Tizi Ouzou : Il menace de s’immoler, le wali cède
Un des propriétaires de véhicules dits « gonflés » qui menaçait de s’immoler a contraint les autorités à prendre en charge leur problème.
Les autorités de la wilaya de Tizi Ouzou ont dû aujourd’hui de recevoir une délégation de propriétaires de véhicules de moins trois ans importés de France, mais dont l’année de mise en circulation était falsifiée.
L’un des contestataires qui observaient un sit-in devant la cité administrative menaçait de s’asperger d’essence en prenant soin de préparer tout le nécessaire pour cette immolation.
Voulant certainement éviter le pire, le wali a immédiatement promis de prendre en charge ce problème en chargeant son inspecteur général de ce dossier. Auparavant les nombreux rassemblements tenus n’avaient pas eu l’écho escompté.
L’affaire en question a éclaté dès 2004 quand les services des douanes ont procédé à la saisie de plus de 800 véhicules, présentant des anomalies, d’autant plus qu’on savait qu’ils avaient été dédouanés avec des faux modèles de documents dit 846. D’ailleurs plusieurs douaniers impliqués dans cette affaire ont été traduits en justice.
Depuis, ces propriétaires, qui se présentent comme victimes de ce réseau, n’ont pas pu récupéré leurs véhicules. Mieux encore des procédures de justice ont été initiées contre eux et des mandats d’amener ont été même prononcés à leur encontre.
Après une longue attente de six années en 2010 les responsables des douanes, de la DRAG et des mines de TizOuzou ont été instruits de trouver la solution à ce dossier au lieu de traduire des milliers de personnes devant la justice car l’on estime le nombre de véhicules aux « années gonflées » à plus de 2000 voire 3000 selon une source proche du dossier.
D’ailleurs même les autorités françaises ont cessé de collaborer avec leurs homologues algériennes dans l’authentification de certains documents présentés pour le dédouanement de ces véhicules.
Algerie Plus
Un des propriétaires de véhicules dits « gonflés » qui menaçait de s’immoler a contraint les autorités à prendre en charge leur problème.
Les autorités de la wilaya de Tizi Ouzou ont dû aujourd’hui de recevoir une délégation de propriétaires de véhicules de moins trois ans importés de France, mais dont l’année de mise en circulation était falsifiée.
L’un des contestataires qui observaient un sit-in devant la cité administrative menaçait de s’asperger d’essence en prenant soin de préparer tout le nécessaire pour cette immolation.
Voulant certainement éviter le pire, le wali a immédiatement promis de prendre en charge ce problème en chargeant son inspecteur général de ce dossier. Auparavant les nombreux rassemblements tenus n’avaient pas eu l’écho escompté.
L’affaire en question a éclaté dès 2004 quand les services des douanes ont procédé à la saisie de plus de 800 véhicules, présentant des anomalies, d’autant plus qu’on savait qu’ils avaient été dédouanés avec des faux modèles de documents dit 846. D’ailleurs plusieurs douaniers impliqués dans cette affaire ont été traduits en justice.
Depuis, ces propriétaires, qui se présentent comme victimes de ce réseau, n’ont pas pu récupéré leurs véhicules. Mieux encore des procédures de justice ont été initiées contre eux et des mandats d’amener ont été même prononcés à leur encontre.
Après une longue attente de six années en 2010 les responsables des douanes, de la DRAG et des mines de TizOuzou ont été instruits de trouver la solution à ce dossier au lieu de traduire des milliers de personnes devant la justice car l’on estime le nombre de véhicules aux « années gonflées » à plus de 2000 voire 3000 selon une source proche du dossier.
D’ailleurs même les autorités françaises ont cessé de collaborer avec leurs homologues algériennes dans l’authentification de certains documents présentés pour le dédouanement de ces véhicules.
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