Il bénéficiait des largesses de Ben Ali
Le mea-culpa pathétique de Frédéric Mitterrand
Surpris, comme le reste de la classe politique française qui n’a pas vu venir le tsunami qui a balayé Ben Ali, le ministre français de la Culture, Frédéric Mitterrand, défenseur zélé du dictateur, n’a rien trouvé de mieux pour sauver sa face vis-à-vis des Tunisiens que de faire un mea-culpa pathétique.
Dans une lettre publiée, hier, dans un hebdomadaire tunisois, il a fait part de ses “regrets” pour avoir servi longtemps la vitrine de “la régente de Carthage”. “Les Tunisiens savent que je travaille au service de la Tunisie, et notamment dans le domaine culturel, depuis trente ans.
Comme beaucoup d’autres, je l’ai fait en essayant de privilégier le dialogue avec les autorités et, souvent, en allant jusqu’aux limites de ce qui était acceptable”, a-t-il écrit en substance. Le reste de la lettre est du même tonneau trahissant la culpabilité d’un homme qui cherche visiblement à se délester de l’héritage de Ben Ali.
Liberté
Le mea-culpa pathétique de Frédéric Mitterrand
Surpris, comme le reste de la classe politique française qui n’a pas vu venir le tsunami qui a balayé Ben Ali, le ministre français de la Culture, Frédéric Mitterrand, défenseur zélé du dictateur, n’a rien trouvé de mieux pour sauver sa face vis-à-vis des Tunisiens que de faire un mea-culpa pathétique.
Dans une lettre publiée, hier, dans un hebdomadaire tunisois, il a fait part de ses “regrets” pour avoir servi longtemps la vitrine de “la régente de Carthage”. “Les Tunisiens savent que je travaille au service de la Tunisie, et notamment dans le domaine culturel, depuis trente ans.
Comme beaucoup d’autres, je l’ai fait en essayant de privilégier le dialogue avec les autorités et, souvent, en allant jusqu’aux limites de ce qui était acceptable”, a-t-il écrit en substance. Le reste de la lettre est du même tonneau trahissant la culpabilité d’un homme qui cherche visiblement à se délester de l’héritage de Ben Ali.
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