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Deux propositions faites par de riches anonymes
L’étal de Mohamed Bouazizi intéresse des acheteurs
L'étal de fruits et légumes appartenant à Mohamed Bouazizi, dont le suicide par immolation par le feu a sonné le glas du régime tunisien, semble intéresser de plus en plus d’acheteurs qui veulent apparemment le garder en souvenir du martyr de la “Révolution du Jasmin”.
“J'ai reçu deux offres d'Arabie Saoudite et du Yémen de 10 000 euros pour l'étal de fruits et légumes de mon frère, mais je ne le vendrai jamais”, a confié à l'AFP Salem, frère de Mohamed Bouazizi. “Je préfère le garder en mémoire de mon frère. Un jour peut-être, il sera considéré comme monument”, espère-t-il.
Mohamed Bouazizi, 26 ans, s'était immolé, le 17 décembre, devant les bureaux du gouverneur de Sidi Bouzid, à 260 km au sud de Tunis, pour protester contre la saisie musclée par la police de son étal de fruits et légumes qu'il exploitait sans permis pour faire vivre les siens.
L'étal, partiellement incendié lors du suicide du jeune homme, parsemé d'emballages de fruits brûlés est soigneusement rangé dans un garage près de la maison familiale.
Liberté
L’étal de Mohamed Bouazizi intéresse des acheteurs
L'étal de fruits et légumes appartenant à Mohamed Bouazizi, dont le suicide par immolation par le feu a sonné le glas du régime tunisien, semble intéresser de plus en plus d’acheteurs qui veulent apparemment le garder en souvenir du martyr de la “Révolution du Jasmin”.
“J'ai reçu deux offres d'Arabie Saoudite et du Yémen de 10 000 euros pour l'étal de fruits et légumes de mon frère, mais je ne le vendrai jamais”, a confié à l'AFP Salem, frère de Mohamed Bouazizi. “Je préfère le garder en mémoire de mon frère. Un jour peut-être, il sera considéré comme monument”, espère-t-il.
Mohamed Bouazizi, 26 ans, s'était immolé, le 17 décembre, devant les bureaux du gouverneur de Sidi Bouzid, à 260 km au sud de Tunis, pour protester contre la saisie musclée par la police de son étal de fruits et légumes qu'il exploitait sans permis pour faire vivre les siens.
L'étal, partiellement incendié lors du suicide du jeune homme, parsemé d'emballages de fruits brûlés est soigneusement rangé dans un garage près de la maison familiale.
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