Bonjour, des projets pour la plupart relevant du secteur privé national et surtout d'investisseurs arabes.
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Pour l’année 2005, l’agence a enregistré plus de 2 500 projets hors hydrocarbures d’un montant global de 511 milliards de DA, soit près de 6 milliards d’euros.
L’Agence nationale pour le développement de l’investissement (Andi) a avalisé, depuis 2001, quelque 7 000 projets, dont une partie est entrée en exploitation totale et une autre en cours de réalisation. Ce qui équivaut à plus de 1 000 milliards de DA, soit environ 10 milliards d’euros d’investissement.
Pour l’année 2005, l’Andi a enregistré plus de 2 500 projets hors hydrocarbures d’un montant global de 511 milliards de DA, soit près de 6 milliards d’euros de déclarations d’investissement. L’agence a également traité plus de 85 dossiers de projets d’investissement directs étrangers (IDE) pour une enveloppe de plus de 1,5 milliard de dollars US.
Ceci représente, selon M. Abdelmadjid Baghdadli, directeur général de l’Andi, invité hier de l’émission “Questions de l’heure” de la radio Chaîne III, une perception de l’économie nationale, un climat des affaires et des perspectives à l’avenir… “Ce n’est qu’une partie de l’iceberg”, avouera, cependant, le DG. Car, tout le monde, arguera-t-il, ne revient pas à l’agence pour confirmer le lancement effectif du projet.
La problématique à laquelle est affrontée l’Andi reste le suivi des projets. Quand bien même elle accorde 6 mois de délais pour la mise en exploitation des projets de transport des voyageurs et 3 ans pour les grands projets, l’agence ne peut suivre de près tous les investissements qu’elle a approuvés.
Ce rôle peut être dûment assumé par les services des impôts et ceux des douanes. D’où la nécessité de la mise en place d’un système coordonné d’informations entre les différents intervenants que sont l’Andi, les impôts et les douanes.
Les plus gros investissements réalisés en Algérie l’ont été dans le secteur de la téléphonie. L’on cite ceux de Mobilis, Djezzy, Watanyia, le Consortium algérien des télécommunications (CAT) dont le nom commercial Lacom (téléphone fixe) qui totalisent un coût global d’investissement de plus de 4 milliards de dollars US. “Même les 15 millions d’abonnés recensés dans ce secteur, le marché des téléphonies ne risque pas d’être saturé. Les besoins sont encore réels”, rassurera M. Baghdadli.
La suite...
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Pour l’année 2005, l’agence a enregistré plus de 2 500 projets hors hydrocarbures d’un montant global de 511 milliards de DA, soit près de 6 milliards d’euros.
L’Agence nationale pour le développement de l’investissement (Andi) a avalisé, depuis 2001, quelque 7 000 projets, dont une partie est entrée en exploitation totale et une autre en cours de réalisation. Ce qui équivaut à plus de 1 000 milliards de DA, soit environ 10 milliards d’euros d’investissement.
Pour l’année 2005, l’Andi a enregistré plus de 2 500 projets hors hydrocarbures d’un montant global de 511 milliards de DA, soit près de 6 milliards d’euros de déclarations d’investissement. L’agence a également traité plus de 85 dossiers de projets d’investissement directs étrangers (IDE) pour une enveloppe de plus de 1,5 milliard de dollars US.
Ceci représente, selon M. Abdelmadjid Baghdadli, directeur général de l’Andi, invité hier de l’émission “Questions de l’heure” de la radio Chaîne III, une perception de l’économie nationale, un climat des affaires et des perspectives à l’avenir… “Ce n’est qu’une partie de l’iceberg”, avouera, cependant, le DG. Car, tout le monde, arguera-t-il, ne revient pas à l’agence pour confirmer le lancement effectif du projet.
La problématique à laquelle est affrontée l’Andi reste le suivi des projets. Quand bien même elle accorde 6 mois de délais pour la mise en exploitation des projets de transport des voyageurs et 3 ans pour les grands projets, l’agence ne peut suivre de près tous les investissements qu’elle a approuvés.
Ce rôle peut être dûment assumé par les services des impôts et ceux des douanes. D’où la nécessité de la mise en place d’un système coordonné d’informations entre les différents intervenants que sont l’Andi, les impôts et les douanes.
Les plus gros investissements réalisés en Algérie l’ont été dans le secteur de la téléphonie. L’on cite ceux de Mobilis, Djezzy, Watanyia, le Consortium algérien des télécommunications (CAT) dont le nom commercial Lacom (téléphone fixe) qui totalisent un coût global d’investissement de plus de 4 milliards de dollars US. “Même les 15 millions d’abonnés recensés dans ce secteur, le marché des téléphonies ne risque pas d’être saturé. Les besoins sont encore réels”, rassurera M. Baghdadli.
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