    • #3
      Il oublie juste de dire que le pouvoir repose sur de nombreux piliers, comment les défaire sans que l'édifice tombe sur la tête des algériens qui risquent alors d'être ensevelis vivants sous les décombres ?

      Comment rebâtir l'édifice sans l'usage des décombres ?

      De toute façon c'est ce qui est vendu par le pouvoir, et surtout par Bouteflika.

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      • #4
        trop intelo pour que ça soit efficace , c'est mort-née ..........ça aurai était plus judicieux de dire qi'il allait récupérer tous les bien et toutes les richesses spolié a l'algerie pour les redonner ou redistribué a tous les citoyen .......ça veut rien dire est c'est sur tous infaisable , mais "el ghachi " adore
        tu tombe je tombe car mane e mane
        après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

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        • #5
          Il s’agit de prévenir la dérive de l’état de sa situation actuelle de défaillance vers la déliquescence. L’état algérien est défaillant, ce qui se manifeste par cinq facteurs: (I) l’absence de l’état de droit : la justice est au service du pouvoir, d’où l’expression de “HOGRA” et le phénomène des “HARRAGA”, (II) l’absence de l’état régalien: à savoir, l’incapacité de l’administration à exercer ses prérogatives de puissance publique, il y a absence de l’état et le sentiment que le pays est à l’abandon, (III) l’économie défaillante : cycle de mauvaise croissance et de récession, pays exportateur de richesse et importateur de pauvreté, économie de rente distributive au lieu d’économie productive (IV) l’absence de légitimité de l’état : les institutions officielles souffrent de manque de représentativité, faible taux de participation aux élections, fraude électorale, l’efficacité des acteurs de la société civile dépend de leur proximité des figures importantes du régime, vide institutionnel et dilution des responsabilités, une opposition émiettée, (V) la fragilisation de la société : la destruction des classes moyennes, la paupérisation des populations, la perte de la morale collective, la déprime est partout, la pauvreté et la mal vie se côtoient.
          un constat amère mais tellement réaliste ... hier soir avant de de fermer les yeux j'ai pensé au 2eme point à savoir l'incapacité de notre administration de faire respecter l'ordre ... de grosses têtes doivent tomber (à défaut de faire tomber tout le système) ...

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          • #6
            Benbitour !
            1991-1992 : Chargé de mission à la Présidence de la République.
            1992-1993 : Ministre délégué au trésor.
            1993-1994 : Ministre de l'énergie.
            1994-1996 : Ministre des Finances.
            1998-1999 : Sénateur au Conseil de la Nation.
            23 décembre 1999 : Chef du Gouvernement.
            26 août 2000 : il démissionne ou plutôt on le fait démissionner.


            C'est à dire durant la décennie rouge des pouvoirs occultes, au summum de la Françafrique, au top de la corruption et des surfacturations (au dela de 40 et 50 %), lui il était là présent !!!!!!


            Mais ma parole c'est l'enfant du système par excellence, c'est un Ouyahia bis. Aujourd'hui a t-il mission de maquiller ce même système par des truchements économiques ??????
            وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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            • #7
              Avec un CV pareil , plus d'une dizaine d'années au coeur du pouvoir algerien , il ose parler de " systeme " !!! A moins qu'il ne savait pas qu'il en etait un pillier ! et pourtant c'est ca la verite , tant qu'ils sont en fonction , ils sont happés par les fastes et les avantages de cette derniere et sont totalement
              deconnectés de la realite . Dés qu'ils sont ejectés , ils deviennnent ses plus
              farouches detracteurs .
              Ne le dites surtout a personne ! En Algerie , on refait les meme infrastructures de base ( routes , trottoirs , egouts , abris-bus etc ) a longueur d'année .

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              • #8
                Okba
                26 août 2000 : il démissionne ou plutôt on le fait démissionner.
                Voici la lettre de démission que le Docteur Ahmed Benbitour a adressé au Président de la république

                A
                Monsieur le Président de la République,

                Objet : démission de mon gouvernement,

                Monsieur le Président,

                J'ai reçu en date du 25 août 2000, un projet d'ordonnance organisant la gestion des capitaux marchands de l'Etat, ayant pour objet essentiel, l'abrogation de l'ordonnance n° 95-25 du 25 septembre 1995.
                Cette méthode de gouverner par ordonnances initiées par les cadres de l'Administration présidentielle, alors que l'intersession du Parlement ne dure qu'un mois, s'apparente à la mise en place d'un gouvernement parallèle et gène le Parlement dans l'exercice complet de ses attributions constitutionnelles.

                Par ailleurs, lors d'un meeting public organisé le 6 juin 2000 à Oran, vous avez clairement et publiquement exprimé votre désaccord avec les dispositions de l'article 77 de la Constitution relativement à la nomination d'un chef de gouvernement, alors qu'en ignorance de l'article 79 de la Constitution vous avez choisi l'ensemble des membres du gouvernement me privant de facto de la plus importante de mes attributions constitutionnelles.

                Il se trouve, enfin, qu'au moment où je m'attelais à préparer un programme pour la relance de l'économie que je vous ai transmis le 19 août 2000, vos services s'occupaient, sans ma participation et sans celle du gouvernement, ni même mon information, à préparer ce projet
                d'ordonnance incompatible avec la stratégie proposée.
                De telles conditions ne me permettent plus d'exercer mes fonctions avec l'autorité et la sérénité nécessaires.

                Aussi, ai-je l'honneur de vous présenter, conformément aux dispositions de l'article 86 de la Constitution, la démission de mon gouvernement.

                Cette lettre te prouvera, si besoin est, que Benbitour est loin d'être l'homme que tu décris et surtout pas un enfant du systême. Il est l'un des hommes politiques les plus propres. Et quand il parle d'économie, il est dans son élément. Et puis la conjoncture actuelle appelle un débat sur la question économique et politique et il est bien placé pour contribuer à ce débat.
                Il a certes répondu à l'appel à un moment où l'Algérie avait besoin de son expertise et occupé des postes de ministre, est-ce un mal ? Est-ce que tous ceux qui ont été ministres étaient corrompus ?
                Il faudrait peut-être mettre un peu de substance dans ses propos et les appuyer par des faits concrets si l'on veut être crédible.

                Remarque :
                A l'époque où il était ministre, le niveau de la corruption n'avait pas atteint le niveau actuel; tu devrais donc mettre ton "top" ailleurs.
                Dernière modification par ETTARGUI, 20 janvier 2011, 18h21.
                Le sage souffre dans le bonheur du savoir... L’ignorant exulte dans les délices de l’ignorance

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                • #9
                  Voici un article de Hamid Grine qui renseigne bien sur la personnalité du A.Benbitour :
                  Ahmed Benbitour
                  PORTRAIT… ...
                  Hamid Grine
                  Liberté : 05 - 12 - 2010
                  Quand il a été reçu en audience par le chancelier de l'Echiquier britannique dans un fort beau château, Benbitour fut d'abord étonné par la désinvolture de cet homme, vautré dans un fauteuil, les mains à ses bretelles, l'œil mi-clos, le guettant comme un chat prêt à dévorer une souris trop heureuse de lui servir de repas. Comme tout bon financier qui se respecte, Benbitour garda son calme. Eh quoi, ce n'est pas cet homme affalé qui le prend de haut qui va lui faire perdre pied. Du pays d'où il vient, il a appris, à trop voir les blindés, à se blinder. Et puis, hein, les chiffres apprennent la maîtrise de soi et le recul. On aura compris que Benbitour a vite saisi que le ministre britannique des Finances le prenait pour une quantité négligeable représentant d'un pays tout aussi négligeable. Méprisé, l'ex-Chef du gouvernement, à l'orgueil typiquement algérien, donc à ne pas chatouiller, releva la tête. Pour tancer le sujet de Sa Majesté ? (ça aussi c'est algérien…). Non, pour lui faire la leçon. Le docteur en économie qu'il est commença alors à parler de finances de sa voix posée et douce. (Ce n'est pas algérien, enfin pas tout à fait). Au fur et à mesure qu'il parlait, le chancelier, d'abord intrigué, ensuite étonné, puis charmé, enfin totalement conquis, se redressait progressivement jusqu'à devenir droit, écoutant religieusement cet homme qu'il avait d'abord frimé. À la fin de l'entretien, le chancelier, qui avait oublié son flegme, dit d'une voix chevrotante de grand argentier de Sa Majesté : “Dommage que je ne vous ai pas connu avant.” Là où il passe, Ahmed Benbitour charme et séduit. Non point par son allure, non point par son humour et son art consommé de la séduction, mais par ses capacités intellectuelles et sa grande maîtrise de la dialectique financière. Crédible ailleurs, inemployé ici, Benbitour appartient à cette race dangereuse des intellectuels et des raisonneurs qui suscitent la méfiance de ceux qui ne voient l'Algérien qu'en estomac ou en portefeuille. La bonne bouille d'honnête homme à l'échine un peu raide d'Ahmed Benbitour n'est pas de celui qui se fraie son chemin en écrasant son prochain ou en s'écrasant, ce qui est tout aussi grave. Sinon pire pour l'ego. Mais ce n'est certainement pas son physique où seulement son honnêteté qui ont poussé le président de la République à le convoquer en ce Ramadhan 1999 pour le nommer Chef du gouvernement, mais sa compétence avérée. Détails cocasses. Ayant reçu un appel de la présidence, sachant pour quelle raison, Benbitour a répondu qu'il sera disponible à moins de deux heures de la rupture du jeûne. Ainsi, pensait-il, la rupture du jeûne aidant, il sera libre de partir après une heure d'audience. Il pensait être maître du temps, c'est mal connaître le président qui est maître de son temps et celui des autres. Ils resteront ensemble cinq heures ! Oui, cinq heures. Et comme plat présidentiel : un verre de lait et quelques dattes. Ce repas spartiate augure du reste : au bout d'une année le divorce sera consommé. Benbitour rédigera de sa main sa lettre de démission. Sans amertume, ni haine. L'intellectuel qu'il est se bat pour des idées et des principes. À ce niveau, il n'a pas d'ennemis, que des adversaires. Avant de se quitter, le président lui aurait dit : “L'Algérie a besoin de vos compétences et de votre intégrité.” Voilà, résumé en deux mots, la meilleure définition de l'enfant de Metlili qui a fait partie de cinq gouvernements et qui est resté lui-même. Un homme simple qui adore Mohamed Abdelwahab, Oum Kelsoum et Ali Ibn Abi Taleb pour son éloquence. Par un temps pluvieux d'octobre 2004, il dira au journaliste qu'il a reçu chez lui et qui est sur le point de partir : “Attends que je t'accompagne avec un parapluie. Tu risques de prendre froid.” Nous ajouterons, à ce qu'a dit Bouteflika, la gentillesse et la modestie. Deux vertus rares en politique. Aussi rare qu'Ahmed Benbitour, gémeau, qui n'a pas de jumeau.

                  H. G.
                  [email protected]
                  Le sage souffre dans le bonheur du savoir... L’ignorant exulte dans les délices de l’ignorance

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                  • #10
                    C'est à dire durant la décennie rouge des pouvoirs occultes, au summum de la Françafrique, au top de la corruption et des surfacturations (au dela de 40 et 50 %), lui il était là présent !!!!!!
                    okba30 si on regarde bien .....il a était au gouvernement de 92 a 96 .....surfacturation de quoi ?? quel argent on avait a l'époque ?? on avait 12 milliard de recette et 13 de remboursement de dettes ?? on avait rien , wallou , sous embargo militaire ,la seule chose qu'on avait le droit d'acheter c'était des munition de c12 ...pour la chasse , y'avait rien en algerie , le port ....ça bougeait pas du tous ...un bateau par semaine ...quelque doré alimentaire tous au plus .....le service nationale était passé de 24mois + 6 mois ...avec "salaire" ça coûtai des milliards a l'état ......le premier ministre , les ministres , le président , géraient l'algerie au jour le jour , avec des peaux de bananes , personne ne voulais du pouvoir....mokdad sifi ...ils l'on sortie d'une boite de carton pour l'occasion ....
                    tu tombe je tombe car mane e mane
                    après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

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                    • #11
                      Ettargui

                      Je ne demande qu'à croire qu'en Algérie puisse exister un honnête homme parmi les loups du sommet. Un homme de la trempe de Moufdi Zakaria issu de la valée du Mzab.

                      1991-1992 : Chargé de mission à la Présidence de la République.

                      C'est louche cette présence dans ce cabinet lors de l'avènement du coup d'état militaire contre la volonté populaire !
                      Anyway, il doit savoir beaucoup de choses, surtout concernant les dossiers économiques.
                      وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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