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Les palestiniens auraient propose de renoncer à l'essentiel de leurs revendications sur Jérusalem et le droit au retour.
Dimanche soir, Al Jazeera et le quotidien britannique The Guardian ont commencé la publication de ce qu'ils affirment être des documents secrets sur les négociations israélo-palestiniennes des vingt dernières années.
Al Jazeera et The Guardian affirment disposer de 1600 documents confidentiels, sans en révéler ni les sources, ni l'origine; ils devraient être publiés régulièrement sur le site Internet du quotidien.
Présentés d'une manière sensationnelle, ces documents constituent selon Al-Jazzera "la plus importante fuite dans l'histoire du conflit israélo-palestinien".
À la lecture des premiers documents, les négociateurs palestiniens tiendraient dans le secret des négociations, des positions différentes de celles qu'ils défendent en public : ils seraient prêts à de nombreux compromis.
Contre un règlement définitif du conflit, en 2008, l'ancien négociateur en chef palestinien Ahmad Qoreïl aurait proposé qu'Israël conserve tous les territoires disputés dans et autour de Jérusalem sauf un (Har Homa).
De même, les négociateurs palestiniens auraient accepté que la vieille ville de Jérusalem soit divisée en deux, Israël conservant les quartiers juif et arménien.
Sur la pierre d'achoppement que constitue la revendication palestinienne du "droit au retour", les palestiniens aurait renoncé au retour des 5 millions de personnes actuellement revendiquées par eux, pour proposer le retour de 10 000 palestiniens par an pendant 10 ans.
On y apprend aussi que Mahmoud Abbas aurait été prévenu par Israël du lancement de l'opération militaire Plomb Durci la veille du début de la guerre et qu'Ahmed Ahmad Qoreï aurait demandé Tsipi Livni en 2008 "de renforcer le blocus israélien imposé à Gaza", contrôlé par le Hamas.
Le négociateur palestinien en chef, Saëb Erakat, interrogé par la chaîne, a affirmé que la direction palestinienne "n'avait rien à cacher" et que la plupart des documents diffusés par Al-Jazzera étaient "un tissu de mensonges", demandant avec beaucoup de bon sens pourquoi les israéliens auraient refusé ces propositions.
Dimanche soir, Al Jazeera et le quotidien britannique The Guardian ont commencé la publication de ce qu'ils affirment être des documents secrets sur les négociations israélo-palestiniennes des vingt dernières années.
Al Jazeera et The Guardian affirment disposer de 1600 documents confidentiels, sans en révéler ni les sources, ni l'origine; ils devraient être publiés régulièrement sur le site Internet du quotidien.
Présentés d'une manière sensationnelle, ces documents constituent selon Al-Jazzera "la plus importante fuite dans l'histoire du conflit israélo-palestinien".
À la lecture des premiers documents, les négociateurs palestiniens tiendraient dans le secret des négociations, des positions différentes de celles qu'ils défendent en public : ils seraient prêts à de nombreux compromis.
Contre un règlement définitif du conflit, en 2008, l'ancien négociateur en chef palestinien Ahmad Qoreïl aurait proposé qu'Israël conserve tous les territoires disputés dans et autour de Jérusalem sauf un (Har Homa).
De même, les négociateurs palestiniens auraient accepté que la vieille ville de Jérusalem soit divisée en deux, Israël conservant les quartiers juif et arménien.
Sur la pierre d'achoppement que constitue la revendication palestinienne du "droit au retour", les palestiniens aurait renoncé au retour des 5 millions de personnes actuellement revendiquées par eux, pour proposer le retour de 10 000 palestiniens par an pendant 10 ans.
On y apprend aussi que Mahmoud Abbas aurait été prévenu par Israël du lancement de l'opération militaire Plomb Durci la veille du début de la guerre et qu'Ahmed Ahmad Qoreï aurait demandé Tsipi Livni en 2008 "de renforcer le blocus israélien imposé à Gaza", contrôlé par le Hamas.
Le négociateur palestinien en chef, Saëb Erakat, interrogé par la chaîne, a affirmé que la direction palestinienne "n'avait rien à cacher" et que la plupart des documents diffusés par Al-Jazzera étaient "un tissu de mensonges", demandant avec beaucoup de bon sens pourquoi les israéliens auraient refusé ces propositions.