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Le mea-culpa pathétique de Frédéric Mitterrand

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  • Le mea-culpa pathétique de Frédéric Mitterrand

    Il bénéficiait des largesses de Ben Ali
    Le mea-culpa pathétique de Frédéric Mitterrand


    Surpris, comme le reste de la classe politique française qui n’a pas vu venir le tsunami qui a balayé Ben Ali, le ministre français de la Culture, Frédéric Mitterrand, défenseur zélé du dictateur, n’a rien trouvé de mieux pour sauver sa face vis-à-vis des Tunisiens que de faire un mea-culpa pathétique.
    Dans une lettre publiée, hier, dans un hebdomadaire tunisois, il a fait part de ses “regrets” pour avoir servi longtemps la vitrine de “la régente de Carthage”. “Les Tunisiens savent que je travaille au service de la Tunisie, et notamment dans le domaine culturel, depuis trente ans.
    Comme beaucoup d’autres, je l’ai fait en essayant de privilégier le dialogue avec les autorités et, souvent, en allant jusqu’aux limites de ce qui était acceptable”, a-t-il écrit en substance. Le reste de la lettre est du même tonneau trahissant la culpabilité d’un homme qui cherche visiblement à se délester de l’héritage de Ben Ali.
    Liberté
    Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

  • #2
    Les Tunisiens savent que je travaille au service de la Tunisie, et notamment dans le domaine culturel, depuis trente ans.
    Services au profit des Ben Ali et consorts, récompensés par une somptueuse villa à Hammamet et une nationalité tunisienne octroyée par ce même Ben Ali !

    Les tunisiens avaient bien écrit sur leurs pancartes, en cette journée du 14 janvier, "Mitterand : Les enfants du Jasmin ne sont plus à vendre".

    Ce type devrait se taire !
    Dernière modification par jawzia, 24 janvier 2011, 08h45.

    Commentaire


    • #3
      Comme beaucoup d’autres, je l’ai fait en essayant de privilégier le dialogue avec les autorités et, souvent, en allant jusqu’aux limites de ce qui était acceptable
      La devises des corrompus et corrupteurs:

      on ferme les yeux tant que nos intérêts sont bien servis

      Commentaire

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