« Julien se tourna vivement et frappé du regard si rempli de grâce de Mme de Rénal, il oublia une partie de sa timidité, il oublia tout même ce qu'il venait de faire ». Stendhal "Le rouge te le noir "
, ce spécialiste de la passion amoureuse, avait bien compris que des phénomènes très particuliers peuvent se produire lors de la rencontre entre deux entités biologiques et psychiques. À l'image des flèches décochées par Cupidon, des stimuli sensoriels sont envoyés et perçus par chacun des protagonistes traversent leur cerveau, ravivent des images et déclenchent ici et là une cascade de réactions hormonales et neuronales. Les biologistes tentent de nous en convaincre aujourd'hui : l'amour ne se résume pas à un acte mental. Derrière le comportement amoureux, les chercheurs traquent le fonctionnement de certains états biologiques comme l'émotion, le désir, le plaisir et l'attachement. Des processus qui, associés à la cognition et aux messages sensoriels, dessineraient les contours du sentiment amoureux.
En effet selon Marc Jeannerod professeur à l'université Lyon 1. Grâce au système nerveux autonome, les émotions permettent aux animaux et aux hommes de survivre dans leur environnement : la peur permet de fuir un danger, la colère, de répondre à une agression ou de faire comprendre à la mère qu'un bébé a faim, la joie, de maintenir une relation affective ou sexuelle. Elles se traduisent par des réactions physiologiques stéréotypées et automatiques : augmentation du rythme cardiaque, du débit sanguin, transpiration, rougeur, tension musculaire et mimiques faciales... Elles conditionnent l'efficacité de l'adaptation de l'organisme aux événements extérieurs. En amour, Jean-Didier Vincent, neurobiologiste et directeur de l'Institut fédératif de neurobiologie Alfred Fessard du CNRS à Gif-sur-Yvette, note que « l'état affectif du sujet ou l'émoi précède l'acte »....
L'Amour à l'epreuve des sciences
Pouvons nous Aujourd'hui toucher à un sentiment aussi noble que l'Amour et dire que l'on peut tout expliquer ...??????????????
, ce spécialiste de la passion amoureuse, avait bien compris que des phénomènes très particuliers peuvent se produire lors de la rencontre entre deux entités biologiques et psychiques. À l'image des flèches décochées par Cupidon, des stimuli sensoriels sont envoyés et perçus par chacun des protagonistes traversent leur cerveau, ravivent des images et déclenchent ici et là une cascade de réactions hormonales et neuronales. Les biologistes tentent de nous en convaincre aujourd'hui : l'amour ne se résume pas à un acte mental. Derrière le comportement amoureux, les chercheurs traquent le fonctionnement de certains états biologiques comme l'émotion, le désir, le plaisir et l'attachement. Des processus qui, associés à la cognition et aux messages sensoriels, dessineraient les contours du sentiment amoureux.
En effet selon Marc Jeannerod professeur à l'université Lyon 1. Grâce au système nerveux autonome, les émotions permettent aux animaux et aux hommes de survivre dans leur environnement : la peur permet de fuir un danger, la colère, de répondre à une agression ou de faire comprendre à la mère qu'un bébé a faim, la joie, de maintenir une relation affective ou sexuelle. Elles se traduisent par des réactions physiologiques stéréotypées et automatiques : augmentation du rythme cardiaque, du débit sanguin, transpiration, rougeur, tension musculaire et mimiques faciales... Elles conditionnent l'efficacité de l'adaptation de l'organisme aux événements extérieurs. En amour, Jean-Didier Vincent, neurobiologiste et directeur de l'Institut fédératif de neurobiologie Alfred Fessard du CNRS à Gif-sur-Yvette, note que « l'état affectif du sujet ou l'émoi précède l'acte »....
L'Amour à l'epreuve des sciences
Pouvons nous Aujourd'hui toucher à un sentiment aussi noble que l'Amour et dire que l'on peut tout expliquer ...??????????????
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