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trouvez vous une raison pour aimer l'algérie
qu'a t-on fait pour notre pays? quel sacrifice peut-on consentir pour notre pays? pourquoi tant d'algériens se disent marre de y vivre?
je sais que c'est un topic qui n'a rien de nouveaux mais je veux quand même le poster.
On peut aimer l'Algérie parce qu'un soir d'Aout 1954 la soif d’une liberté, la conscience populaire et la responsabilité générationnelle ont saisi tout un peuple, vieux et vieilles, hommes et femmes, et cette odeur rendait dérisoire la vie de ses Hommes pas une priorité du moment en tout cas. On peut aimer l'Algérie parce que elle est nos repères, avenir et raison d’être.
On peut l'aimer par les pieds nus des enfants et des veuves, par la souffrance d'un peuple et par l'affreuse odeur de la mort qui nous guète à tout moment. On peut l'aimer par la soif des écoliers devant les livres, par la joie des sources sous les figuiers, par les routes qui s'ouvrent, par la terre cultivée, par les soirées sous les étoiles.
On peut l'aimer par un bout de galette encore chaude et collante, par un café amer ou par un thé bouillant, par une menthe fraîche, et par la rude voix des hommes.
On peut aimer Alger, blanche et secrète, familière et complice, bruissante et amicale. On peut l'aimer par la grandeur du soleil levant sur la rade et les contreforts de Kabylie.
D'autres l'ont aimée au milieu des absinthes sous le ciel cru, parmi les pierres et les lézards à Tipasa. D'autres ont préféré le vent à Djemila.
Moi, j'aime l'Algérie. J'aime sa terre et son peuple. Je l'aime par le visage creusé de ses travailleurs, par les cheveux bouclés de ses étudiants qui ne trouvent pas de travail et sont rejetés de nos entreprises, par le malheur de ceux qui sont nés sur le sol de cette patrie et que l'on chasse de leur terre natale, on les poussent à fuir leur pays. Je l'aime par le regard, la voix rauque, douce et profonde de mes amis et je sais bien que ce n'est pas parce que on n’a ni metros, ni trains, ni hôpitaux et ni supermarchés que je vais pas aimer ce bled . Il y a bien cent raisons d'aimer l'Algérie,
Moi, je ne demande pas à chacun de vous, Algériens, d'avoir cent raisons d'aimer l'Algérie. Que chacun découvre la sienne, qu'il s'ouvre à son amour, qu'il en fasse une source jaillissante. Qu'au travers de sa vie, elle trouve le chemin à d’autres.
je sais que c'est un topic qui n'a rien de nouveaux mais je veux quand même le poster.
On peut aimer l'Algérie parce qu'un soir d'Aout 1954 la soif d’une liberté, la conscience populaire et la responsabilité générationnelle ont saisi tout un peuple, vieux et vieilles, hommes et femmes, et cette odeur rendait dérisoire la vie de ses Hommes pas une priorité du moment en tout cas. On peut aimer l'Algérie parce que elle est nos repères, avenir et raison d’être.
On peut l'aimer par les pieds nus des enfants et des veuves, par la souffrance d'un peuple et par l'affreuse odeur de la mort qui nous guète à tout moment. On peut l'aimer par la soif des écoliers devant les livres, par la joie des sources sous les figuiers, par les routes qui s'ouvrent, par la terre cultivée, par les soirées sous les étoiles.
On peut l'aimer par un bout de galette encore chaude et collante, par un café amer ou par un thé bouillant, par une menthe fraîche, et par la rude voix des hommes.
On peut aimer Alger, blanche et secrète, familière et complice, bruissante et amicale. On peut l'aimer par la grandeur du soleil levant sur la rade et les contreforts de Kabylie.
D'autres l'ont aimée au milieu des absinthes sous le ciel cru, parmi les pierres et les lézards à Tipasa. D'autres ont préféré le vent à Djemila.
Moi, j'aime l'Algérie. J'aime sa terre et son peuple. Je l'aime par le visage creusé de ses travailleurs, par les cheveux bouclés de ses étudiants qui ne trouvent pas de travail et sont rejetés de nos entreprises, par le malheur de ceux qui sont nés sur le sol de cette patrie et que l'on chasse de leur terre natale, on les poussent à fuir leur pays. Je l'aime par le regard, la voix rauque, douce et profonde de mes amis et je sais bien que ce n'est pas parce que on n’a ni metros, ni trains, ni hôpitaux et ni supermarchés que je vais pas aimer ce bled . Il y a bien cent raisons d'aimer l'Algérie,
Moi, je ne demande pas à chacun de vous, Algériens, d'avoir cent raisons d'aimer l'Algérie. Que chacun découvre la sienne, qu'il s'ouvre à son amour, qu'il en fasse une source jaillissante. Qu'au travers de sa vie, elle trouve le chemin à d’autres.
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